On est pas utile mais on apprend beaucoup en temps que simple observateur.
J'ai été bien accueilli à la double écoute contrairement au briefing où l'observateur apparait comme un poids pour les différentes équipes.
Les employers du samu social sont très accueillants, et bienveillants à l'égard des observateurs.
L'équipe était vraiment sympa et en tant qu'observatrice j'ai pu vraiment profiter de leur expérience .
Nous sommes très observateurs, mais cela n'est pas gênant.
J'ai cependant trouvé ça bcp trop long, d'autant plus que l'on est la en tant qu'observateur donc complètement passif.
On nous dit de rester observateur mais, passer un certain temps de familiarisation avec l'équipe, on peut apporter une véritable valeur ajouter au plan médical.
Les équipes sont accueillantes et aiment répondre aux questions des étudiants observateurs, ce qui rend la nuit agréable et la fait passer vite.
Après le briefing de 20h j' ai été assigné à une équipe être observateur.
Pour cette première maraude je pense avoir été chanceux, je suis tombé dans un trio très sympathique qui a su m'intéresser à son travail et aux motivations qui l'animaient, qui a su m'intégrer sans me laisser à ma seule place d'observateur.
J'ai fait partie d'une équipe sympathique qui m'a beaucoup expliqué sur leur travail et j'ai tout de suite eu l'impression de ne pas être seulement observateur mais aussi pouvoir aider activement.
Autrement, la garde au SAMU social est intéressante, l'accueil par l'équipe est bon, même si on sent qu'ils reçoivent beaucoup d'observateurs régulièrement.
La double écoute m’a particulièrement déçu car nous n’avons traité que 2 appels au cours desquels nous n’avons été d’aucun recours Durant la nuit je n’ai pas eu l'impression qu’il y ai eu une volonté de m’integrer a l’equipe et que mon rôle se restreignait à celui d’un observateur et je trouve cela dommage J’ai eu aussi l’impression que le SAMU Social n’etait qu’une solution palliative aux maux de tout ces gens dans le besoin Sinon mis à part ces points négatif ce fut une expérience enrichissante d’un point de vu social et humain
C'était intéressant de voir comment s'adresser et comment gérer ces personnes complètement démunies, bien que nous n'ayons pas beaucoup de rôle sinon celui d'observateur.
Leur démarche est très belle et honorable et je leur remercie d'être aussi humain et patient, que ce soit avec nous les étudiants observateurs ou avec les usagers.
Le seul point négatif de la garde est que nous n'avons pas de grand rôle à part celui d'observateur.
: -cela permet de mieux comprendre la situation de nombreux sdf que l'on croise régulièrement en stage au SAU, -j'ai eu l'occasion d'assister à des prises en charges variées (transport simple / consult. infirmière + place en foyer médicalisé / maraude / distribution de nourriture et de vêtements ou couvertures), -l'équipe dans les bureaux autant que sur le terrain est habituée à encadrer des observateurs, et très accueillante, une remarque : au lieu de nous faire lire au début de la garde le carnet réalisé pour les externes (le genre qu'on aimerait recevoir au début de chaque stage), pourquoi ne pas le fournir avant par mail ?
Premièrement le milieu et l'équipe m'ont tout de suite mis à l'aise, je me sentais un peu plus que simple observateur.
Sur les 4 camions du soir, il n'y en avait qu'un seul avec un observateur.
Sentiment de frustration d'autant plus fort que l'étudiant en médecin est "observateur"...
Les personnes avec qui j'ai travaillé ont assez insisté sur le fait que l'on n'était que de simples"observateurs".
Nous étions plusieurs "observateurs", présentés aux équipes et répartis durant le briefing de 20h.
C'est une nuit où notre rôle d’observateur est clairement posé.
Un des cadres me demande de rester, il ira voir si un second camion est disponible pour accueillir un observateur pour la nuit.
Notre place dans cette garde en tant qu'étudiant en médecine et surtout observateur est cependant inadapté à mon sens.
Expérience très enrichissante, a ma grande surprise; même si nous restons observateurs cela permet de poser un regard différent (moins de jugement, plus d'empathie) sur des personnes que l'on sera forcément amenés a côtoyer aussi bien dans notre vie personnelle que professionnelle.
La relation établie entre les personnes de la rue et les équipes du samu social semble pleine de codes (s’asseoir, tutoyer, discuter de tout et de rien parfois) et j’ai trouvé difficile en tant que simple observateur de ne pas être trop intrusif.
Un peu effrayée au début, je me suis vite rendue compte qu'en tant qu'observatrice, il me suffisait de sourire et écouter les professionnels.