Un véritable suivi des personnes, une vraie connaissance des gens.
L'équipe était très motivée pour transmettre ses connaissances, disponible pour répondre aux questions de la double ecoute à l'équipe de maraude.
J'ai vécu cette nuit là une expérience enrichissante me faisant prendre connaissance de la rudesse des nuits d'hiver vécues dans la rue et des difficultés inhérentes à la vie sans domicile, concernant notamment l'hygiène, l'hostilité des conditions climatiques, la perte de tout confort, ou plus simplement l'aliénation liée à la vie en solitude et en totale autonomie, la subsistance au jour le jour.
En tant que futur medecin, la connaissance du fonctionnement du SAMU social est important.
Il était instructif de voir le rapport entre les aidants et les gens aidés car leur connaissance les uns des autres leur permet de s'entraider au mieux dans une bonne communication.
En stage à l'hôpital je parle des dossiers des patients avec l'assistante sociale, je pense que cela suffit pour mes connaissances de cette partie-là de la prise en charge.
Une équipe plutôt accueillante qui a essayé de faire partagé sa connaissance de la situation.
La connaissance des centres d’accueil, de l'équipe de la maraude, des sans abris connus ou non du samu social était une vraie découverte.
J'ai donc fait connaissance avec des personnes que j'avais l'habitude de voir sans pour autant leur parler ou essayer de comprendre leur situation.
En effet, d'une part je n'avais pas connaissance de son rôle exact, et d'autre part j'ai pu observer l'étroite collaboration existant entre les différents membres du service.
Une nuit étonnement joyeuse, d’échange, de discussions en diverses langues, de visite de Paris et de connaissance des habitants de ses rues, passée avec l’équipe très accueillante du SAMU social.
En bilan, une garde loin de la pratique médicale mais permettant d'avoir connaissance de la complexité de la prise en charge des patients en difficulté sociale.
La connaissance des différentes personnes et de leurs habitudes est prépondérante pour une maraude efficace.
La garde au samu social, n'apportant aucune connaissance médicale complémentaire, devrait être facultative et non obligatoire.
Aucune connaissance médicale n'est requise pour faire la garde, la mettre en P2 avant les gardes aux urgences seraient judicieux : en effet aux urgences on a une très mauvaise vision des personnes dans la rue.
Cette garde étais pour moi une double expérience: La première humanitaire ; où j'ai fait la connaissance d'une categorie sociale que je ne connaissais que dans les "media" ou autre modèles d'informations, et que j'ai appris à connaitre en les rencontrant directement "chez eux".
Nous avons essayé de le lever mais il n'a pas pu rester debout et a perdu connaissance durant quelques secondes puis vomis une seconde fois. […] Après 10 minutes, nous lui avons demandé de se remettre debout afin de l'amener dans le camion, mais il n'a pu faire plus d'un pas avant de reperdre connaissance.
- connaissance du circuit de prise en charge du 115 - solution que l'on pourra proposer à une personne dans le besoin - l'engagement des travailleurs sociaux force le respect même si - de mon point de vue - certains manquent à la nécessité d'une juste distance professionnelle à l'égard des secourus, s'exposant à une charge émotionnelle inappropriée, notamment en assistant fréquemment aux enterrements (cela m'a été rapporté) - la détresse et la pauvreté ne doivent pas dispenser certains sans-abris du civisme élémentaire : ne pas uriner dans sa tente avec coulée des mictions sur le trottoir, ne pas jeter ses mégots, détritus et habits souillés sur les voitures ; en particulier l'aménité des travailleurs sociaux ne doit pas se transformer en indifférence vis-à-vis de ces actes sur les lieux d'intervention
Après une courte nuit passée à la double écoute et en camion, j’ai pu approfondir les connaissances que j’avais du Samu Social.
En effet je n'ai pas beaucoup de connaissances ni d'expérience des moyens qui existent pour aider les gens défavorisés.
J'ai été marqué par la très bonne connaissance des SDF et de leur lieu respectif de "résidence" par les intervenants sociaux.
Je n'avais que très peu de connaissances sur l'action du samu social, bravo à ceux qui maraudent tout les soirs, ce n'est pas facile.
Cette sdf a 72 ans, une connaissance et une sagesse qui m'a touché.
L'équipe a apprécié mes connaissances médicales pour aider à la prise en charge des patients et a noté que notre aide leur était parfois précieuse.