/ 84
61. (2017) Ticket_707

Ma garde au SAMU social de Paris s'est déroulée comme je l'imaginais.

62. (2017) Ticket_657

Les histoires entendues en double écoute au 115 juste avant la maraude me reviennent et j'imagine les tragédies qui ont poussées chaque personne à se retrouver dans la rue. Comment pouvons-nous prétendre imaginer ce que vivent ces personnes ?

63. (2011) Ticket_2288

J'ai été aussi agréablement surprise de voir que ce sont eux qui appellent le 115 en majorité et pas des particuliers, ce qui témoigne à nouveau d'un véritable climat de confiance qui a nécessité j'imagine des années pour être établi.

64. (2012) Ticket_2089

Cela montre à quel point il nous est impossible de nous mettre à leur place et d'imaginer même vaguement ce qu'ils ressentent tous les jours.

65. (2015) Ticket_1183

J'imagine que ce sont les habitants qui demandent ce genre d'opération, j'ai trouvé ça terriblement égoïste, c'est tout sauf une solution.

66. (2015) Ticket_1252

J'appréhendais énormément cette garde au SAMU social (notamment parce que je n'arrivais pas à imaginer le contact avec les sans domicile fixes) mais elle s'est révélé être une expérience absolument enrichissante.

67. (2011) Ticket_2299

La double écoute est très utile pour la maraude qui va suivre, elle permet de se rendre compte du nombre de personnes qui appelle à partir de 19h pour tenter d'avoir un place dans un centre pour la nuit, et surtout d'imaginer l'angoisse quotidienne de ne pas savoir où l'on va dormir.

68. (2018) Ticket_314

Étant donné que dans mon entourage, personne n’a de difficultés pour se loger quelque part, j’avais du mal à imaginer qu’il y avait autant de sans abris dans la ville en intra-muros...

69. (2018) Ticket_493

Elle nous permet de découvrir une population laissée à la marge de la société, que l'on a l'habitude de côtoyer aux urgences par ailleurs, mais pour laquelle on a du mal à s'imaginer leur condition de vie.

70. (2017) Ticket_578

Il est vraiment difficile de s'imaginer alors dormir comme eux, dehors, plus ou moins couverts...

71. (2015) Ticket_1230

Je n'imaginais pas pouvoir autant m'amuser malgré le spectacle de la misère humaine, et pourtant les travailleurs sociaux font vraiment un travail remarquable et s'intéressent aux gens oubliés par le reste du monde.

72. (2018) Ticket_288

Le centre, beaucoup plus grand et plus luxueux que ce que j'imaginais, va non seulement accueillir notre géorgien, le nourrir et le loger pour la nuit, mais aussi le faire consulter un médecin dès le lendemain.

73. (2012) Ticket_2069

Le fonctionnement du SAMU social m'a été expliqué, je n'en savais pas grand chose, je n'imaginais pas que chaque jour des sans abris appelaient pour passer la nuit dans un centre d'accueil.

74. (2012) Ticket_2088

Chaque SDF a son histoire et je ne peux m'empêcher d'imaginer celle de chacun désormais.

75. (2015) Ticket_1339

Ce qui m'a frappée aussi c'est de voir que certains des gens à qui l'on portait assistance ne matchaient pas du tout le "profil type" que je me faisais des gens aidés par le samu social , rencontrés dans un contexte autre je n'aurai jamais imaginé qu'ils puissent être sans abris c'était assez déstabilisant.

76. (2011) Ticket_2176

Alors que j'imaginais ce système dépersonnalisé, j'ai été étonnée de remarquer combien les opérateurs téléphoniques connaissaient les personnes qui appellent régulièrement pour des places dans les foyers.

77. (2015) Ticket_1114

Pour commencer j'ai été surprise de constater que l'équipe était très hétéroclite, constituée sur le terrain de personnes jeunes mais surtout engagées à 100% dans leur mission et non des bénévoles comme je l'imaginais.

78. (2015) Ticket_1305

J'ai beaucoup apprécié faire cette nuit, on se rend compte qu'il y a tellement de gens dans la rue, on est loin d'imaginer combien...

79. (2017) Ticket_821

On commence par les signalements, 3/4 sont présents aux lieux indiqués, stupéfaite par la diversité des rencontres, toutes touchantes à leur manière et qui bouleversent les a priori sur les "clauchard", il y a de tout, plus de femmes que ce que l'on imagine, des jeunes, des immigrés, des français pure souche, des gens qui vivent volontairement à la rue, des handicapés...

80. (2019) Ticket_151

Ce qui m'a troublé par la suite, une fois l'appel terminé, fût d'imaginer cette maman et son enfant en total désarroi dans la rue, et dont la perspective d'une possible nuit à l'abri venait tout juste d'être réduite à néant...

81. (2015) Ticket_1154

Dans l’EMA, je participais à la maraude « signalement », nous avons vu beaucoup de personnes qui dormaient à même le sol dans le froid (j’avais quatre épaisseur de vêtement sur moi et pourtant je sentais le froid, alors que je ne pouvais qu’imaginer ce qu’eux pouvaient ressentir) et qui avait appelé ou qui avait été signalé par des gens dans la rue.

82. (2020) Ticket_21

Sur le chemin du retour, alors que les rues de Paris défilent sous mon regard, je m’imagine la camionnette conduite par Mohammed comme une luciole dans la nuit, dont l’éclat s’efface en avançant.

83. (2017) Ticket_646

Même s'ils ne croient pas en ce dernier, ils ont lié le leur avec une telle intensité que je m'imagine que ces deux histoires individuelles sont indéliables dans le temps.

84. (2011) Ticket_2281

Tant de sympathie ne manqua pas de m'étonner, d'autant qu'à force de voir chaque soir un étudiant en médecine différent, je les aurais plutôt imaginés blasés.

/ 84