Mais finalement, tous ceux rencontrés pendant la nuit étaient gentils, ça a changé ma vision des choses.
Le SAMU social a un peu changé ma vision de ses personnes.
ça change notre vision des choses.
La prise de conscience de tout ce qui avait changé dans sa vie ?
Une histoire qui m'a marqué, qui changera surement ma vision quotidienne des gens qui sont dans le besoin.
Ce qui m'a plu: monter dans le camion pour aller chercher des familles ou des personnes isolées, leur apporter un petit quelque chose, qui ne va pas changer leur vie mais améliorer un peu le moment présent.
J'ai vraiment pris conscience de la situation, ça m'a vraiment changé dans le sens où je fais beaucoup plus attention aux personnes défavorisées dans la rue; ce qui m'a le plus touchée, ce sont les regards des hommes et femmes qu'on aidait, leur reconnaissance, leur sourire, leur soulagement qui se lisait sur le visage et ça c'était le plus beau; J'ai également été touchée par la bonne humeur qu'ils manifestaient, et ce malgré leur situation.
Ce fut une expérience extrêmement enrichissante sur le plan humain, et je trouve que ça a énormément changé ma façon de voir les choses.
Cela permettrait peut être de recentrer les demandes et de changer les attentes des usagers, qui sont souvent déçus à la suite de beaucoup d'intervention du samu.
.), en bref, cette expérience m'a changé en m'ouvrant les yeux sur ce et ceux qu'on ne voit généralement pas.
Elle a changé ma vision des sans abris avec qui je n'avais été en contact que via le service des urgences où j'ai travaillé cette année, et où l'on accorde que peu de temps à ces personnes qui sont dans le besoin.
Ce monsieur là, bien connu du 115 et de l'équipe, nous a raconté qu'il était prof de philosophie avant son divorce et avant que tout ne change pour lui.
Cette expérience m'a donné envie de m'intéresser davantage à ces problématiques et à changer de regard sur les personnes exclues de la société et ceux qui leur viennent en aide; encore merci.
Cela change du milieu médical où tout est codifié, encadré, hiérarchisé...
Bref je me suis identifier à cette personne, et j'avoue que mon regard à changer vis à vis de ces personnes qui sont en fait beaucoup plus proche de nous que l'ont voudrait le croire...
Pour ma part, je dirais que cette courte expérience m'a un peu changée et je crois impactera mes choix de vie dans le futur.
On n'a pas le même regard en étant avec l'équipe du SAMU social et je pense que tout soignant devrait participer à une maraude au moins une fois dans leur vie afin de pouvoir adapter leurs pratiques et changer leurs a priori.
Il est également difficile de changer le mode de vie de certains sans abri, qui pour la plupart étaient psy et/ou alcoolo-dépendants.
Vraiment une très bonne expérience qui m'a permis de changer ma vision des maraudes et m'a donné envie d'essayer d'en faire d'autre si j'en ai l'occasion.
Je pense que toutes personnes devrait passer au moins une nuit au SAMU SOCIAL, quel que soit l'âge, quelle que soit la profession et le milieu de vie, cela changerait beaucoup des mentalités actuelles.
On l'a donc amené dans une structure avec une prise en charge adaptée à son cas où il y a des infirmières pouvant changer ses pansement et permettant au monsieur de se reposer un peu.
Nous avons nettoyé tout son "chez lui" et lui ont changé tous les vêtements.
Ce fut boulversant et quand la fin de la maraude arriva, en rentrant chez moi, j'avais l'impression d'être changé.
C'est vraiment cet aspect de la garde qui m'a choqué, de voir à quel point les personnes peuvent être changées par la rue, qu'elles puissent se sentir en insécurité dans des lieux que nous considérons comme "chaleureux".
Mais quand on change de point de vue, un effort est clairement nécessaire quant à la prise en charge globale des personnes les plus démunies en milieu hospitalier.
Une fois arrivé au foyer, l'infirmière s'est chargée de lui faire prendre une douche et de le changer.
Nous n'avons peut-être rien changé à leur situation mais je me disais qu'au moins nous avions réussi à tracer un sourire sur leur visage ....
Et cet homme, qui avait tendance à rejeter l'aide que l'écoutante essayait de lui apporter au téléphone, a totalement changé de discours lorsque nous sommes allés le voir en personne.
et c'était encore plus agréable de faire ça avec une équipe aussi sympathique, et humaine, et ça, ça change vraiment de tout ce qu'on peut voir tous les jours à l'hôpital...
Ce soir là, il aura un répit, il pourra dormir au chaud le ventre plein, changer sa poche à urine proprement, trouver un minimum de réconfort pendant quelques heures avant le retour à la rue ....
ça change de la prise en charge classique d'une phlébite.
On voit bien qu'il ne peuvent parfois que leur répondre de rappeller, toujours rappeller, tout en sachant que de toute façon ça sera certainement en vain La marraude : Là on change d'échelle, on s'adresse à l'individu en personne.
On s'attaque à la misère quand celle ci a déjà trop profondément changé l'individu pour le réintégrer: ce n'est pas "rentable" tant sur le plan humain que financier .
Une vraie collaboration au sein de l'équipe, similaire à celle du SMUR et c'est top, ca change de l'hôpital ou chacun se tire dans les pattes !
- Les éducateurs spécialisés ne sont pas assez formés et peut-être pas d’un « niveau assez élevé » : c’est essentiel et DIFFICILE d’être substitut parental comme cela devrait être leur rôle auprès des enfants de l’ASE (Aide Sociale à l’Enfance) : il faut leur donner la rigueur, les bases éducatives et l’encadrement qu’ils n’ont jamais eus - Pourquoi obliger un enfant de l’ASE de changer de famille d’accueil tous les 3 ans ?
- Les éducateurs spécialisés ne sont pas assez formés et peut-être pas d’un « niveau assez élevé » : c’est essentiel et DIFFICILE d’être substitut parental comme cela devrait être leur rôle auprès des enfants de l’ASE (Aide Sociale à l’Enfance) : il faut leur donner la rigueur, les bases éducatives et l’encadrement qu’ils n’ont jamais eus - Pourquoi obliger un enfant de l’ASE de changer de famille d’accueil tous les 3 ans ?
Je monte à l'arrière du camion et arrivés dans notre secteur -le 10e- mon regard sur la rue change.
Et le fait d’être étudiant en médecine ne change rien à cela.
Ne serait-il pas possible, surtout dans les centres comme l'affreuse « Boulangerie » où il reste manifestement des places libres tous les soirs, de changer le système, d'avancer ces horaires ?