Le fait de demander après la pause si l'on veut continuer les maraudes ou rentrer chez nous est une bonne chose, j'avais la chance de ne pas travailler le lendemain, mais ça n'est pas donné à tout le monde, et dans ce cas, la fatigue s'accumule. Pour ma part, j'ai décidé sans hésiter à continuer les maraudes avec mon équipe jusqu'à épuisement tellement j'ai trouvé ça fascinant.
Mais déjà, pour ce qui est en place, je dis bravo, continuez, et bon courage. Pour ce qui est de la garde, il faut que ça continue.
Stage utile, à continuer pour les promos suivantes.
Il faut absolument continuer de montrer aux étudiants en quoi cela consiste !
La nuit au SAMU SOCIAL est une expérience enrichissante, qui je l'espère continuera pour les futures promotions.
Ce qui m'a marqué durant la double écoute c'est que certaines familles avec plusieurs enfants en bas âge continuent à dormir dans la rue en raison du nombre encore insuffisant de places d'hébergement.
On voit très bien la nécessité des gens de la rue, qui continue même au sortir de l'hiver.
La problématique des usagers est loin d'être résolue, et pourtant ils continuent tous les jours de se battre pour chaque SDF à qui ils permettront de passer la nuit au chaud, ou d'avoir une soupe, ou même rien qu'un peu de contact humain.
Je recommande vivement de continuer ces gardes pour les futurs DFASM1.
Mon regard sur les personnes à la rue a aussi beaucoup changé depuis cette garde, moi qui les pensais obligatoirement marginalisés +++ Garde à continuer !
Le fait de comprendre que les "assistés" n'existent quasiment pas donne une autre vision des choses, que strictement personne ne veux continuer à dormir dans la rue.
Son cas a été l'objet d'une réelle discussion au sein de l'équipe entre les "pour" continuer à le ramener et les "contre".
Ces gardes sont une excellente formation pour les futurs médecins que nous sommes, et j'espère vivement qu'elles continueront à être proposées aux externes !
D'autres sont contraintes de continuer à vivre dans la rue alors qu'elles ont retrouvé un travail.
Même les conditions difficiles du froid et de la pluie ne les ont pas découragés et ils ont continué la maraude avec bonne humeur et patience.
Il est bon d'etre parfois confrontés a la misère et a la détresse qui nous entoure, dont on ne prend pas toujours consience a l'hopital lorsqu'on renvoie une personne sans domicile dans la rue, en fermant les yeux sur le fait qu'il ne pourra probablement pas etre pris en charge et continuer les soins nécessaires a son retablissement.
Durant ma garde, mon équipe a été confrontée à la mort d'un SDF qu'il connaissait très bien et a été dans l'incapacité de continuer la maraude.
Je recommande fortement de continuer à proposer ces gardes en D2, elles sont particulièrement enrichissantes, merci.
Expérience enrichissante, je recommande de continuer ces gardes pour les futures promotions !
Au total, une garde qui mérite de continuer, car elle apporte ce qu'aucune autre garde ne pourra faire.
Enfin, j'ai été très touchée par les enfants dans la rues, d'abord une famille avec 2 enfants d'environ 5 ans qui gardaient le sourire et continuaient de chanter malgré la fatigue et le froid puis un couple avec un bébé de 11 jours, pour ces trois derniers cas j'ai trouvé la prise en charge du SAMU social à la fois extraordinaire et indispensable.
Bref dispositif à continuer+++, à promouvoir, à élargir,...
C'est pourquoi j'espère que ces gardes vont continuer pour toutes les promotions futures afin de retrouver cette chaleur humaine au sein des services hospitaliers.
Nous avons aussi été confrontés à des personnes refusant une aide plus poussée comme des soins médicaux en centre et qui d'une certaine manière préféraient continuer à vivre dans l'exclusion par perte d'espoir sûrement, c'est l'aspect le plus difficile à accepter.
Je suis vraiment reconnaissante d’avoir pu participer à cette maraude, elle m’a permis de continuer à garder espoir en l’humanité et de découvrir les aides disponibles aux personnes exclues qui vivent dans un monde que l’on cache de nos yeux naïfs.
En espérant que le samu social puissent continuer de veiller sur eux malgré la demande croissante...
Cela m’a vraiment fait ouvrir les yeux et je vous encourage à continuer cette initiation.
Je conseil fortement de continuer de proposer cette expérience aux étudiants de médecine.
Ce stage de nuit est une bonne opportunité afin de voir une autre facette de situations inhérentes à nos études de médecine, nous avons bien sûr été confrontés, à l'occasion de stages hospitaliers à cette population mais sans savoir ce qu'il advenait d'eux à leur sortie, comment est-ce qu'ils faisaient pour continuer à se soigner, à bénéficier d'un suivi régulier.
Je trouve que cette nuit à vraiment été une belle expérience et j'encourage la faculté à continuer à permettre aux étudiants de faire des gardes comme celle-ci.
Je continue à regarder les lumières de paris qui défilent à toute vitesse en réfléchissant à ce que je voudrais retirer de cette nuit.
Bref, c'est à continuer, voire à approfondir.
Ce qui est frappant c'est la différence que l'on peut noter dans la psychologie des personnes rien qu'au telephone, entre ceux qui demandent un coup de pouce, l'hébergement, pour continuer leurs démarches et s'en sortir, et ceux où l'on peut entendre leur lassitude et qui sont dans le système et ses habitudes depuis des années sans réelle conviction de s'en sortir.