Il serait intéressant de visiter plusieurs centres d'hébergements pour comparer un bon centre (Romain Gallant) aux centres plus précaires où sévissent violence et mauvaise hygiène.
J'ai pu voir les deux grands centres d'hébergements d'urgence de Paris, rencontrer des grands exclus, des jeunes récemment dans la rue, des prostitués (enceintes...)...
Cela était très instructifs sur comment fonctionnent les hébergements d'urgence.
Ensuite je ne savais pas qu'il existait des lieux ouverts pour se laver et prendre des douches et enfin je ne savais pas qu'il existait autant de lieux d'hébergements.
je ne tolère pas qu'on puisse faire d'un enfant un business ou que l'on pique 3 places d’hébergements à des SDF qui les accepteraient volontiers.
Ils proposent des aides, des orientation vers telle ou telle structure sociale, où trouver de la nourriture, où trouver des douches, et propose des hébergements d'urgence et des consultations avec des médecins.
Je pense qu'il ne faudrait pas seulement évoquer la situation de ces personnes dans les médias en hiver mais plus souvent durant l'année car il y a moins de financement en été qu'en hiver pour débloquer des hébergements du coup l'hiver n'est pas forcément la période la plus difficile pour ces personnes là comme nous pourrions le croire.
Deux choses sont frappantes dès les premiers appels : la première est la différence entre la demande vis à vis d'hébergements d'urgences et le manque de ressources disponibles.
En effet, on comprend la difficulté qu'ont les personnes à joindre un écoutant, la problématique du nombre d'hébergements limités, du roulement, des conditions particulières selon lesquelles sont logées les personnes.
Lors de la double écoute, mon écoutante a été vraiment très gentille avec moi et m'a bien accueillie, elle a toujours été très professionnelle et à l'écoute de la personne au bout du fil mais j'ai bien compris qu'elle était désabusée d'un système où ils reçoivent toujours plus d'appels, toujours plus de situation de détresse avec de plus en plus de familles et aucun moyen d'y faire face car il y a de moins en moins de place dans les hébergements de nuit et qu'ils doivent trier qui est prioritaire pour un hébergement de nuit.
Lors de la double écoute, mon écoutante a été vraiment très gentille avec moi et m'a bien accueillie, elle a toujours été très professionnelle et à l'écoute de la personne au bout du fil mais j'ai bien compris qu'elle était désabusée d'un système où ils reçoivent toujours plus d'appels, toujours plus de situation de détresse avec de plus en plus de familles et aucun moyen d'y faire face car il y a de moins en moins de place dans les hébergements de nuit et qu'ils doivent trier qui est prioritaire pour un hébergement de nuit.
Lors de la double écoute, mon écoutante a été vraiment très gentille avec moi et m'a bien accueillie, elle a toujours été très professionnelle et à l'écoute de la personne au bout du fil mais j'ai bien compris qu'elle était désabusée d'un système où ils reçoivent toujours plus d'appels, toujours plus de situation de détresse avec de plus en plus de familles et aucun moyen d'y faire face car il y a de moins en moins de place dans les hébergements de nuit et qu'ils doivent trier qui est prioritaire pour un hébergement de nuit.
Lors de la double écoute, mon écoutante a été vraiment très gentille avec moi et m'a bien accueillie, elle a toujours été très professionnelle et à l'écoute de la personne au bout du fil mais j'ai bien compris qu'elle était désabusée d'un système où ils reçoivent toujours plus d'appels, toujours plus de situation de détresse avec de plus en plus de familles et aucun moyen d'y faire face car il y a de moins en moins de place dans les hébergements de nuit et qu'ils doivent trier qui est prioritaire pour un hébergement de nuit.
Lors de la double écoute, mon écoutante a été vraiment très gentille avec moi et m'a bien accueillie, elle a toujours été très professionnelle et à l'écoute de la personne au bout du fil mais j'ai bien compris qu'elle était désabusée d'un système où ils reçoivent toujours plus d'appels, toujours plus de situation de détresse avec de plus en plus de familles et aucun moyen d'y faire face car il y a de moins en moins de place dans les hébergements de nuit et qu'ils doivent trier qui est prioritaire pour un hébergement de nuit.
Lors de la double écoute, mon écoutante a été vraiment très gentille avec moi et m'a bien accueillie, elle a toujours été très professionnelle et à l'écoute de la personne au bout du fil mais j'ai bien compris qu'elle était désabusée d'un système où ils reçoivent toujours plus d'appels, toujours plus de situation de détresse avec de plus en plus de familles et aucun moyen d'y faire face car il y a de moins en moins de place dans les hébergements de nuit et qu'ils doivent trier qui est prioritaire pour un hébergement de nuit.
Lors de la double écoute, mon écoutante a été vraiment très gentille avec moi et m'a bien accueillie, elle a toujours été très professionnelle et à l'écoute de la personne au bout du fil mais j'ai bien compris qu'elle était désabusée d'un système où ils reçoivent toujours plus d'appels, toujours plus de situation de détresse avec de plus en plus de familles et aucun moyen d'y faire face car il y a de moins en moins de place dans les hébergements de nuit et qu'ils doivent trier qui est prioritaire pour un hébergement de nuit.
Globalement, cette nuit aura été pour moi l'occasion de m'intéresser aux activités du samu social et d'en apprendre plus sur l'organisation des hébergements proposés aux sans-abris et à la condition des migrants.
Cela m'a permis de me familiariser avec les noms des centres d'hébergements et ainsi comprendre pourquoi certains sont tant redoutés par les personnes n'ayant pas d'abris.
C'est un exemple parmi tant d'autres durant la nuit, et cela m'a fait relativement de la peine, comme le fait de savoir que quelqu'un qui vit dans la rue dans un autre département que le 75 ne peut bénéficier des hébergements du SAMU SOCIAL 75, alors même qu'il se trouve à Paris momentanément.
J'ai aussi pu découvrir tout ce qui était mis en place pour les hébergements d'urgence, ce avec quoi je n'étais pas forcément familiarisée avant !
On a reçu les places pour les hébergements que vers 19h15, heure à laquelle la plupart des interlocuteurs re-appellent pour avoir un abris. 20h: changement de salle : briefing sur ce qu'il s'est passé la nuit précédente et répartition des arrondissements entre membres de l'équipe.
Le manque de place dans les centres d'hébergements sont des situations vécu comme difficile : soupe chaude et duvet, ce sera tout pour cette fois ci..
- Visite de plusieurs des hébergements de nuit - L'équipe vous dépose très gentilement devant votre porte lors de la 2e partie de la maraude...
- Revoir le principe ou ré-équilibrer l’hébergement d’urgence au profit des hébergements de plus long terme ?
- Revoir le principe ou ré-équilibrer l’hébergement d’urgence au profit des hébergements de plus long terme ?