En effet , elle permet d'avoir un nouveau regard sur tous "nous défavorisés".
Cette nuit m'a permis de prendre conscience du travail qui existait pour venir en aide aux personnes les plus défavorisés sur un plan médical et surtout social.
En effet aux urgences et dans notre pratique futur on sera peut être en contact de personnes sans domicile fixe ou venant de milieux très défavorisés.
Je suis très contente d'avoir fait cette garde au SAMU social ce ne connaissais pas le fonctionnement des services d'accueil des personnes défavorisées ni le rôle exact du samu social.
Je n'imaginais pas du tout l'organisation qui était derrière la gestion des places dans les foyers de personnes défavorisées.
Maraude de Paris - Maraudes de Bamako Première expérience avec les personnes défavorisées en France.
Tout du moins, la double écoute m'aura permis d'appréhender la manière de prendre en charge ces personnes défavorisées sans trop atteindre leurdignité.
Pour résumé, je trouve que c'est une expérience très enrichissante qu'il est important de vivre dans le cadre de notre futur métier car cela nous permet de mieux comprendre les situations des personnes les plus défavorisées et de mieux les prendre en charge par la suite.
Il rencontra un jeune défavorisé, à qui il a voulu vendre le vélo pour vingt euros au lieu des cinquante espérés, le jeune homme lui en a donné trente, alors qu'il aurait tout aussi pu embarquer le vélo sans jamais revenir payer le monsieur.
Cela m'a beaucoup appris, notamment vis à vis de l'abord et du premier contact avec une personne issue d'un milieu tellement défavorisé et différent de notre quotidien, qu'on ne sait souvent pas comment s'y prendre pour ne pas braquer ou heurter la personne.
Cette garde est très enrichissante, tout d'abord sur le plan humain, car, habitués à rester un peu dans sa bulle, on apprend à s'approcher des plus défavorisés, à leur parler, à discuter avec eux, à leur montrer notre considération et attention pour eux.
La garde au Samu Social permet de remettre en cause les aprioris sur les personnes défavorisées et sans domicile, que nous sommes souvent amenés à soigner à l'hôpital, et avec qui nous avons parfois tendance à être mal à l'aise.
Nous devrions être formés davantage à la prise en charge sociale qui est primordiale pour les personnes défavorisées.
Je trouve que cette expérience est enrichissante sur le plan humain, car elle nous permet d'avoir un vrai contact avec les personnes défavorisées vivant dans la rue.
Une expérience géniale, qui change la vision que l'on peut avoir des défavorisé, et qui devrait être proposé à l'ensemble des gens en formation dans le domaine de la santé et du social.
Dans notre métier, on travaillera souvent avec des personnes défavorisées et il faut qu'on n'aie pas trop de préjugés.
Espoir car j'ai pu me rendre compte à la fois sur la double écoute et le terrain l'espoir des défavorisés d'être accueilli à tout prix dans un centre; le refus suite à des fautes de place me faisait la plupart du temps de la peine.
Pouvoir découvrir l'environnement de ces personnes défavorisées est nécessaire pour les comprendre.
La garde au SAMU SOCIAL est une exérience humaine sans égal, et doit être poursuivie le plus longtemps possible pour faire découvrir aux étudiants les milieux défavorisés et un côté de la ville de Paris que l'on ne connaît pas.
Malgré les aprioris que j'avais sur cette garde (plus sociale que médicale) j'ai trouvé que cela apportait un réel plus, pas tant pour la pratique médicale en elle même mais surtout dans la relation a l'humain, en particulier lorsque cela touche des personnes défavorisées socialement et financièrement.
J'ai vraiment pris conscience de la situation, ça m'a vraiment changé dans le sens où je fais beaucoup plus attention aux personnes défavorisées dans la rue; ce qui m'a le plus touchée, ce sont les regards des hommes et femmes qu'on aidait, leur reconnaissance, leur sourire, leur soulagement qui se lisait sur le visage et ça c'était le plus beau; J'ai également été touchée par la bonne humeur qu'ils manifestaient, et ce malgré leur situation.
En effet, au travers de plusieurs discussions avec les intervenants du SAMU social, il m'apparait important de traiter une question assez sensible "La défiance qu'ont le SAMU social et les personnes défavorisées vis à vis de l'hôpital".
Observer le travail des travailleurs sociaux, ambulanciers et infirmiers et discuter avec eux m'a permit de mieux comprendre que malgré ce qu'ils peuvent faire, la situation se dégrade à Paris pour les personnes défavorisées.
C'est impressionnant de voir ce que les camions du samu social font chaque nuit pour les gens défavorisés, sur la rue.
Elle m’a permis d’avoir plus d’empathie envers les personnes les plus défavorisées, celles qu’on « évite » à l’hôpital.
Nous avons emmener aux urgences un jeune homme qui s'était ouvert la main avant de l'emmener dans un foyer, là aussi, très important, c'est un côté qui doit encore être amélioré dans la prise en charge à l'hôpital des personnes défavorisées, moins de jugement sur l'apparence, l'alcool, le comportement, et plus les voir comme des patients et pas comme des gens qui cherchent à "dormir" à l'hôpital.
Aller à la rencontre des personnes défavorisés, m'a permis de me rendre compte que j'avais souvent tendance à les déshumaniser (malgré moi) et cette nuit m'a permis de me rendre compte que : oui ils sont bien humain.
Il est après difficile d'exprimer entièrement mon ressenti et mes réflexions dans un paragraphe mais je si devais tenter de résumer quelques points lors de cette nuit au SAMU Social, je retiendrais tout d'abord -et bien que cela paraisse évident- l'importance d'un contact d'égal à égal avec les personnes défavorisées, contact empathique dénué de pitié et de condescendance (assez similaire à la relation médecin-patient).
Un véritable messager d'espoir pour les plus défavorisés!
J'étais assez enthousiaste à l'idée de cette garde, d'aller à la rencontre des personnes défavorisées, de leur apporter un peu de chaleur humaine mais à vrai dire j'en suis ressortie assez dubitative.
L'humanitaire me plait beaucoup et je compte après mon cursus de médecine en France m'abandonner à Médecins sans frontières, voyager et aller à l'encontre de population défavorisée et en absence de soin.
La nuit au SAMU SOCIAL fut intéressante dans la mesure où l'on pouvait entrer en contact avec les personnes défavorisées, isolées, et nécessitant de l'aide pour un hébergement et pour se nourrir ou même boire.
La double écoute nous permet d'être confronté aux gens qui doivent appeler le 115 pour trouver un abri la nuit, aux gens qui sont défavorisés et appellent pour avoir du soutien, de l'aide pour trouver où dormir, où manger, où se laver, ou simplement, où être écouté.