Il y a au moins 7 camions chaque nuit, largement assez pour que d'autres facultés puissent envoyer un étudiant chaque soir.
Il aura au moins vu un médecin…
Je pense que cette garde étant obligatoire, on devrait mettre en place un système pour au moins assurer la sécurité des étudiants.
Finalement la nuit est passé très vite et ce fut une expérience enrichissante; ils n'ont aucunement la prétention de remédier à la situation précaire dans lesquelles se trouvent les usagers mais au moins les aider (à ceux qui le veulent bien) à mieux supporter cette vie difficile.
Cela nous a pris au moins 40 minutes et j'ai du partir ensuite au débriefing pré-maraudes.
Ce sont des gens qui ont besoin d'avantage de soins et de suivi et qui vont forcement croiser notre chemin (au moins durant nos études...).
Etre à la rue ne dispense pas du respect dû à tout Homme ; à défaut d'être avenant, on peut au moins être poli.
Elle permet ainsi de s'affranchir, au moins pendant quelques heures, de cette barrière qui se hisse aisément entre la population et les personnes vivant dans la rue.
L'infirmière présente a parlé avec lui au moins 1h pour le convaincre que le mieux était de retourner à l'hôpital psychiatrique se faire aider.
On n'a pas le même regard en étant avec l'équipe du SAMU social et je pense que tout soignant devrait participer à une maraude au moins une fois dans leur vie afin de pouvoir adapter leurs pratiques et changer leurs a priori.
Un père appelait pour tenter de trouver un logement pour au moins ses deux petites filles, qui dormaient la nuit dans une cage d'escalier et qui n'avaient plus l'énergie suffisante pour aller à l'école.
Pour finir, ce fut une très bonne experience et meme si la plupart d'entre nous ne travaillera jamais au Samu Social je pense que cest bien de l'avoir vécu au moins une fois dans sa vie.
Je pense que toutes personnes devrait passer au moins une nuit au SAMU SOCIAL, quel que soit l'âge, quelle que soit la profession et le milieu de vie, cela changerait beaucoup des mentalités actuelles.
Je pense que c'est une excellente idée que l'on en fasse au moins une.
Bref grosse déception Heureusement que nous avons recueilli en fin de garde un sans abri proche de l'hypothermie, j'ai eu le petit sentiment qu'on a au moins permis à cette personne de retrouver un peu de confort et de dignité et j'ai enfin vu l'utilité d'une infirmière professionnelle et toute l'humanité qui aurait dû nous parcourir tout au long de cette garde
Nous avons passé au moins une heure et demie avec lui en parlant, rigolant, blaguant, chantant....
Ils connaissent tous le monde, les personnalités, les habitudes de chacun, et c'est assez rassurant de savoir qu'il existe au moins un service pour s'occuper d'eux car ils en ont besoin...
Nous n'avons peut-être rien changé à leur situation mais je me disais qu'au moins nous avions réussi à tracer un sourire sur leur visage ....
Pour ce qui est de la maraude, je trouve qu'il était important d'établir un contact proche auprès de ces usagers de la rue afin de tenter de leur trouver un refuge pour au moins un nuit, leur permettre de prendre une douche, de boire, de manger, et même si certains refusaient malgré toutes nos tentatives pour les convaincre de monter dans le camion avec nous pour être emmené dans un meilleur endroit pour eux, il restait tout de même possible de leur proposer des chaussettes, un café, une soupe, ce qui reste une aide très appréciable.
Après ça, il préfère encore mourir ou aller en prison que de rester dans la rue (en prison au moins, il dormira au chaud et mangera trois fois par jour).
Nous en avons croisé au moins 4 autres pour lesquels malheureusement il n'y avait plus de places d'hébergement, nous leur avons donc distribué des soupes et boissons chaudes ou duvets.
Et puis pour ceux qui n'ont pas eu de "mauvaise" expérience des centres, un endroit où dormir cette nuit, en sécurité serait de trop mais au moins au chaud.
Je tire du positif de cette garde qui est à faire au moins une fois.
Dans un premier temps, j’ai assisté aux appels faits au 115, ce qui m’a surtout frappé au départ est le peu de personnel qui faisait l’écoute au moment de mon arrivée (elles étaient six), je pensais qu’il y aurait une équipe d’au moins 30-40 écoutants.
Ce sont quelques instants de chaleur Humaine, qui permettent de maintenir la vie, une lumière qui s'allume au moins un instant.
Il ira, ce soir au moins, dans un des foyers les plus sécurisés de Paris, on l'y accompagnera.