Etant donné que nous sommes en été, la plupart des gens n'ont pas de problème de froid. […] La plupart des gens sont tous connus du SAMU social, ils ont tous un dossier, et les équipes finissent par tous les connaître.
Lors de la tournée dans le camion, j'ai ainsi pu constaté que la plupart des arrêts se soldaient par une impossibilité à subvenir à la plupart des besoins : pas d'hébergement disponible pour la nuit, pas de vêtements d'enfant à proposer, juste du café, un sourire, et des conseils de redirection vers une assistance sociale et des centres fournissant nourriture, vêtements, et douches.
La double écoute s'est déroulée sans événement atypique, les appelants ont reçu pour la plupart une place en centre pour la nuit, de même dans le camion, la plupart des personnes demandant une place ont pu en avoir une, mis à part quelque uns à cause d'un manque de place dans les centres.
Ce qui m'a frappée c'est que la plupart des personnes rencontrées étaient contentes de nous voir, même si c'était uniquement pour un serrage de main et un café.
La maraude a également été intéressante, mais c'est dommage qu'on n'y ait participé que la nuit, car la plupart des personnes sans abri dormaient, donc nous avons échangé qu'avec très peu de personnes.
Ce qui m'a surtout marqué, c'est à quelle point leurs interactions sociales étaient peu marqués, certains était même plus généreux que la plupart des personnes, mais ce qui m'a aussi beaucoup touché était qu'il restait quand même des personnes qui se dévouaient pour les aider que ce soit les personnes du samu social ou des particuliers.
J'ai pu prendre conscience du nombre de personne qui attendaient chaque jour un nouveau lieu pour dormir et éviter de passer la nuit dans le froid (bref, prise de conscience). 1 heure plus tard, après le staff, j'ai été affecté à une équipe de "maraude", tout s'est bien passé, la plupart des sans-papiers que nous sommes allés voir ont été emmené à Montrouge pour leur fournir un lit et un repas. […] Le contact avec la plupart des SDF s'est bien passé, ce sont des gens comme tout le monde, pas des fous (sauf pour certains), ils sont juste juste saouls et perdus pour la plupart.
Croiser quotidiennement des SDF dans la rue, dans le métro, et s'habituer à ce paysage de misère est normal pour la plupart des gens.
Et voir comme ils connaissent la plupart des sans-abris, leur lieux de vie et leur histoire, c'est inspirant.
La plupart des "interlocuteurs" étaient connus, c'est-à-dire qu'ils avaient déjà été hébergés dans la semaine précédente. On a reçu les places pour les hébergements que vers 19h15, heure à laquelle la plupart des interlocuteurs re-appellent pour avoir un abris. 20h: changement de salle : briefing sur ce qu'il s'est passé la nuit précédente et répartition des arrondissements entre membres de l'équipe. […] -Par ailleurs, la plupart des personnes qu'on a rencontré dormaient et ne voulaient pas être réveillées.
Cela est dû au fait que la plupart des appels que j'ai entendus étaient des appels pour avoir une place en foyer/hotel pour la nuit.
Selon moi le SAMU Social devrait avoir plus de moyens pour construire de nouveaux refuges de qualité, car actuellement la plupart des centres sont de grandes salles où les personnes sont entassées sans aucune intimité ni respect de leur dignité.
La plupart des sans abris étaient adorables et échanger avec eux, les écouter, m'a beaucoup touché.
Alors tout d'abord, j'ai trouvé que c'est une bonne expérience de participer une nuit comme ça dans les missions du samu social, de voir et aider les gens que nous, pour la plupart des gens, ignorons dans la vie quotidienne.
Étonnamment, la plupart des personnes que l'équipe que je suivait a recueillie leur était connue.
J'ai été étonnée de voir que le personnel pendant la maraude connaissait la plupart des SDF, leur prénom, leur situation, leur histoire.
Malheureusement, la plupart des personnes qui appelaient n'ont pas pu avoir de lit pour la nuit.
Les équipes connaissent la plupart des sans-abris et une véritable relation existe entre eux.
J'ai malgré tout été étonné quelque peu frustré de voir que la plupart des solutions proposées sont de rappeler le 115 encore et encore ou alors de se rendre dans des centres où des hôpitaux éloignés des appelants sans s'assurer toujours de leur compréhension ou de leur capacité à s'y rendre..
En effet, il existe bien des centres pour loger la plupart des personnes cependant quand on voit la qualité de l'hébergement à La Boulangerie, on comprend pourquoi tant de monde préfère rester dans le froid au lieu de s'entasser dans un local insalubre et non sécurisé.
En effet, la démarche du SAMU social va dans un sens opposé à celui qu'ont la plupart des personnes au quotidien, qui consiste plutôt en l'ignorance voire l'exclusion de ces personnes, alors que ce soir-là, nous sommes justement à leur rencontre, dans un but d'échange.
et bien non, la plupart des SDF sont des gens comme vous et moi, dont vous ne soupçonneriez pas, en les croisant la journée, qu'ils n'aient pas d'endroit où dormir.
La maraude a été, contrairement à ce que je m'étais imaginé, assez joyeuse, l'équipe connaissait le nom et le passé de la plupart des personnes vivent dans la rue et était très patiente et tout particulièrement gentille et ouverte aux questions.
Quand nous sommes partis en maraude après l'écoute téléphonique, la plupart des places en hébergement avaient déjà été attribuées.
Ce qui m'a manqué lors de cette nuit est de pouvoir rencontrer davantage de personnes pouvant exprimer ses sentiments, la plupart des SDF rencontrés étant étrangers ou trop alcoolisés pour parler.
La plupart des gens qui ont appelé cherchaient un endroit pour dormir, mais quasiment aucune place n'a été accordé.
Les gens travaillant au SAMU social connaissent la plupart des sdf et le lieu où ils vivent, ils sont vraiment impliqués, s'intéressent réellement aux personnes et tentent toujours de les orienter vers des assistants sociaux et des organismes pouvant les aider.
La plupart des personnes que nous avons rencontrées se contentaient de nous demander le très strict minimum, expliquant qu'elles préféraient passer la nuit dehors plutôt que dans un centre (dont certains mettent les sans abris dans des conditions de vie encore plus difficiles pour la nuit selon eux), que cela leur permettait de montrer qu'elles pouvaient faire face à l'adversité d'elles même, qu'elles avaient encore l'espoir de réussir à passer ce cap on ne peut plus difficile.
et sont souvent chaleureux, bien plus que la plupart des gens que nous croisons chaque jour.
Les places partaient vite et la plupart des réponses données aux personnes appelant au 115 et sollicitant un hébergement étaient "nous n'avons pas encore de places disponibles veuillez rappeler dans 1 heure", "abritez vous dans une église ou un hôpital en attendant", sans aucune certitude que ces personnes ne dormiront pas une nouvelle fois, seule ou parfois avec toute une famille, dans la rue ou dans une gare.
J'ai trouvé la double écoute très interessante mais également très frustrante car la plupart des personnes appelant le 115 sont à la recherche d'un hébergement d'urgence pour passer la nuit, or le nombre de places disponibles est bien évidemment limité et toute la difficulté réside donc dans la prise de décision quant à la qualité de prioritaire de l'appelant.
Ce qui m'a alerté dès la double écoute et plus tard pendant la maraude est le manque d'endroits où passer la nuit pour la plupart des sans abris comparé au nombre de personnes le nécessitant, et malgré tout que beaucoup de sans abris refusent de passer la nuit dans certains établissements compte tenu du refus de se séparer lorsqu'il s'agit d'un couple ou d'une famille, de la distance et de la peur du vol des peu de possessions de ces personnes, et enfin la précarité sociale et matérielle parfois mal supportée de certains de ces établissements.