Le plus frappant dans cette expérience fut de voir les relations chaleureuses qu'entretiennent les participants et les sans abris et cela dans un respect mutuel.
Cependant je respect énormément les maraudeurs car c'est un travail éprouvant qui amène parfois à des situations délicates.
Il y avait beaucoup de respect, même quand les propositions d'hébergement pour la nuit étaient refusées.
Peu de respect etait réellement échangé..
J'ai un respect énorme pour les équipes des EMA qui dépensent une énergie et une patience incroyable pour des gens qui sont ignorés par tout le monde.
J'ai éprouvé beaucoup de respect pour les personnes qui travaillent au quotidien dans ces conditions difficiles, pendant que d'autres dorment, et j'ai été frappée par leur humanité.
J'ajoute que j'éprouve le plus grand respect pour les travailleurs bénévoles qui font un boulot remarquable et courageux.
Le personnel du Samu qui oeuvre 365 jours par an, quelque soient les conditions, mérite vraiment le plus grand des respect.
J'ai beaucoup de respect pour toutes ces personnes qui le combatte au quotidien.
J'ai été agréablement surprise face aux respects des personnes sans abris envers nous.
Ça a été très instructif de les voir gérer des situations délicates avec calme et respect, et j'ai pu me rendre compte de ce qu'étaient les centres d'hébergement.
Beaucoup de respect à toutes ces équipes qui font ce travail très difficile avec énormément de conviction, c'est ce qui me paraît le plus dur quand au quotidien on à l'impression que rien ne changera pour tous ces exclus.
Outre le fait que j'ai découvert sous un autre angle la vie des gens qui vivent dans la rue, j'ai beaucoup appris des intervenants du Samu social, de leur façon de s'impliquer sans jamais être intrusifs, et de leur capacité a transmettre à des gens vivant dans des situations précaires le respect qu'ils leur portent, au même titre qu'à tout être humain.
Malgré ceci, les quelques arrêts que nous avons effectué ont été très bénéfiques pour moi sur le plan humain : proposer spontanément de l'aide aux personnes sans abris dans le respect de l'autre est une chose appréciable.
J'ai beaucoup apprécié le comportement qu'elle avait vis à vis des personnes vivant dans la rue, un respect de leur choix de vie et de leur autonomie ainsi qu'une véritable sympathie à leur égard car souvent elle les connaissait déjà.
J'ai beaucoup apprécié le comportement qu'elle avait vis à vis des personnes vivant dans la rue, un respect de leur choix de vie et de leur autonomie ainsi qu'une véritable sympathie à leur égard car souvent elle les connaissait déjà.
Tous n'y sont pas réceptif, mais tous ont droit à cette forme de respect.
De même j'ai une grande admiration pour les membres du samu social qui nouent une vraie relation de confiance et de respect avec les sans-abris et font leur travail avec beaucoup de motivation.
Ils ont été ouverts aux questions et se sont montrés très aimables avec les personnes en nécessité toujours avec du respect et leur donnant la main et le sourire.
L' infirmière leur parlait avec beaucoup de respect tout en restant ferme pour ne pas se faire déborder par la situation, et gérant les réclamations sans jamais hausser le ton, en restant toujours calme pour éviter que le fait de refuser de donner plus de couvertures ne dégénère .
Cette garde a été enrichissante quoiqu'un peu décevante car les regles qui conditionnent les interventions (et que je comprends tout à fait pour le respect des gens et la sécurité des maraudeurs) empechent d'aider beaucoup de gens (zones vertes, privées etc...) .
Ce fut une nuit très enrichissante où la joie, la tristesse parfois, le partage et le respect de l'autre se mêlaient continuellement.
J'ai découvert qu'il fallait beaucoup d'altruisme pour devenir travailleur au Samu social et j'ai maintenant beaucoup plus de respect et d'admiration pour ces professions.
Leur empathie envers les personnes qu'ils rencontrent, le respect de tout individu, ce côté serviable sans jamais forcer m'ont beaucoup marqué.
- connaissance du circuit de prise en charge du 115 - solution que l'on pourra proposer à une personne dans le besoin - l'engagement des travailleurs sociaux force le respect même si - de mon point de vue - certains manquent à la nécessité d'une juste distance professionnelle à l'égard des secourus, s'exposant à une charge émotionnelle inappropriée, notamment en assistant fréquemment aux enterrements (cela m'a été rapporté) - la détresse et la pauvreté ne doivent pas dispenser certains sans-abris du civisme élémentaire : ne pas uriner dans sa tente avec coulée des mictions sur le trottoir, ne pas jeter ses mégots, détritus et habits souillés sur les voitures ; en particulier l'aménité des travailleurs sociaux ne doit pas se transformer en indifférence vis-à-vis de ces actes sur les lieux d'intervention
J'ai beaucoup de respect pour les actions du SAMU social qui permettent de leur apporter ne serait-ce qu'un peu de chaleur humaine et celle d'une soupe, à défaut d'un logement définitif.
Ils se comportent avec les usagers de manière à leur rendre ce que la vie dans la rue leur prend à savoir une forme de respect d'eux même.
J'ai trouvé très pertinent d'intégrer cette expérience dans le cursus de médecine ; au-delà de la façon d'aborder un SDF en tant que tel, on apprend de manière plus concrète le respect de l'autre, de ses choix et de son libre arbitre ; en effet, les études de médecine tendent souvent à nous persuader que l'on sait mieux ce qui est bon pour les autres, et cela est loin d'être toujours vrai.
Je suis donc partagé entre le respect pour ce travail difficile et ingrat et l'impression tenace que l'on pourrait faire mieux en faisant autrement ( sans que j'ai une vision trés précise de ce que cet autrement pourrait être je l'avoue ).
J'ai aussi été très touchées par l'amitié qui lie les "habitués" et les travailleurs du SAMU social, avec un vétirable respect réciproque.
J'ai été marqué par la bonne ambiance du LHSS avec l'entraide et le respect des résidents entre eux et envers le personnel soignant, la patience du personnel soignant, le peu de femmes hospitalisé (3 sur les 30), la séparation entre les migrants et les SDF "de la rue" qui peuvent parfois avoir des difficultés à cohabiter, p.
Mais j'ai pu voir à l'œuvre des bénévoles impressionnants de volonté, d'humanité et j'ai eu pour eu et leur travail un immense respect.
Selon moi le SAMU Social devrait avoir plus de moyens pour construire de nouveaux refuges de qualité, car actuellement la plupart des centres sont de grandes salles où les personnes sont entassées sans aucune intimité ni respect de leur dignité.
On sent que le Samu a acquis une vraie renommée et le respect de ces personnes en difficulté.
J'ai un immense respect pour leur boulot, leur empathie, leur patience, leur bonne volonté, leur humanité finalement, qui rend si difficile le retour au chaud chez soi ...
Respect aux gens qui gardent une apparence propre et distinguée tout en vivant dans la rue.
L'équipe qui m'a accueillie était constituée de professionnels passionnés par leur travail, plein d'humanité et de respect pour les usagers.
Mais c'est une vraie manière de créer un premier lien et de montrer notre respect et notre attention face à leur situation, je m'y suis vite habituée et cela m'a impliquée immédiatement dans la maraude.