Je remercie la faculté de nous confronter aux réels problèmes sociaux, indispensables à notre future pratique médicale.
Je trouve cette expérience très enrichissante, en effet de rencontrer des personnes qui travaillent dans ce domaine et qui savent comment réagir enrichit notre pratique. […] Les équipes sont très accueillantes, ils sont prêts à nous expliquer leur pratique et leurs habitudes si on s'y intéresse.
Cette garde a été très intéressante pour moi et pour ma future pratique professionnelle.
Nuit intéressante, permettant d'entrer en contact avec des situations difficiles qu'on n'a pas forcément l'occasion de croiser en pratique à l'hôpital.
Je trouve la garde très intéressant pour la futur pratique dans les situations où l'on rencontrera des gens demunisé, cela me permettra sûrement de réagir autrement que je ne l'aurai fait sans cette expérience
Sur le côté pratique, le siège du samu social n'est pas forcément pratique d'accès en transports...
Est il pour nous rendres plus " humains" dans la future pratique de la médecine ??
C'est là qu'on se rend compte qu'avoir étudié l'espagnol, ça a vraiment des applications pratiques directes.
Le concept de leur mission est très gratifiant mais en pratique ce n'est par si passionnant.
On se focalise davantage sur le " bien être " et le " mieux être " de la personne prise en charge qu'en pratique médicale pure.
J'ai beaucoup apprécié cette garde bien que l'appréhendant un peu ; l'accueil était très chaleureux et l'enseignement que l'on reçoit d'un point de vue personnel aux contact du monde de la rue est très enrichissant pour la pratique et l'approche des personnes en général.
J'ai eu conte de parcours de vie que je n'aurais jamais soupsonné et cela m'a encore une fois rappelé que les apriori sont vains et j'espère pouvoir utiliser cet enrichissement dans ma pratique médicale.
Cette immersion, courte s'il en est, m'a malgré tout permis de comprendre la mission et la pratique d'une activité dont j'avais déjà maintes fois entendu parler mais dont je ne m'imaginais pas pleinement le quotidien.
D'un point de vue pratique je pense que ça doit rester obligatoire car si ça avait été sur volontariat je ne l'aurais sûrement pas fait et j'aurais raté quelque chose.
C'est une partie intéressante de la garde, qui permet de se rendre compte des difficultés pratiques auxquelles sont confrontées les personnes les plus défavorisées.
Humainement c'était très enrichissant, Ca nous confronte à une réalité qu'on imagine pas forcement ou du moins pas comme ça, et à une réalité qu'on ne voit pas à l'hopital mais qui est tout à fait complémentaire à notre pratique clinique.
Pour cela, ce stage est très utile du point de vue médical, en étant confrontés à des personnes que nous n'avons pas l'habitude de rencontrer, et zn nous permettant de comprendre les détresses sociales auxquelles peuvent être soumis les patients que nous rencontrerons pendant notre pratique.
C'est une expérience qui nous permet de développer nos relations humaines et d'éveiller en nous le côté humanitaire, que je trouve, qu'on oublie malheureusement trop souvent dans la pratique courante de la médecine.
C'est dans ce genre d'expérience que l'on peut voir la mise en pratique et l'application de la devise républicaine humaniste "Liberté, Egalité, Fraternité".
Concernant la pratique, la double écoute est super.
Une bonne expérience humaine qui m'a permis d'en apprendre plus sur le domaine de la prise en charge sociale (et aussi son organisation pratique avec la double-écoute en soirée) et sur la solidarité en général!
En bilan, une garde loin de la pratique médicale mais permettant d'avoir connaissance de la complexité de la prise en charge des patients en difficulté sociale.
La double écoute comme la maraude permettent réellement d'avoir un aperçu du cauchemar quotidien que vivent les personnes sans logement et les problèmes pratiques qui se posent pour leur offrir un toit.
Expérience objectivement peu formatrice d'un point de vue pratique, mais humainement je pense qu'il est normal qu'elle soit obligatoire.
Au final, une expérience très enrichissante et très utile pour la pratique future.
Je pense que c'est un stage très intéressant pour la pratique médicale future (en particulier aux urgences car nous ne savons pas forcément comment réagir face à des situations de précarité).
Je suis en parallèle en stage dans un SAU et la continuité entre la prise en charge médicale et sociale représente un domaine que nous devons comprendre afin de pouvoir le mettre en pratique dans le futur. […] Cette expérience permet de retourner à notre pratique médicale, de la questionner, de la critiquer, afin de tenter de mieux comprendre notre rôle par rapport aux personnes en situation de détresse sociale.
Ce fut une expérience enrichissante, j'ai appris de nouvelles choses et un peu plus sur les mesures sociales proposées aux personnes en situation précaire et la façon dont celles ci sont mises en place en pratique.
En effet aux urgences et dans notre pratique futur on sera peut être en contact de personnes sans domicile fixe ou venant de milieux très défavorisés.
En pratique, ce sont des personnes sans emploi et sans ressource, sans attache ni lien social mais pas seulement et c'est ce qui m'a frappée cette nuit-là.
En pratique pour les ECN, cette nuit d'observation ne nous sera d'aucune utilité, mais dans notre vision des gens, des personnes en difficultés et potentiellement nos patients, cette expérience permet de se rendre compte de la réalité du terrain !
Cette garde au samu social, m'a ouvert un peu les yeux sur la vie de ces personnes et j'espère qu'elle m'inspirera dans ma pratique future.
En regardant les dossiers des appelant, on voit que beaucoup sont des patients, donc ça fait réfléchir à notre pratique.
- plus objectivement le rôle d'observateur est complètement dépassé pour des personnes qui sont externes depuis 2 ans déjà : > d'une part parce qu'observer sans pouvoir mettre en pratique est rarement productif surtout au cours d'une expérience si fugace (sur ce point il aurait donc été plus intéressant de laisser l'externe établir le contact avec des usagers connus réputés n'étant pas des cas délicats) ; > d'autre part compte tenu que nous interagissons depuis 2 ans avec des patients dans le cadre des stages, nous avons déjà côtoyé des patients en situations précaires ou d'abord délicat. […] - laisser l'externe initier le contact avec un usager connu du service pour mettre en pratique ce qu'il a retenu de l'observation et pouvoir bénéficier des conseils personnalisés des professionnels présents - l'expérience pouvant être intéressante sur le plan strictement intellectuel, mais il faut l'admettre, très peu pour le cursus, cet atelier devrait être facultatif - enfin, un point logistique mais d'une importante non moindre : la maraude ne ramène l'externe qu'après le dîner qui dure une heure et demi...
Ç' est un grand atout pour notre formation, une ouverture d'esprit et un apprentissage sur le terrain du travail d'équipe qui nous servira incontestablement dans la pratique de notre métier mais aussi dans notre vie personnelle.
Ça a enlevé certains préjugés que j'avais et je pense que ça peut nous aider dans notre pratique actuelle et future pour ne pas catégoriser et juger ces personnes.