Le départ en camion, Cest different dirais-je. […] Le départ en camion est different...
Au départ je ne voulais pas me rendre à cette garde, ce n'était pas vraiment le moment avec les départs en vacances et l'enchaînement des gardes dans mon service de réa, mais je dois avouer que j'ai trouvé cette expérience très enrichissante.
Départ 20h, le briefing ou l'on me présente puis départ en camion.
Au départ j'étais plutôt inquiète vis à vis de cette garde, je n'avais vraiment pas envie d'y aller.
Retour à 3h30 au centre pour le repas et départ à 5h.
Etant plutôt un peu réticent à l'idée de faire cette garde au départ, celle-ci s'est avérée être une véritable expérience très enrichissante humainement.
Ensuite briefing et départ en camion.
Atelier double écoute intéressant Départ pour le maraude à 21h, l'équipe est très accueillante.
C'est difficile au départ de se faire sa place entre des collègues mais ils ont tous été très acceuillants.
La double écoute précédent le départ en camion est essentielle pour faire un peu le tour du samu.
On voit et entend des personnes qui sont dans de très grandes difficultés et cela peut être un petit peu dur au départ.
seule. 20h, le briefing commence, l'équipe semble connaitre un bon nombre de SDF de paris , c'est par leur prénom qu'ils parlent d'eux et abordent les derniers problèmes rnecontrés 20h30- départ pour la maraude-chargement des camions, direction le 18 et 19 ème arrondissement de Paris. […] Dans le bureau d'acceuil, un journal ouvert traine sur le bureau "fermeture d'un centre d'hébergement prévue ......" 00h, nouveau départ dans Paris, ville lumière....
Au départ, j'appréhendais beaucoup la maraude ou plutôt le contact avec "les gens de la rue" mais mon équipe, très sympathique a réussi à me mettre à l'aise et a su me rassurer pour faciliter mon approche envers eux.
J’y allais à contre-coeur au départ mais finalement ce fut une expérience très intéressante à laquelle je ne m’attendais pas.
Je reconnais y être allée un peu à reculons au départ.
Au départ, écoute téléphonique au centre du Samu Social à Ivry pendant deux heures puis le reste de la nuit dans les rues de Paris pour aller à la rencontre des SDF.
Lors du départ en maraude je dois avouer avoir été déçue de découvrir que l'équipe était uniquement sociale et absolument pas médicale.
Un peu dommage pour l’équipe et pour l’étudiant qui est par conséquent un peu perdu, sans réelle mission jusqu’à 21h, heure de départ du camion.
J'étais réticent au départ, à propos de cette fameuse garde et finalement, je trouve qu'elle a été très importante pour notre cursus afin de nous sensibiliser, d'une part à la détresse de certaines personnes (plus nombreuses que l'on peut le penser), que l'on peut être amené à soigner/rencontrer plus tard lors de notre exercice médical, mais aussi des moyens mis en places pour nous aider à les conseiller et surtout les aider le plus possible.
En effet, j'ai trouvé l'équipe peu ouverte à la présence d'un étudiant en médecine, surtout en début de soirée (l'un des membres de l'équipe a tenu à me prévenir avant notre départ qu'il n'aimait pas les médecins, ce qui m'a mise franchement mal à l'aise).
Puis un point à 20h avec le départ d'une des collègues pour Nantes et enfin la maraude.
J'attendais cette garde avec impatience pour découvrir les missions du samu social, j'étais touché par toute l'implication et la bonne humeur de l'équipe avant le départ.
Départ a 21h pour marauder dans les 3, 11 et 20 e arrondissement.
., qu'on a laissé aux urgences 2 - 3h après son départ contre avis, et qui était regardé avec dégout.
Malgré un à priori de départ mitigé (surtout par le coté obligatoire de la garde et l'approche imminente des examens), il en ressort tout de même une expérience surprenante et enrichissante de par son côté profondément humain et une ambiance de travail incroyable notamment en maraude!
Au départ nous n'avions pas de signalement donc nous nous sommes arrêtés quand nous voyions quelqu'un dans la rue qui avait besoin d'aide.
Le fait que la nuit soit réparti en 2 parties, double-écoute puis maraude, m'a permis de poser toutes les questions sur l'organisation et la logistique au départ et repartir plus informée dans la nuit.
Le fait de serrer la main à toutes les personnes que nous rencontrions m'a tout d'abord un peu surprise, c'est quelque chose que je fais rarement dans la vie courante, et qui peut faire un peu peur au départ, quand ce sont des personnes à la rue et que nous arrivons avec nos préjugés.
Le départ en camion à travers la nuit avec ma petite équipe marque le début d'une jolie aventure.
Cela déroute quelque peu au départ avant d'en apprécier les avantages et les inconvénients (il s'agit toujours d'un contact assez superficiel, de ce que j'en ai vu, probablement parce que les sans abris rencontrés cette nuit sont déjà bien connus des maraudes).
J'appréhendais un peu cette nuit au départ, mais finalement cela s'est très bien passé.
Départ pour la deuxième maraude… Si je devais résumer ma nuit, je dirai qu’elle a été faite de rencontres étonnantes et enrichissantes.
Vers 21h30 ,départ dans le camion avec deux agents du samu social , en direction du premier signalement de la nuit, c'était un homme de 70 ans installé dans une rue du 11eme arrondissements, quant on est arrivé il était accompagné de deux passants, il était bien couvert et refusait toute proposition de mise à l'abri ou même une boisson chaude , on lui a expliqué qu'il pouvait nous rappeler à n'importe quel moment s'il se sentait pas bien et on est reparti direction le signalement suivant!
Le briefing et le partage des équipes sonnent le début des départs des camions d’EMA avec la distribution des différents quartiers à marauder.
Au départ de cette nuit, je me sentais vraiment mal à l'aise, et je ne savais quoi faire et quoi dire qui puisse aider.
L'équipe peut distribuer des plats chauds, du café et des boissons, des couvertures de survie et des duvets, mais en quantité limitée (4 duvets au départ de la maraude).
Un début de soirée en double écoute avec une écoutante sociale attentive du 115, un briefing avant la tomber de la nuit pour organiser la maraude, puis l’attente écoulée à discuter de Xavier Emmanuelli avant le départ du camion 952 avec Marie l’infirmière, Annabelle, l’assistante sociale et Béchir le conducteur, et on roule vers Paris direction 4-5-12 et 13ème arrondissement.