Sur mon ressenti personnel, j'ai détesté cette garde : j'ai été confronté à un système dépassé, à bout de souffle, en tout point semblable à ce que nous, externes, vivons tous les jours en stage à l’hôpital public, à l'image de la colère qui gronde dans les services d'urgence français, avec une hiérarchie et un gouvernement insensible, incapable de proposer des solutions sur le long terme.
Sur mon ressenti personnel, j'ai détesté cette garde : j'ai été confronté à un système dépassé, à bout de souffle, en tout point semblable à ce que nous, externes, vivons tous les jours en stage à l’hôpital public, à l'image de la colère qui gronde dans les services d'urgence français, avec une hiérarchie et un gouvernement insensible, incapable de proposer des solutions sur le long terme.
Sur mon ressenti personnel, j'ai détesté cette garde : j'ai été confronté à un système dépassé, à bout de souffle, en tout point semblable à ce que nous, externes, vivons tous les jours en stage à l’hôpital public, à l'image de la colère qui gronde dans les services d'urgence français, avec une hiérarchie et un gouvernement insensible, incapable de proposer des solutions sur le long terme.
Sur mon ressenti personnel, j'ai détesté cette garde : j'ai été confronté à un système dépassé, à bout de souffle, en tout point semblable à ce que nous, externes, vivons tous les jours en stage à l’hôpital public, à l'image de la colère qui gronde dans les services d'urgence français, avec une hiérarchie et un gouvernement insensible, incapable de proposer des solutions sur le long terme.
Sur mon ressenti personnel, j'ai détesté cette garde : j'ai été confronté à un système dépassé, à bout de souffle, en tout point semblable à ce que nous, externes, vivons tous les jours en stage à l’hôpital public, à l'image de la colère qui gronde dans les services d'urgence français, avec une hiérarchie et un gouvernement insensible, incapable de proposer des solutions sur le long terme.
Sur mon ressenti personnel, j'ai détesté cette garde : j'ai été confronté à un système dépassé, à bout de souffle, en tout point semblable à ce que nous externes vivons tous les jours en stage à l'hopital public, à l'image de la colère qui gronde dans les services d'urgence français, avec une hiérarchie et un gouverment insensible, incapable de proposer des solutions sur le long terme.
Sur mon ressenti personnel, j'ai détesté cette garde : j'ai été confronté à un système dépassé, à bout de souffle, en tout point semblable à ce que nous externes vivons tous les jours en stage à l'hopital public, à l'image de la colère qui gronde dans les services d'urgence français, avec une hiérarchie et un gouverment insensible, incapable de proposer des solutions sur le long terme.
La question du recours aux interprètes est un pur scandale. 26 euro (Monsieur Duguet, vous comprendrez j'espère que je fasse le choix de ne pas accorder « euro » parce que je considère qu'une vraie politique d'harmonisation européenne consiste à permettre que ce mot désignant notre monnaie reste identique dans toutes les langues européennes, et qu'il ne soit donc pas transformé en « euros » au pluriel en français, en « euri » en italien, en « euren » en allemand, ou que sais-je encore... […] Une grande partie des usagers faisant appel au 115 n'étant pas de nationalité française et n'ayant pas le français pour langue maternelle, le recours aux interprètes est fréquent.
Un jeune monsieur Français en costard cravate qui venait lui de province, les avait trouvés dans la rue, essayant de se réchauffer au mieux pour passer cette nuit au froid; il avait appelé le 115, leur a trouvé de quoi manger ainsi que des habits chauds. […] Lors des discussions, c'était le jeune fils de 12ans qui nous parlait, étant le seul à parler français, il faisait office d'interprète pour sa famille.
L'homme SDF est Iranien et ne parle pas français, et la personne de l'équipe de maraude ne parle pas anglais.
Elle a accepté facilement de nous rejoindre, elle parlait peu français mais j'ai pu avoir une petite conversation avec elle le temps d'arriver au centre d'hébergement.
(surtout lorsqu'ils sont en errance depuis longtemps et/ou qu'ils ne sont pas français).
je n'arrive pas à comprendre comment ces gens qui m'apparaissaient tout à fait sympathiques, responsables, avec de la famille pouvaient se retrouver à devoir dormir dehors ( très loins des alcooliques chroniques ou des sans papiers ne parlant pas français qui constituaient le tableau fictif que je me faisais des personnes sans domicile fixe) Enfin l'attitude des équipes , leur bienveillance, leur simplicité et la facilité avec laquelle ils vont vers ces gens m'a vraiment impressionnée, je sais que pour moi le contact était beaucoup plus difficile je ne me sentais pas à l'aise et ne savais pas trop ou me placer, que dire à ces hommes et ces femmes qui ont un mode de vie si éloigné du mien, pour qui la réalité n'est pas la même.
Toujours est-il qu'il ne parle pas français et nous devons faire appel à un traducteur pour qu'il puisse nous communiquer son histoire.
Il ne parlait que peu français alors j'ai dialogué avec lui en anglais, de sa vie, de sa venue en France et de la coupe du monde !
Cela permet aussi de constater que beaucoup de sdf sont français , qu'ils sont jeunes et qu'ils ne sont pas responsables de leur condition ( peu de toxico, beaucoup de tristes histoires de vie ).
On commence par les signalements, 3/4 sont présents aux lieux indiqués, stupéfaite par la diversité des rencontres, toutes touchantes à leur manière et qui bouleversent les a priori sur les "clauchard", il y a de tout, plus de femmes que ce que l'on imagine, des jeunes, des immigrés, des français pure souche, des gens qui vivent volontairement à la rue, des handicapés...
Il est très propre sur lui, s'exprime dans un français parfait, est diplômé, et surtout a parfaitement conscience de son statut de migrant économique, si défavorable dans le contexte politique et médiatique actuel...
Il en a marre de ces roumains (d’autres diront polonais, africains… ) qui ont droit à des aides alors que lui il est français et il a juste le RSA pour survivre.