J'ai été impressionnée par les maraudeurs, le travail qu'ils font, leur accueil, leur bonne humeur, leur gentillesse et leur humanité.
Et surtout; merci au SAMU SOCIAL pour leur dévouement et leur humanité.
Pendant la maraude, on se met vraiment à leur niveau et on leur redonne une part d'humanité, avec un simple bonsoir, une main serré, une oreille à l'écoute et un peu de soupe.
J'ai beaucoup apprécié cette expérience au Samu Social, je tiens à remercier le travail, la gentillesse et l'humanité de la travailleur social et du chauffeur.
Enfin j'ai été frappée par l'attitude de l'équipe, qui montre une humanité et un respect sans bornes envers ceux qu'ils approchent, respectant leur volonté de ne pas être aidés le cas échéant, mais dans tous les cas d'une gentillesse et d'une empathie extrême.
Finalement, peut-être bien que leur vraie mission c'est de sauvegarder l'humanité de ces personnes sans domicile, vivant en pleine rue et pourtant souvent ignorées de tous.
Je trouve cette garde importante pour des futurs médecins car on peut (pour une fois) avoir un point de vue beaucoup plus social que scientifique et recentrer l'humanité du patient dans sa globalité au centre de la conversation plutôt que de se focaliser sur ses pathologies individuelles.
Pour la maraude, c'est une expérience marquante, les équipes sont patientes et pleine d'humanité, il n' a jamais d'obligation pour les usagers.
Je suis ravie de cette garde, je pense qu'elle nous recentre sur un point essentiel de notre formation qui est l'humanité.
Ce qui m'a tout de suite frappé en arrivant, et qui s'est d'ailleurs confirmé pendant la nuit, c'est la grande humanité et amabilité des équipes.
Ces gens perdent vraiment leur humanité. […] Où est l'humanité là-dedans ?
Cette maraude m'a fait découvrir des personnes pleines d'humanité, avec des tas de choses à raconter : leurs voyages, leurs origines, leurs souvenirs d'un temps passé.
Bref grosse déception Heureusement que nous avons recueilli en fin de garde un sans abri proche de l'hypothermie, j'ai eu le petit sentiment qu'on a au moins permis à cette personne de retrouver un peu de confort et de dignité et j'ai enfin vu l'utilité d'une infirmière professionnelle et toute l'humanité qui aurait dû nous parcourir tout au long de cette garde
La maraude par la suite m'aura appris une seconde chose toute aussi importante: le besoin de ressentir de l'humanité de la part de ses semblables est omniprésent pour ces personnes délaissées, que ce sont des gestes simples, une seule démonstration qui peuvent remplir leur journée aussi oui...
Leur engagement, leur humanité et leur infinie patience forcent le respect.
Nous repartons, horrifiées par le manque d'humanité de ces policiers, et surtout de la personne qui leur a donné l'ordre de tout enlever à cette femme.
Ensuite, serrer la main, parler, se laisser raconter leur histoire par des gens qu'on ne regarde habituellement pas dans la rue (par culpabilité de ne rien faire pour pouvoir les aider), m'a fait prendre conscience de toute leur humanité, chacun avec leur vécu, leurs petits tracas, leurs peurs, leur volonté de s'en sortir...
J'ai pu constater tout au long de la nuit l'immense humanité qui habite tous les membres du Samu Social qui, s'ils réalisent leur travail comme n'importe quel salarié, le font avec une dévotion et une sincérité entières.
Il y a donc encore de l'espoir pour l'humanité.
Voilà, au-delà des pantalons plein d'urine et des visages émaciés, de quoi restaurer en eux une véritable humanité.
Aussi d'un peu d'humanité, de chaleur humaine.
Je pensais à mon sujet ne pas avoir d'à-priori concernant ces personnes vivant dans la rue mais, je suis un peu honteux de l'avouer, j'ai le sentiment de n'avoir réellement palpé leur humanité commune à la mienne que pour la première fois hier.
Quel est le devenir d'une humanité qui prend sa source et son origine dans la rue ?
Les remerciements des familles et la façon dont ils expriment leur reconnaissance redonnent foi en l’humanité et procurent une satisfaction indescriptible.