Mais c'est une vraie manière de créer un premier lien et de montrer notre respect et notre attention face à leur situation, je m'y suis vite habituée et cela m'a impliquée immédiatement dans la maraude.
J'ai beaucoup de respect pour les personnes engagées dans le Samu social, leur travail peut parfois être dur (par exemple, lorsque les sans abris apprennent qu'ils n'auront pas de place dans un hébergement pour la nuit, et qu'ils se mettent en colère), mais c'est un travail utile et humain.
Les efforts fournis par le SSP n'est pas négligeable et force le respect.
On découvre également le métier de travailleur social, un travail si mal payé faisant appel à des valeurs pourtant si essentielles comme la générosité, la dignité et le respect.
Une expérience très enrichissante, la maraude était également très interessante car nous avions des cadeaux de noel qui ravissait les gens et le contact avec eux était à chaque fois des plus amicale, dans le respect mutuel.
Fort heureusement, il existe des gens comme ceux du samu social à l'écoute, d'une patience et d'une bienveillance infinie qui mérite tout notre respect.
Etre à la rue ne dispense pas du respect dû à tout Homme ; à défaut d'être avenant, on peut au moins être poli.
RESPECT".
Honnêtement, j'ai un grand respect pour le travail des gens du samu social, marqué par un professionnalisme exceptionnel tout en ne pas oubliant le côté humain.
Au premier abord j'avais des appréhensions quant au contact avec les personnes que nous allions voir, qui pour moi ne voulaient pas forcément être aidées Finalement en étant entourée d'une équipe qui a l'habitude on comprend vite que l'important c'est le respect de l'autre, qui qu'il soit, et c'est une valeur fondamentale à notre exercice médical Deux situations m'ont marquée : Une femme qui ne voulait pas qu'on l'aide et qui visiblement avait un peu peur de nous; en discutant avec l'équipe on se rend compte que c'est assez fréquent qu'elles refusent de l'aide du fait qu'elles subissent énormément de violences dans la rue et sont donc fermées sur elles-mêmes.
., centre d'hébergement d'urgence, de rencontrer son personnel et de saisir l'atmosphère de solidarité et de respect qui y regnait.
Enfin j'ai été frappée par l'attitude de l'équipe, qui montre une humanité et un respect sans bornes envers ceux qu'ils approchent, respectant leur volonté de ne pas être aidés le cas échéant, mais dans tous les cas d'une gentillesse et d'une empathie extrême.
D'autre part, j'ai été assez choquée d'apprendre que la majorité des lits proposés étaient des lits superposés alignés dans un ancien gymnase, où il n'y a aucun respect des règles d'hygiène, aucun accueil pour ceux qui viennent y dormir et presque aucune sécurité.
J'ai un profond respect pour ces gens qui travaillent dur pour tenter d'aider les autres, avec des moyens trop souvent insuffisants.
Ils n'ont eu aucun respect envers la personne: tutoiement et infantilisation, tirages brutaux par les vêtements pour le mettre dans le camion, la "cheffe" des pompiers qui soupire quand elle arrive sur les lieux et voit que c'est un sans-abri par terre...
Et tout cela dans une atmosphère de bienveillance, de respect, d'accord et d'amitié.
Tout d'abord la plate-forme d'écoute, j'y rencontre Francesca qui écoute les personnes dans le besoin avec respect et gentillesse.
Je voudrais ajouter le fait que les travailleurs sociaux ont une place majeure dans notre société actuelle, je trouve que c’est difficile car parfois le contact n’est pas toujours simple, mais ils savent montrer du respect à une personne.
Leur engagement, leur humanité et leur infinie patience forcent le respect.
J'ai aussi beaucoup apprécié comment mon équipe se comportait avec les usagers : elle faisait preuve d'empathie, de respect ...
Il y avait un réel respect entre les personnes à la rue et les travailleurs du Samu Social, et c'est cette mutualité qui m'a le plus impressionnée.
J'ai pu rapidement visiter les lieux de ce centre d'hébergement, avec quelques explications de l'IDE, et j'ai trouvé cela génial que ce genre de centre puisse exister, qu'il puisse être gratuit pour ceux qui en ont besoin, et surtout qu'ils soient de grande qualité, avec des repas correctes, un respect de l'intimité, une séparation hommes/femmes, une salle audiovisuelle, des douches/toilettes individuelles, un jardin...
on les amène à Romain Rolland, on va faire la toilette à l'un d'eux, on prend en rdv une jeune immigrée, des rencontres à chaque fois très touchantes et empreintent d'un respect mutuel et de beaucoup de chaleur.
Cette situation m'a également bouleversée dans le sens où elle dépeint de manière brutale le non respect du fameux "droit au logement".