Cette garde m'a permis également de découvrir l'existence du 115 que malheureusement je ne connaissais pas.
Très bon stage, cela m'a permis de découvrir l 'existence du Samu SOCIAL dont j'ignorais l'existence auparavant.
J'ai pu visiter les foyers d'hébergement dont pareillement j'ignorais l'existence : ce sont des lieux au final assez accueillants avec un personnel à l'écoute.
Je pense qu'il faudrait mieux informer les français de l'existence du Samu social; avant cette garde, je n'en avait jamais entendu parler.
Garde instructive concernant le fonctionnement et l'existence du SAMU social.
L'expérience a été très enrichissante et m'a permis d'oublier mes préjugés sur la question, d'avoir un peu plus d'"art de la communication" avec les personnes en difficulté sociale, de réaliser l'existence de ce type de structure de soutien et du numéro 115, de cotoyer des personnes faisant un travail exceptionnel avec aussi peu de moyens.
J'ai appris ce qu'était le Samu Social, dont je connaissais vaguement l'existence mais dont je connaissais pas le fonctionnement et l'objectif.
Ce mini-stage est enrichissant car j'ai découvert l'existence des maraudes la nuit, j'ai également appris qu'il y avait des endroits où les plus démunis pouvaient manger, se laver et dormir gratuitement.
Cette garde m'a permit de découvrir une association, une organisation dont j'ignorais complètement l'existence (étant étrangère, et en France depuis le P2) J'espère que le fait de faire la garde permettra aux gens de changer un peu leurs avis qu'ils ont sur les personnes en détresse ou les DSF, de voir l'histoire qu'il a derrière chacun.
Je ne connaissais que de nom l'existence d'un samu social sans en connaitre ses missions, et cette nuit m'a permis d'en apprendre plus à ce sujet, et d'avoir un aperçu des différentes aides et structures mises en places pour aider.
J'ai pu par la suite découvrir l'existence de lits infirmiers, point important pour mon futur exercice.
Ce stage d'une nuit au SAMU SOCIAL m'a permis de découvrir l'organisation du soutien apporté aux personnes sans abri à Paris: le numéro 115 dont je ne connaissais pas l'existence avant ce stage, le fonctionnement des structures d'hébergement, l'aide apportée aux familles en situation de détresse, les différentes associations (ainsi que leurs missions) existant sur Paris..
Nous sommes tous au courant de l'existence de la misère, de la pauvreté, des personnes sans abris, seulement notre société ferme les yeux.
Avant cette garde au SAMU SOCIAL, j'ignorais presque son existence et je n'aurais jamais pensé à appeler le 115.
J'y ai appris l'existence des partenariats avec des hotels pour l'accueil des sans abris, je ne savais pas qu'un sans abris devait constituer un dossier pour ensuite pouvoir obtenir un logement pour la nuit sur un simple coup de fil et autres...
Même si personne ne nie leur existence (ce serait se voiler vraiment la face!)
Pour ceux qui ont raté une marche sur l’escalier de l’existence.
Cette garde au Samu Social m'a tout d'abord permis de connaître l'existence du 115 et des centres d'hébergement.
Le contact avec l'indigence offre un regard neuf et une vision différente d'existences variées et inégales, nourrissant l'imaginaire mais finalement méconnues.
Je ne connaissais pas vraiment l'existence du SAMU sociale et encore moins sont rôle avant cette garde.
Bref, honnêtement, j'ai appris sur l'importance d'une maraude, le don d'une soupe, le recueil dans un foyer chaud, l'existence de cet organisme.
Beaucoup de parcours différents, qui montrent aussi que la précarité peut toucher quelqu'un à tout moment de sa vie, il suffit parfois d'un seul événement qui fait basculer l'existence et met des hommes, des femmes et des familles dans la rue.
(dont je ne connaissais rien sur l'existence jusqu'ici)
On découvre aussi l'existence de violences dans certains centres d'hébergements, laissant peu serein.
Cette garde m'a permis de mieux connaître les différentes ressources dont on dispose pour aider les personnes en grande détresse sociale, notamment l'existence de nombreux centres d'hébergement, ce qui m'était jusqu'alors assez étranger.
Je ne connaissais pas non plus l'existence des centres d'acceuil et d'hébergements pour SDF : le centre Romain Rolland est neuf et tout à fait adapté à l'acceuil de ces personnes, au contraire de la Boulangerie qui nécessite une remise à neuf, une utilisation des 2 étages abandonnés situés au dessus du rez de chaussé et une amélioration des conditions d'hébergements des SDF.
C'est une confrontation difficile avec la misère sociale mais qui m'a permis de mieux comprendre les conditions de vie des SDF, leurs possibilités et le fonctionnement des ces centres d'accueil dont j'ignorais l'existence.
Je pense aussi que l'on devrait mieux informer la population de l'existence du SAMU social et du 115.
A vrai dire je ne connaissais pas vraiment l'existence du SAMU social avant cette année, et je dois dire que je trouve leur travail formidable et que je suis vraiment admirative de leur dévouement.
J'entends par la, la première fois que je découvrais son existence, son activité, son rôle, ses objectifs et son accessibilité.
Le fait de voir le fonctionnement d'un Samu Social, de découvrir son existence...
Très bonne expérience, je connaissais l'existence du SAMU social sans être au courant de se différentes activités.