Surtout dans certains situation où ils ne peuvent rien faire face aux personnes isolées qui refusent l'aide qu'on leur propose.
Cependant cela est très difficile moralement de faire face à ces situations de précarité.
Pas facile parfois de faire face aux difficultés de la rue
Je considère que cette soirée m'a été utile dans la mesure ou elle nous confronte à la réalité des personnes vivants dans la rue et les difficultés auxquelles elle doivent faire face.
Maraude en camion très touchante avec de très belles rencontres humaines mais parfois difficile de faire face à la grande misère et détresse des personnes rencontrées.
La maraude s'est très bien passée, même si nous avons fait face à des situations délicates, des histoires très tristes et parfois difficile à entendre. […] Même si nous faisons face à des situations sociales difficiles tous les jours à l'hôpital, rencontrer ces personnes dans la rue est très différent.
Elle permet de voir une misère humaine et une détresse bien réelle et le peu de moyen pour y faire face.
C’était une garde intéressante car elle nous permet d’échanger avec des sdf et de nous rendre compte de la misère sociale et de la difficulté locative à laquelle ils font face.
Cela permet de faire face à une réalité qu'on ignore assez souvent.
On ne sait jamais vraiment avec quelle approche on peut faire face à une personne qui est restée longtemps à la rue.
La garde m'a permis de me rendre compte de l'ampleur de la pauvreté à Paris et du décalage entre les aides que je pensai être fourni comme des lieux convenables et en quantité suffisante pour dormir et la réalité qui est le manque de place et le manque de moyen pour faire face à ce phénomène.
Elle permet, outre le fait de mieux se rendre compte de la situation très précaire de bon nombre de personnes exclues socialement, de voir la réalité du terrain et toutes les difficultés auxquelles doivent faire face les professionnels du samu social (manque de place, difficultés matérielles, etc...)
Malgré le fait que ma garde soit un samedi je n'ai pas vue le temps passé, j'étais assez touché de voir les conditions dans lesquelles les sans-abris vivent et admirable vis à vis des équipes du Samu sociale qui viennent tous les jours avec le sourire malgré la misère qu'ils voient tout les jours et le peu de moyen qu'ils ont à leur disposition pour pouvoir faire face à la misère social.
Apprendre à être au contact des plus démunis et des plus vulnérables, être dans des situations parfois difficiles nous fait non seulement réfléchir sur nos propres conditions de vie, mais nous donne aussi un peu plus d'expérience et de confiance pour faire face à ces personnes.
Nous avons fait face à des situations très variées, allant d'un migrant ne parlant le français à une femme isolée dans la rue, en passant par tous les habitués du samu social.
Elle permet de voir la réalité sociale à laquelle font face des personnes de tout âge.
De meme, il est important de comprendre le fonctionnement du samu social, et d'évaluer la charge de travail a laquelle ils font face, vu qu'on est beaucoup amenés a collaborer avec eux
Cela faisait presque 4 ans qu'elle dormait dans le métro et faisait face à des problèmes que je n'imaginais pas être la première préoccupation d'un sans abri : refaire ses papiers qu'on lui avait volé.
La double-écoute permettait d'appréhender les difficultés auxquelles faisaient face certaines personnes et de voir quelles solutions urgentes ou non pouvaient leur être apportées.
Pendant cette garde j'ai été particulièrement frappée par la cohésion des équipes : bonne entente, travail reparti et organisé, humour, capacité à faire face aux difficultés avec beaucoup de sang froid et de bonne humeur...
J ai du faire face aux manque de moyen que recontre quotidiennement le 115.
Ainsi, nous avons fait face à des familles entières dans le besoin, ainsi qu'à des populations migrantes qui ont vraiment la volonté de sortir de la rue.
Je remercie l'équipe qui a rendu cette nuit particulièrement intéressante et reste un peu choquée de toute cette misère à laquelle on fait face en quelques heures sans pouvoir en parler ensuite.
Je ne pensais pas qu’autant de personnes appelaient et faisaient face à ces refus.
J' ai pu me rendre compte aussi du manque de moyen du SAMU social qui ne peut plus faire face au nombre croissant d'usagers, notamment l'afflux de migrants.
Le plus dur pour moi est de faire face à la détresse de familles avec des enfants en bas âge.
La plupart des personnes que nous avons rencontrées se contentaient de nous demander le très strict minimum, expliquant qu'elles préféraient passer la nuit dehors plutôt que dans un centre (dont certains mettent les sans abris dans des conditions de vie encore plus difficiles pour la nuit selon eux), que cela leur permettait de montrer qu'elles pouvaient faire face à l'adversité d'elles même, qu'elles avaient encore l'espoir de réussir à passer ce cap on ne peut plus difficile.
Aller voir les gens, être dans le contact, proposer toute l'aide que l'on peut apporter, même si parfois il faut faire face à des refus...
Comment une personne en dessous du seuil de pauvreté est elle censée aider, soutenir, faire face à des situations plus que désespérante si elle n'a même pas l'assurance de pouvoir faire vivre sa propre famille jusqu'à la fin du moi?
On n'a pas chercher à me cacher les difficultés énormes de moyen auxquels ils doivent faire face, ni l'urgence de faire plus.
En tant que futur médecin nous serons confronté à des personnes de milieux sociaux différents et faire face à la précarité n'est pas évident.
La nuit commence avec la double écoute du 115 et c'est alors que l'on fait face à différentes situations.
J'ai été choquée par le manque de moyens dont disposent le samu social et la ville de Paris pour faire face au nombre exorbitant de sans-abris : 4 camions par nuit, 4 sacs de couchages par camion, très peu de nourriture solide, peu de centres, peu de places.
La double écoute était très intéressante, ça m'a permis de voir à quel genre de situations les gens doivent faire face (expulsions du jour au lendemain, fuite de la violence, misère...).
J'ai aussi pu assister à quelques habitués, qui pour certains en pousuivant leurs rêves n'ont pas forcément les moyens pour de s'offrir un logement, gardent tout de même le sourire devant nous et ne demandent pas plus qu'une petite soupe pour faire face à la nuit un peu fraiche.
Je pense que cette garde nous permet, en tant que futurs médecins, bien entendu de mieux comprendre la détresse de certains (qui s'est ressentie au téléphone), mais aussi de voir l'organisation "en amont" et les conditions de travail des personnes au SAMU social qui n'ont pas forcément le matériel ou les ressources nécessaires pour faire face à certaines situations.
Les personnes qui acceptent d'être aidées sont bien souvent les moins avancées dans le processus d'exclusion -- des travailleurs précaires, personnes touchant encore quelques aides sociales, par contraste avec des personnes trop isolées ou trop souffrantes pour faire face aux difficultés rencontrées dans les centres d'hébergement ; ou encore, par contraste avec des personnes ressortissant d'autres pays de l'union européenne, ne pouvant qu'être "dépannées" exceptionnellement.