Je finirais en remerciant la faculté pour cette initiative extrêmement bénéfique et en souligne la singularité (seule fac à ma connaissance à proposer cette expérience).
Après 2h de double écoute, j'ai fini surprise par le nombre de demandes et surtout par celles non pourvues (chambre où dormir) pour les primo-demandeurs notamment...
Maurice espérait un livre car il avait bientôt fini le sien.
Ce n'est d'abord pas très juste vis à vis des autres étudiants qui ont la possibilité de rentrer chez eux vers 3h alors que nous devons attendre parfois sans rien faire dans les bureaux du SAMU social que le traffic du métro/rer démarre (ayant fini la maraude à 4h15 et le premier métro partant à 5h30).
Les appels au 115 etaient presque tous rejetés d'emblée: avec la fin" administrative" de la periode hivernale, de nombreux refuges (gymnases..) mis à disposition pour l'hiver sont deja fermés alors que le froid n'est pas du tout fini.
Pour finir, ce fut une très bonne experience et meme si la plupart d'entre nous ne travaillera jamais au Samu Social je pense que cest bien de l'avoir vécu au moins une fois dans sa vie.
Ce qui m’a étonné surtout, parce que je n’en m’attendais pas à cette approche, c’est le fait de laisser les gens tranquille quand ils dorment, même s’ils ont été « signalés », avec nos réflexes de futurs médecins on aurait plutôt envie de vérifier que la personne est plus pub moins en bonne santé et e qu’il faut faire pour la soigner, c’est vrai que dans notre domaine on fini par s’éloigner de la question centrale qui est de prendre soin de la personne et se préoccuper donc plus de ses attentes et d’en son confort plutôt que de ses besoins « physiologiques » qui en fin de compte pour la personne ne recouvre souvent que peu d’importance.
Chacun avait son histoire: du dealer qui a été renversé volontairement par un concurrent et se trouve en fauteuil roulant dans la rue depuis, un autre qui parle peu et finit par me dire que ça fait l'équivalent de mon âge qu'il vit dehors et se débrouille; et puis les migrants qui viennent en nombre, certains plus jeunes que moi, qui ont traversé une bonne partie du monde pour trouver une vie meilleure, avec pour seuls effets personnels une tenue de rechange leurs papiers et un peu de nourriture et d'argent sous leur manteau, certains ne pouvant même pas faire de demande d'asile pour la seule raison que leur empreinte digitale a été prise dans un autre pays de l'UE.
En effet finir à 5h du matin alors qu'on habite à plus d'une heure d'Ivry et devoir rentrer en RER après peut être compliqué pour certains étudiants.
Pour finir, je dirais que cette nuit au samu social de paris fut très enrichissante humainement parlant, et je tiens à féliciter toute l'équipe pour son engagement et sa mobilisation.
Pour finir, je dirais que cette nuit au samu social de paris fut très enrichissante humainement parlant, et je tiens à féliciter toute l'équipe pour son engagement et sa mobilisation.
Pour finir, je dirais que cette nuit au samu social de paris fut très enrichissante humainement parlant, et je tiens à féliciter toute l'équipe pour son engagement et sa mobilisation.
Pour finir, je dirais que cette nuit au samu social de paris fut très enrichissante humainement parlant, et je tiens à féliciter toute l'équipe pour son engagement et sa mobilisation.
Pour finir, je dirais que cette nuit au samu social de paris fut très enrichissante humainement parlant, et je tiens à féliciter toute l'équipe pour son engagement et sa mobilisation.
Au bout de 5 minutes il finit par dire que celui-ci avait consommé 2 plaquette de cetrizidine mais qu'il ne l'aiderait pas puisque c'était ses médicaments et que son voisin lui avait dérober.
Et donc pour finir, j'ai envie de lancer ce débat tant aux institutions qui gèrent le samu social qu'aux parties civiles : - Où sont les invendus alimentaires des commerces de proximités et des grands magasins?
Une attente bien due au manque de moyens car aussitôt un appel fini, un autre est décroché.
Elle finit par s'en aller.
Il venait de se fait virer du squat où il logeait et souhaitait trouver un logement pour continuer de s"entretenir" afin de finir sa formation à Carrefour où on lui avait promis un cdd.
Une autre personne était un jeune homme rencontré dans un foyer où nous emmenions plusieurs personnes, jeune homme qui avait fini par faire connaissance avec les équipes, qui réussissait à garder son humour et son optimisme malgré cette situation difficile.
Je suis de nature curieuse et ouverte à tout, mais à 4h30 du matin, dans le froid depuis 30 min avec l'infirmière, la travailleuse sociale et l'ambulancier, à essayer de convaincre un sdf de venir avec nous au centre d'hébergement alors qu'il ne veut pas en entendre parler, puis finir par se faire copieusement insulter n'est pas vraiment ce que j'appelle une expérience enrichissante...
va t'il finir sa vie dans la rue ?
Une fois l’appel fini, où mon écoutante a pu trouver une place au fils au centre RR, elle m’a expliqué la situation de cette mère en détresse avec son fils de 32 ans, elle m’a raconté le viol de cette femme devant son fils, un soir, qui n’a rien fait puisqu’il ne comprenait pas la situation du fait de son sévère retard mental.
Pour finir, je dirais qu'il serait plus juste de proposer ce stage sur la base du volontariat et non de le rendre obligatoire pour tous les D2 car cela relève de l'absurdité et que tout le monde n'a pas forcément envie de devoir rester toute la nuit à marauder pour ensuite devoir prendre le RER le matin pour ceux qui habitent loin par exemple, et certains n'auront pas forcément l'envie d'être confronté à ce genre de milieu non plus bien qu'il reste capital de saisir l'importance de ce type d'aide social et humanitaire.
Bon, d'accord la demande n'est pas la même mais, pour exemple : - certains régulateurs passent 20 à 30 minutes en ligne avec une personne, à l'heure de pointe des appels (18h-22h), alors que le nombre de personnes en attente est énorme - (conséquence du premier item) : de nombreuses personnes appellent et patientent pendant plusieurs heures au téléphone, puis finissent par s'endormir ou raccrocher...!!
Bref, cette garde était vraiment très intéressante et même si on n'a eu que 45minutes de pause pour manger à 2h du matin et que l'on a fini tard ou plutôt, tôt le matin, je pense que cette garde devrait être maintenue longtemps encore.
Je finirai par citer ce qui a été, pour moi, les points forts et les petits bémols de cette garde: POSITIF: - La découverte qu'il existe un système d'aide et de "recensement" des SDF et des personnes faisant face à des difficultés sociales, ainsi que la découverte des principales missions et des grandes lignes de l'organisation du Samu Social.
Comment ne pas me reconnaître chez ce jeune homme qui me parle de l'enchaînement des drâmes de sa vie auparavant banale l'ayant mené à l'errance, comment ne pas souffrir dans les yeux de cette femme malade, abandonnée de tous ses proches pour avoir quitté son mari ou de cette autre qui, lasse de son horizon si vide de changements, dit économiser pour en finir chez les helvètes.
Je finirai sur une anecdote qui m'a marqué : le dernier sans-abris que nous avons croisé était originaire de Pologne.
Le nom que j’y lis finit de m’achever.
Un point de « détail » de plus toutefois pour finir : la question du gâteau.