Elle m a permi de prendre véritablement conscience des problèmes du quotidien des personnes en difficulté.
"L'homme - dont parle Victor Hugo - tellement ruiné qu'il n'a plus que son honneur, tellement dépouillé qu'il n'a plus que sa conscience, tellement isolé qu'il n'a plus près de lui que l'équité, tellement renié qu'il n'a plus avec lui que la vérité, tellement jeté aux ténèbres qu'il ne lui reste plus que le soleil..." […] Merci à la faculté pour cette expérience qui marque la conscience d'une vie.
J'ai aussi pris conscience de ce qu'était le milieux de la "rue"
L'écoute au 115 était impressionnante car je me rendais compte de la détresse sociale dans laquelle les personnes vivaient, ce dont je n'avais pas nécessairement eu conscience quand je voyais des sans abris (par exemple) dans la rue.
Ça n’est pas un aspect de l’engagement social qui me tente particulièrement mais il est important d’y passer pour avoir conscience de ce pan important du système de soin.
Bien que provenant d'un milieu social favorisé j'avais conscience que certaines personnes vivaient dans des situations extrêmement précaires, cette garde ne m'a malheureusement pas appris grand chose de ce côté là.
Elle permet aussi de mieux connaître les conditions de vie de ces personnes, dont on a pas forcément conscience.
Cela nous fait pr être conscience des difficultes de ses personnes et des aides et réconfort qu’on peut leur apporter à travers ces maraudes.
C'est une expérience enrichissante tant sur le plan personnel ( je n'avais sans doute jamais bien pris conscience de l'ampleur des difficultés auxquels étaient confrontés les personnes démunis de logement) que sur le plan professionnel.
La visite de Montrouge m'a permis de voir que les gens peuvent être logés un minimum dans de bonnes conditions, cela soulage ma conscience...
Elle nous aide à prendre pleinement conscience des gens qui nous entourent au quotidien et des difficultés que l’on peut rencontrer à tout moment dans notre vie.
J'ai pris conscience de la difficultés de certains personnes (migrants notamment) de trouver un repas et un logement, alors même que ces personnes sortent d'une période très difficile (fuite de leur pays en guerre, etc).
L'équipe montre par ailleurs une joie de vivre reflétant tout à fait la conscience qu'ils ont de l'importance de leur métier.
mais j'ai conscience que c'est déja beaucoup, ne serait-ce que pour limiter leur isolement social et leur offrir un endroit où se laver, manger et passer une nuit au chaud.
J'ai pris conscience du manque de moyen qui était à disposition et du peu d'espoir que cela engendré.
Cette garde permet de se confronter concrètement à des réalités dont on a conscience, mais qui peuvent rester assez abstraites dans la vie quotidienne.
Une expérience humaine intéressante, permettant d'ouvrir les yeux sur une réalité que l'on sait exister sans toutefois réellement avoir conscience de la misère qui peut exister dans les rues de notre capitale.
J'ai réellement pris conscience de la souffrance psychologique des sdf (ainsi que de leur souffrance physique et matérielle que je connaissais déjà).
La maraude fut courte le personnel m’a gentiment ramené chez moi mais les explications m’ont permis d’avoir une idée d’en quoi consiste les actions du samu social et avoir conscience de l’importance de leur travail.
J'en garde le souvenir en une expérience humaine très forte mais aussi d'un choc de conscience des plus marquant.
Même si la Faculté est un établissement publique et que les frais d'inscription sont bas, les études de médecine sont encore (et peut être plus) "réservées" aux catégories sociales aisées, qui n'ont peut être pas conscience de ces situations de misère et d'exclusion.
-Prise de conscience des conditions difficiles et notamment en hiver pendant les périodes de grand froid.
La nuit au SAMU social m'a permis de reprendre conscience du fait que les sans abris devaient survivre et trouver un moyen de se sentir exister, de communiquer avec les gens qui appartenaient à un monde auquel il ne faisaient plus partis, dont ils étaient témoin de l'activité mais ou leur contribution étaient plus que limités; et que les seuls qui prêtaient attention à eux étaient le SAMU social.
Le stage d'une nuit au SAMU SOCIAL de Paris fut une expérience unique pour prendre pleine conscience de la réalité et dureté de la vie de personne que nous croisons dans la rue au quotidien sans y prêter trop attention, car les SDFs sont devenus une chose banale à Paris.
Bien sûr, j'ai conscience que nous sommes bloqués dans cette initiative par le manque évident de moyens (financiers, personnels) mis à notre disposition..
Cette nuit au Samu sociale m'a été très bénéfique dans le sens qu'elle m'a permis de prendre réellement conscience des difficultés que rencontrent les sans-abris dans leur quotidien, que ce soit la violence, les vols ou les problèmes pour trouver un hébergement pour la nuit.
A notre conscience maintenant d'agir, de lutter contre l'inertie, la flemme...
Et c'est en entendant cette dame raconter son histoire, que j'ai pris conscience des limites de notre système.
Je connaissais plus ou moins les sans-abris de mon quartier et j'ai pris conscience qu'il y en a des milliers d'autres à Paris.
On prend vraiment conscience que beaucoup de gens comptent sur l'aide sociale et que sans elle ils n'auraient plus beaucoup de mains tendues.
Je pense que cette nuit m'a permis d'acquérir un tout autre regard concernant ces individus démunis et comprendre un peu plus la réalité dans laquelle nous vivons, ou du moins en avoir davantage conscience.
Même si j'ai conscience que l'extrême opposé font que la rue pour ces personnes est aussi très dangeureuse chaque nuit...