Ce qui m'a le plus émue, c'est un homme sdf qu'on a aidé à se relever et qui nous a dit : "C'est la première fois depuis des années qu'on me touche"... On m'avait parlé de la solitude tactile avant de prendre ma garde ; mais là, c'était réel et devant moi pour la première fois.
C’etait la première fois que j’ai pu avoir une conversation avec un sdf, connaitre sa vie, ce qu’il l’a amener dans la rue.
C'est la première fois que je faisais une maraude avec la possibilité de proposer un logement aux sans-abris.
J'en suis revenu émerveillé; ça paraît bête, mais je me rends compte c'était la première fois que j'ai eu l'occasion de parler à des sans abris.
Ce n'était pas la première fois que je servais les sans abris ayant déjà travaillé en association avec l'ordre de Malte,mais cela était différent car ceux ci ne dormaient pas dans la rue mais sur le bateau à Javel.
Enfin, ça m'a permis d'avoir pour la première fois un contact direct avec les sans-abris, de discuter avec eux, voir dans quelles conditions ils vivent, et me rendre compte par les faits de la prise en charge sociale qu'on offre aux démunis (et qui est soit disant je pense très mauvaise) en ile de france.
C'était la première fois qu'il appelait le 115.
Expérience humaine enrichissante, c'est la première fois que j'étais confronté frontalement à la "misère humaine".
J'ai trouvé que c'était une expérience forte, d'autant plus que c'était la première fois que je participais à une maraude de ce genre.
Je remplis ce questionnaire pour la seconde fois mais il semble y avoir eu un bug la première fois puisque mon évaluation n'a apparemment pas été prise en compte.
C'était la première fois que je partais en maraude à la rencontre des sans abris.
En ce qui concerne la double écoute, je l'ai trouvé un peu courte (moins d'une heure) mais nous avons tout de même reçu l'appel d'une personne qui appelait pour la première fois (ce qui est le plus intéressant je pense).
C'était la première fois que j'allais à la rencontre des personnes dans la rue.
C'était la première fois que je participais à une maraude du SAMU Social, une expérience intéressante qui part à la rencontre des gens avec des histoires complètement opposées.
Un appel m'a particulièrement marquée : une femme qui appelait pour la première fois au samu social ; son compagnon l'avait mise à la rue car il avait appris sa séropositivité.
Certains habitués des maraudes, d'autres pour qui c'était la première fois.
J'ai d'ailleurs eu l'occasion de voir pour la première fois plusieurs de ces centres et de constater leur fonctionnement aussi différents soient-ils.
Au cours de ma garde j'ai eu l'occasion de voir et de visiter plusieurs lieux d'hébergement qui sont proposés aux gens de la rue et c'est probablement la première fois que j'ai écouté ainsi que parlé à des personnes vivant sur la rue.
C'était la première fois que ce jeune Hongrois d'une trentaine d'année, en France depuis 2 mois, dans la rue et ne parlant ni le français ni l'anglais, contactait le SAMU SOCIAL.
La double-écoute a été marquée par les appels des habitués qui cherchaient un endroit pour la nuit, qui s'opposaient aux communications de ceux qui appelaient pour la première fois et pour qui la demande ne pouvait pas toujours être satisfaite.
C'était la première fois qu'elle appelait le 115.
C'était la première fois que je faisais cette expérience.
J'entends par la, la première fois que je découvrais son existence, son activité, son rôle, ses objectifs et son accessibilité.
En effet, c’est la première fois que je communiquais avec des personnes vivant dehors, qui n’étaient pas sous alcool ou drogue et qui faisaient en sorte malgré tout de rester propre sur eux grâce aux différents centres de jour.
La première partie de celle-ci (double écoute) m'a permis de voir combien la gestion des appels était compliqué en me montrant que chaque situation était différente (entre les personnes déjà connues du Samu sociale, les personnes appelant pour la première fois, les familles, les personnes seules...).
J'ai été particulièrement marqué par un appel téléphonique de la part d'un jeune homme d'origine marocaine qui avait erré en Espagne pendant 3 semaines puis avait rejoint Toulouse, puis Paris, et qui a appelé le 115 pour la première fois.
C’était en fait la première fois que je passais du temps avec des gens qui vivent dans la rue (ou plus largement, des gens susceptibles de s’adresser au Samu Social).
Cette garde a été très intéressante de part le fait qu'il faisait pour la première fois de l'hiver et m'a également permis d'appréhender les difficultés à loger les sans abris à Paris.
C'était pour moi une première expérience, la première fois que je faisais une ronde de nuit pour aller aider ceux qui en avaient besoin.
Cette nuit d'observation m'a permis d'être à leur (vrai) contact pour la première fois et de comprendre plus sincèrement leur situation.
C'était la première fois que je découvrais le Samu Social et j'ai trouvé cette expérience très enrichissante.
Un appel m' a particulièrement marqué, il s'agit de celui d' un homme qui pour la première fois se retrouvait à passer la nuit seul dehors.
Il s'agissait d'un jeune homme de 19 ans qui se retrouvait à la rue pour la première fois sans aucun ami ni aucune famille qui ne pouvait l'héberger et qui venait de trouver un CDI dans la restauration.