J'ai quand même eu l'impression d'un quotidien assez répétitif au près des SDF, meme si on leur fait du bien sur le moment (tous nous ont remercié après nos discussions avec eux), ce n'est que bref et il faut recommencer le travail chaque jour...
J'ai l'impression que cette conversation à remonté le moral à certains d'entre eux.
Je tire une très bonne impression de cette nuit, forte enrichissante sur le plan personnel et social.
Effectivement, en arrivant à ses portes, on a l'impression d'être devant un pénitencier, il n'y a pas de travailleurs sociaux, aucun accueil, seulement des vigiles qui les regardent d'un mauvais oeil.
Et aussi et heureusement, par la rencontre d'autres ames qui font sentir la votre un brin fluette (la je parle de certains sdf) C'est pourtant, une impression bien pathétique qui survit aux jours qui passent en oubliant cette nuit et ces .
Même si les capacités de reponse aux besoins d’hébergement sont très limitées, on a l’impression que juste le fait d’avoir discuté avec ces personnes, de les avoir écoutées, leur avoir donné à manger et à boire est déjà beaucoup chez ces personnes parfois isolées
J'ai donc passé une très mauvaise soirée, à quelques jours des partiels, entre deux gardes de réanimation, avec l'impression de perdre mon temps comme rarement (ah si, peut être lors des autres partenariats "exceptionnels" type samu75, SIS, tabac info service), puisque je n'ai rien appris qui puisse servir à ma pratique médicale, que je n'ai été d'aucune utilité, que je n'ai pas été rémunéré (cela dit je préfère qu'on supprime cette garde plutôt que de nous faire l'honneur de nous rétribuer par 20 euros).
Cette nuit à été difficile moralement, j'ai vu à quel point la mission du SAMU SOCIAL est limitée par manque de moyens financiers, à quel point les employés sont usés par ce manque et ont l'impression de ne pas suffisamment aider les demandeurs.
Ca m'a permis aussi d'aborder différemment ces personnes en difficulté, et d'avoir l'impression de pouvoir un peu mieux comprendre leurs difficultés.
L'équipe du SAMU social est vraiment adorable, j'ai eu l'impression d'entrer dans une grande famille , j'ai été extrêmement bien accueillie.
C'est un peu l'impression que j'ai de l'intérêt de cette garde : nous déstabiliser sans grand retour par la suite sur la formation et l'expérience qu'elle a pu nous apporter.
De cette nuit au samu social je retire surtout une impression de bienveillance chaleureuse, des souvenirs de fous rire et un esprit d’équipe et d’entraide indéfectible.
J'ai eu la désagréable impression qu'il aurait à la limite fallu pour les usagers d'avoir l'air le plus misérable possible afin d'avoir accès à un toit pour la nuit.
En particulier, quand un sdf en hypothermie grave a refusé de nous suivre pour aller à l'hôpital, et qu'il a fallu que les pompiers, le "forcent" à monter dans le camion (en fait, j'avais l'impression d'être moins gênée que les membres de l'équipe par cela, peut-être parce que je suis "habituée" aux urgences, à voir occasionnellement des personnes contentionnées, quand elles sont trop agitées pour accepter les soins, qu'elles arrachent leur perfusions... etc...)
La nuit au SAMU SOCIAL m'a vraiment très marquée et je trouve que c'est une grande chance d'avoir la possibilité de pouvoir avoir une impression du travail fait par les personnes s'investissant pour le SAMU SOCIAL.
J'ai globalement eu l'impression d'être tantôt ignorée tantôt prise de haut, alors je pense, avoir eu une démarche avenante et intéressée pars leur actions.
Ce fut boulversant et quand la fin de la maraude arriva, en rentrant chez moi, j'avais l'impression d'être changé.
Parfois, ils donnaient même l'impression de ne vouloir que cela, de la compagnie, plutôt que des denrées comestibles ou des vêtements chauds.
Le plus incroyable et quelque part la seule chose qui m'ait rassurée dans cette nuit, c'est cette impression que le Samu Social, et d'autres comme la Croix Rouge, les Restaus du Coeur etc...
Ayant effectué 8 mois de stage militaire à la BSPP (pompiers de Paris) par le passé, et sortant d'un stage au SMUR Pitié, j'ai le sentiment d'avoir abordé la problématique médico-sociale de la rue par ses différents aspects et points de vue, ce qui me confère une impression paradoxale d'impuissance face à cette problématique : quel que soit l'intervenant, il semble quasi-impossible de résoudre la question.
Je garde l'impression angoissante que revenir à une "vie normale" après avoir vécu dans la rue est presque utopique (ce qui est clairement confirmé par les équipes du samu quand on en discute avec elles
Lors de cette garde j'ai clairement eu l'impression d'être de retour à l'hôpital public sur tout ce qu'il y a de pire en ce dernier.
Lors de cette garde j'ai clairement eu l'impression d'être de retour à l'hôpital public sur tout ce qu'il y a de pire en ce dernier.
Je me souviens de toutes les personnes rencontrées cette nuit, celles qui m'ont le plus marquée sont d'abord une jeune femme que nous devions aller chercher à la sortie d'un métro, et une fois arrivés sur place nous nous sommes rendus compte qu'elle était avec un nourrisson, cela étai surprenant et faisait une drôle d'impression.
Lors de cette garde j'ai clairement eu l'impression d'être de retour à l'hôpital public sur tout ce qu'il y a de pire en ce dernier.
Lors de cette garde j'ai clairement eu l'impression d'être de retour à l'hôpital public sur tout ce qu'il y a de pire en ce dernier.
Lors de cette garde j'ai clairement eu l'impression d'être de retour à l'hôpital public sur tout ce qu'il y a de pire en ce dernier.
Lors de cette garde j'ai clairement eu l'impression d'être de retour à l'hôpital public sur tout ce qu'il y a de pire en ce dernier.
Lors de cette garde j'ai clairement eu l'impression d'être de retour à l'hôpital public sur tout ce qu'il y a de pire en ce dernier.
Car comme dit le proverbe : "donne un poisson à homme, il mangera un jour, apprend lui a pêcher , il mangera toujours " L'impression que j'ai eu c'est que ces hommes et femmes sont dans la rue depuis des années et qu'ils vont de foyers en foyers mais qu'il n'y a pas d'évolution, pas de ré-insertion ...
C'est pour ça que je ne me sens pas capable de faire ce qu'ils font, je ne pense pas que je surmonterais cette impression de donner des coups d'épée dans l'eau.
Ainsi, l'impression générale que m'a laissé le service des écoutes est contrasté.
J'ai clairement perdu une soirée de révision et n'ai pas l'impression d'avoir appris grand chose.
Jusque là tout s'est très bien passé, je pouvais poser des questions et j'avais l'impression qu'elle était contente de présenter son métier et de m'apprendre les differents moyens de prise en charge ainsi que les limites du 115.
Lors de cette situation, j'ai ressenti avec le reste de l'équipe, un énorme sentiment d'impuissance et j'avais presque l'impression de les abandonner.
Et tous les deux m'ont tout de suite mis à l'aise : j'avais l'impression de les côtoyer depuis longtemps alors que je ne les avaient rencontrés que quelques heures avant...
J'ai l'impression que les personnes qui travaillent au Samu social ont un rapport plus conscient et actif par rapport à la culture.
Je ne livre dans le texte qui suit que mes impressions personnelles qui n'engageront que moi; elles sont le fruit des riches conversations que j'ai eu la chance d'avoir cette nuit et des quelques expériences humaines et organisationnelles auxquelles j'ai assisté. 1.