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63. (2012) Ticket_1916

Pas beaucoup de signalements cette nuit là, avec la chaleur les gens n'avaient pas forcément envie de passer la nuit en hébergement.

64. (2018) Ticket_292

J'ai aussi pu découvrir tout ce qui était mis en place pour les hébergements d'urgence, ce avec quoi je n'étais pas forcément familiarisée avant ! […] En résumé, cette nuit m'aura aussi permis de voir un autre côté des gens à la rue, un côté auquel on ne fait pas forcément attention quand on passe à côté d'eux : ils ont besoin qu'on les écoute, d'un contact, et ils ont besoin qu'on les guide et accompagne dans certaines démarches, et c'est aussi là qu'intervient le 115 avec les travailleurs sociaux qu'il propose !

65. (2019) Ticket_101

Sur le côté pratique, le siège du samu social n'est pas forcément pratique d'accès en transports...

66. (2015) Ticket_1107

Cette nuit m'a permis de mieux discuter avec ces personnes en difficulté dans leur vie quotidienne, plutôt qu'à l'hôpital où ils ne sont pas forcément toujours bien accueillis ...

67. (2019) Ticket_193

Avant la maraude pendant la présentation et la double écoute j’ai aussi bien aimé découvrir les structures d’accueil qui existent ou des choses aussi basiques que trouver une douche gratuite ou des machines à laver, auxquelles on ne pense pas forcément Les points à améliorer seraient : -Du côté de la fac :pourquoi ne pas avancer cette garde en 2ème ou 3ème année car elle se rajoute à notre planning déjà chargé de gardes d’urgences réa ?

68. (2012) Ticket_1967

Le plus dur de la maraude est de serrer la main des gens pas forcément propres, serrer la main de quelqu'un qui vous dit juste après que ça le "gratte de partout", puis après quelques questions penser à la gale puis en partant de nouveau lui serrer la main.

69. (2011) Ticket_2258

C'était une expérience enrichissante: l'occasion de prendre vraiment en compte l'environnement social des personnes dans le besoin, l'occasion de discuter avec ces mêmes personnes que l'on n'aurait pas forcément cotoyées "en temps normal", et surtout l'occasion de faire disparaître l'image du "sans-abri = clochard"...

70. (2015) Ticket_1139

Je me suis aussi rendue compte que certaines personnes demandeuses au 115 ne ressemblaient pas forcément physiquement aux sdf que nous voyons tout le temps dans Paris.

71. (2015) Ticket_1326

Ce que les gens ne savent pas forcément aussi c'est qu'il y a beaucoup de personnes qui travaillent et qui sont quand même à la rue car leur salaire est trop faible pour pouvoir se loger.

72. (2018) Ticket_439

Expérience très enrichissante, a ma grande surprise; même si nous restons observateurs cela permet de poser un regard différent (moins de jugement, plus d'empathie) sur des personnes que l'on sera forcément amenés a côtoyer aussi bien dans notre vie personnelle que professionnelle.

73. (2017) Ticket_789

L'équipe m'avait alors informé que je risquais de m'ennuyer car ce travail était parfois un peu fastidieux et on l'on ne faisait pas forcément grand-chose de la nuit.

74. (2019) Ticket_153

Nous nous retrouvons face à une minuscule facette de la misère des personnes vivant dans la rue, qui nous entourent au quotidien et sur lesquelles on ne réfléchit pas forcément quotidiennement.

75. (2019) Ticket_259

Au premier abord j'avais des appréhensions quant au contact avec les personnes que nous allions voir, qui pour moi ne voulaient pas forcément être aidées Finalement en étant entourée d'une équipe qui a l'habitude on comprend vite que l'important c'est le respect de l'autre, qui qu'il soit, et c'est une valeur fondamentale à notre exercice médical Deux situations m'ont marquée : Une femme qui ne voulait pas qu'on l'aide et qui visiblement avait un peu peur de nous; en discutant avec l'équipe on se rend compte que c'est assez fréquent qu'elles refusent de l'aide du fait qu'elles subissent énormément de violences dans la rue et sont donc fermées sur elles-mêmes.

76. (2018) Ticket_395

J'ai aussi pu assister à quelques habitués, qui pour certains en pousuivant leurs rêves n'ont pas forcément les moyens pour de s'offrir un logement, gardent tout de même le sourire devant nous et ne demandent pas plus qu'une petite soupe pour faire face à la nuit un peu fraiche.

77. (2016) Ticket_929

Problème, les places de centres il y en a peu, et elles sont par conséquent remplies très rapidement et pas forcément par les personnes qui me semble (encore une fois c'est mon ressenti personnel) les plus fragiles.

78. (2016) Ticket_1098

Je pense que cette garde nous permet, en tant que futurs médecins, bien entendu de mieux comprendre la détresse de certains (qui s'est ressentie au téléphone), mais aussi de voir l'organisation "en amont" et les conditions de travail des personnes au SAMU social qui n'ont pas forcément le matériel ou les ressources nécessaires pour faire face à certaines situations.

79. (2014) Ticket_1459

C'est autant de conseils que j'ai entendu donner que l'on pourrait utiliser à l'hôpital pour les personnes en difficulté sociale, sans attendre forcément le passage souvent long à venir de l'assistante sociale hospitalière.

80. (2012) Ticket_1956

En fait les vivres et les affaires disponibles chaque soir ne sont pas systématiquement données, et ne sont pas forcément non plus données aux gens qui ne pourront pas avoir de logement pour la nuit.

81. (2017) Ticket_664

Le contact avec cette patientèle aux Urgences est forcément appréhendé sous un angle différent après une maraude.

82. (2019) Ticket_157

Je me rends compte qu'avoir un appartement, avoir une famille aimante, avoir des amis n'est pas forcément une banalité. […] A l'hôpital, on peut soigner des SDF, mais si l'on a pas vu comment sont leurs conditions, je pense que l'on se créé une perception complètement fictive de la rue et des ces personnes, qui n'est pas forcément la réalité.

83. (2014) Ticket_1490

De plus, cela ne permet pas d'assister aux éventuels cours de l'après-midi (parce que quand on arrive chez soi à 7h après une longue nuit, on n'a pas forcément envie de repartir à la fac quelques heures plus tard); et enfin, c'est parfois une vraie galère de prendre les transports en commun si tôt le matin pour aller de banlieue à banlieue.

84. (2011) Ticket_2248

Je trouve cette garde nécessaire et très intéressante mais je trouve aussi que nous n'y sommes pas forcément assez préparés ; ni avant ni après.

85. (2017) Ticket_525

Les gens ne tiennent pas forcément très longtemps face à la misère humaine à l'état pure.

86. (2014) Ticket_1560

Les seuls points négatifs qui m'ont interloqués sont l'attitude d'une personne à la double écoute qui répondait très mal aux appels, j'ai trouvé même si je n'ai pas eu de formation et que les personnes au téléphone ne sont pas forcément d'une extrême gentillesse son attitude déplacée.

87. (2013) Ticket_1580

Je pense qu'il est important pour les étudiants d'avoir une garde telle que celle-ci, puisqu'elle approche toute la misère sociale qui peut exister dans notre société aujourd'hui, et donc on ne tient pas forcément compte (ou du moins pas assez) dans la prise en charge médicale des patients.

88. (2011) Ticket_2299

Il n'y a que trois places à l'avant donc on est forcément à l'arrière avec les personnes, pour ma part cela s'est bien passé mais je trouve cela un peu délicat car tout le monde le vit différemment et on peut se sentir "coincé" en n'osant pas dire -par respect- que l'on ne préfère pas être à l'arrière..

89. (2017) Ticket_578

Au Samu social, nous ne voyons pas forcément des gens malades, parfois même, n'ont pas appelé le 115 mais l'alerte venait de passants.

90. (2016) Ticket_909

J'avais quelques a priori avant cette garde car je ne suis pas forcément à l'aise avec les plus démunis dans la vie de tous les jours.

91. (2013) Ticket_1647

J'ai aussi constaté que les démarches à faire pour se sortir de la rue ne sont pas si faciles et que ce n'est pas forcément juste un choix ou un abandon de vie mais surtout une accumulation de difficultés et un engrenage assez rapide.

92. (2011) Ticket_2174

Cette garde au SAMU social a été une très bonne expérience, très enrichissante, qui permet de prendre conscience de certaines réalités (oui, des gens vivent dans la rue, oui ce sont des gens "normaux", non ils ne sont pas forcément dangereux/agressifs/alcoolisés), de voir à quel point le quotidien de ces gens est une lutte pour la survie.

93. (2016) Ticket_989

Il a accepté qu'on l'emmène dans un centre et nous avons pu discuter avec lui de sa situation pour chercher des solutions à ses problèmes, ce que l'on a pas forcément le temps de faire de façon approfondie au cours d'un appel.

94. (2012) Ticket_1931

malheureusement j'ai bien peur que le cadre de l'hôpital ne soit pas en faveur d'une bonne entente car ces gens doivent être habitués à recevoir des soins pas forcément très "aimables" de la part du personnel soignant alors qu'ils accueillent plutôt bien les travailleurs du samu social qui sont formés pour être à l'écoute,et pour les aider, et qui ont tout leur temps a leur consacrer (contrairement à l'hôpital ou c'est plus speed...).

95. (2013) Ticket_1588

Je parle non seulement de la misère des personnes dans la rue mais également de la misère du SAMU Social pour trouver des places d'hébergement, qui sont à la fois extrêmement limitées et pas forcément adaptées (beaucoup préfèrent dormir dans la rue que dans ces foyers insalubres et parfois dangereux : bagarres, vols ...).

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