La population rencontrée est souvent peu écoutée, peu vue de la part du grand public.
Intéressant d'aller à la rencontre d'un public auquel on est confronté à l'hôpital (aux urgences +++, en hospitalisation aussi) mais que l'ont connait finalement mal. […] On se rend compte que ce public n'est en fait pas une entité que unique que l'on classe un peu trop rapidement sous le terme "sdf" dans une observation (et qui sous-entend tout un champ lexical : isolement, solitude, absence de droits, de travail...) , mais qu'il s'agit de personnes dont les situations sociales, familiales, et même professionnelles diffèrent de l'une à l'autre.
Une garde tres interessante et touchante, permet d'etre sensibilisé a un public tres defavorisé que l'on voit parfois aux urgences sans saisir tous les enjeux.
Les publics ciblés sont majoritairement reconnaissants, plus demandeurs d'attention et d'un endroit pour dormir que de soins.
J'ai été entourée d'une équipe très accueillante et j'ai admiré leur implication, leur écoute, et leur patience face à un public parfois alcoolisé ou agressif.
Les missions du Samu Social devraient à mon sens être remises en valeur auprès du grand public qui détourne le regard, constituant ainsi comme une chaîne d'empathie vers ceux qui encore dorment dehors.
En effet, au-delà de l'aspect pauvreté, cela permet de connaître concrètement ce qu'est la vie quotidienne d'une part non négligeable de la patientèle (dans le public notamment).
Cette expérience nous permet de connaitre le fonctionnement et le public auquel il s'adresse, pour que si un jour nous rencontrons une personne qui pourrait en avoir besoin, savoir que cela existe et pouvoir l'orienter.
J'y suis allé avec beaucoup d'appréhension car c'est un public qui me met mal à l'aise (psychiatre de rue), mais toute les rencontre que j'ai faite se sont très bien passées même lorsque nous n'étions pas désiré.
On débute cette garde par la double écoute très intéressante car nous montrant un public faisant appel au 115 que l'on ne rencontre pas forcément dans la rue et qui ne sont pas des grands exclu, ex un jeune de 18 ans en conflit familial étant sur Paris depuis peu et a cours de plan pour dormir chez des amis.
Expérience très enrichissante pour une/une future/futur médecin, tant au niveau des personnes rencontrées au sein de l’équipe que le public côtoyé dans la rue.
Par exemple, nous sommes allés chercher un sans abris en fauteuil roulant, paraplégique qui devait faire des autosondages dans les toilettes publiques et nous ne pouvions lui proposer qu’un logement pour une nuit...
Même si la Faculté est un établissement publique et que les frais d'inscription sont bas, les études de médecine sont encore (et peut être plus) "réservées" aux catégories sociales aisées, qui n'ont peut être pas conscience de ces situations de misère et d'exclusion.
La démarche est ici différente et complémentaire : les personnes rencontrées ne sont pas forcément en cours de réinsertion, comme le public que je connais mieux.
Lors de cette garde j'ai clairement eu l'impression d'être de retour à l'hôpital public sur tout ce qu'il y a de pire en ce dernier. […] Sur mon ressenti personnel, j'ai détesté cette garde : j'ai été confronté à un système dépassé, à bout de souffle, en tout point semblable à ce que nous, externes, vivons tous les jours en stage à l’hôpital public, à l'image de la colère qui gronde dans les services d'urgence français, avec une hiérarchie et un gouvernement insensible, incapable de proposer des solutions sur le long terme.
Lors de cette garde j'ai clairement eu l'impression d'être de retour à l'hôpital public sur tout ce qu'il y a de pire en ce dernier. […] Sur mon ressenti personnel, j'ai détesté cette garde : j'ai été confronté à un système dépassé, à bout de souffle, en tout point semblable à ce que nous, externes, vivons tous les jours en stage à l’hôpital public, à l'image de la colère qui gronde dans les services d'urgence français, avec une hiérarchie et un gouvernement insensible, incapable de proposer des solutions sur le long terme.
Lors de cette garde j'ai clairement eu l'impression d'être de retour à l'hôpital public sur tout ce qu'il y a de pire en ce dernier. […] Sur mon ressenti personnel, j'ai détesté cette garde : j'ai été confronté à un système dépassé, à bout de souffle, en tout point semblable à ce que nous, externes, vivons tous les jours en stage à l’hôpital public, à l'image de la colère qui gronde dans les services d'urgence français, avec une hiérarchie et un gouvernement insensible, incapable de proposer des solutions sur le long terme.
Lors de cette garde j'ai clairement eu l'impression d'être de retour à l'hôpital public sur tout ce qu'il y a de pire en ce dernier. […] Sur mon ressenti personnel, j'ai détesté cette garde : j'ai été confronté à un système dépassé, à bout de souffle, en tout point semblable à ce que nous, externes, vivons tous les jours en stage à l’hôpital public, à l'image de la colère qui gronde dans les services d'urgence français, avec une hiérarchie et un gouvernement insensible, incapable de proposer des solutions sur le long terme.
Lors de cette garde j'ai clairement eu l'impression d'être de retour à l'hôpital public sur tout ce qu'il y a de pire en ce dernier. […] Sur mon ressenti personnel, j'ai détesté cette garde : j'ai été confronté à un système dépassé, à bout de souffle, en tout point semblable à ce que nous, externes, vivons tous les jours en stage à l’hôpital public, à l'image de la colère qui gronde dans les services d'urgence français, avec une hiérarchie et un gouvernement insensible, incapable de proposer des solutions sur le long terme.
Lors de cette garde j'ai clairement eu l'impression d'être de retour à l'hôpital public sur tout ce qu'il y a de pire en ce dernier. […] Sur mon ressenti personnel, j'ai détesté cette garde : j'ai été confronté à un système dépassé, à bout de souffle, en tout point semblable à ce que nous externes vivons tous les jours en stage à l'hopital public, à l'image de la colère qui gronde dans les services d'urgence français, avec une hiérarchie et un gouverment insensible, incapable de proposer des solutions sur le long terme.
Lors de cette garde j'ai clairement eu l'impression d'être de retour à l'hôpital public sur tout ce qu'il y a de pire en ce dernier. […] Sur mon ressenti personnel, j'ai détesté cette garde : j'ai été confronté à un système dépassé, à bout de souffle, en tout point semblable à ce que nous externes vivons tous les jours en stage à l'hopital public, à l'image de la colère qui gronde dans les services d'urgence français, avec une hiérarchie et un gouverment insensible, incapable de proposer des solutions sur le long terme.
Certains exclus remarquables, vivent depuis des dizaines d'années à paris sans aucunes ressources, avec parfois des refuges/cabanes commodes, une appropriation d'un espace public en le leur et aménagement de leur lieu de vie.
J'ai trouvé la garde au SAMU sociale interessante car elle nous montre un milieu qui nous est à la fois complètement étranger et en même temps que nous serons amenés à cotoyer régulièrement à l'hopital public.
Lors de la maraude, nous nous sommes arrêtés sur le périphérique pour un accident de la voie publique.
Signalement : « appel d’une personne non déclarée sans--abri afin de prévenir l’institution de la présence d’un sans--abri dans l’espace public ».
En découvrant toutes les dispositions mises en place par l'Etat (cartes restaurants, douches et lieux de repos publics, hébergement, assistantes sociales), il est donc plus facile d'informer et d'orienter le patient vers une meilleure prise en charge sociale.
Ceci m’a doublement choquée : d’une part, les urgences (service public !!!)
J’ai également trouvé intéressant de voir les dispositifs mis en œuvre pour aider les SDF, dont j’ignorais l'existence : bains douches publics, foyers d'hébergement, fonctionnement du 115, hébergements dans les hôtels, livrets d’adresses disponibles dans les mairies, etc.