Ils n'ont eu aucun respect envers la personne: tutoiement et infantilisation, tirages brutaux par les vêtements pour le mettre dans le camion, la "cheffe" des pompiers qui soupire quand elle arrive sur les lieux et voit que c'est un sans-abri par terre...
On se sent utile même si c'est juste pour discuter, offrir un café, un repas chaud ou quelques vêtements.
Il apporte des conseils, des lits en urgence, des boissons chaudes, des duvets, vêtements ect.
Ce n'est donc pas juste de la disttibution de nourriture ou de vêtements.
Donc on part en camionnette dans les rues de Paris pour aller proposer de l'aide, de l'eau, un peu de vêtements et de nourritures à ces personnes.
Nous avons nettoyé tout son "chez lui" et lui ont changé tous les vêtements.
Parfois, ils donnaient même l'impression de ne vouloir que cela, de la compagnie, plutôt que des denrées comestibles ou des vêtements chauds.
Je pensais au début qu'ils n'avaient qu'à apporter de l'aide matériel (abris, pour la nuit, nourriture, vêtement chaud, etc...) mais ils font bien plus que cela.
Nous leur proposons des vêtements, une boisson chaude et nous tâchons de leur trouver un endroit pour dormir au sec, prendre un repas chaud, voir un médecin, une assistante sociale.
Ils étaient 3 et voulaient manger quelque chose de chaud et quelques vêtement.
Elles leur offrent un café, une couverture, des vêtements, un lit pour dormir lorsqu’il en reste encore – car une fois l’hiver passé, les places se font rares.
Les deux personnes sont chacune installée sur un trottoir, nous allons les voir une par une pour leur apporter à manger, une couverture, des vêtements.
Pendant la nuit ensuite, lorsqu'on se rendait sur le lieu d'un signalement, j'ai remarqué qu'on se faisait souvent interpeller par des personnes démunies, qui venaient demander un peu de nourriture ou des vêtements.
L'aide peut simplement consister en un café, une soupe, ou un repas chaud s'ils n'ont pas mangé de la journée, mais aussi des vêtements et sous-vêtements ou encore un duvet.
Le camion du Samu social attire les SDF, on vient y chercher une place en refuge (qui arrivent au compte goutte au fur et à mesure de la soirée), de la nourriture, quelques vêtements, de manière plus inattendue des préservatifs...
Dans l’EMA, je participais à la maraude « signalement », nous avons vu beaucoup de personnes qui dormaient à même le sol dans le froid (j’avais quatre épaisseur de vêtement sur moi et pourtant je sentais le froid, alors que je ne pouvais qu’imaginer ce qu’eux pouvaient ressentir) et qui avait appelé ou qui avait été signalé par des gens dans la rue.
En ce qui est de ses vêtements, on aurait dit un nid de poux tellement que ça grouillait de partout.
Dans le camion on parle toutes les deux: de coiffure, de vêtement, d'architecture.