Il faisait froid la nuit de ma maraude, et j'ai été très peinée de voir tous ces gens tentant de dormir dehors alors que la température frôlait le négatif.
Enfin le seul point négatif est le retour.
Le seul point négatif de la nuit fut la pluie, ce qui fait que malheureusement ,comme nous n’avons pas eu de signalement dans notre secteur lors de la 2ème maraude, nous n’avons rencontré que peu de personnes.
Mon seul point négatif est que la faculté ne nous impose pas de faire bien plus de nuits de maraudes.
Seul point négatif : l'horaire de fin, le SAMU peut vous poser a Paris vers 3h du matin et quand on habite pas Paris c'est pas très pratique !
La nuit de ma garde était la première de l'hiver avec des températures ressenties négatives, nous sommes allés à la rencontre de personnes préférant rester dans le froid et d'autres acceptant de dormir dans un centre pour la nuit.
Rendre à ce point concrète la situation de détresse - ou d'a-normalité, car il n'y a pas toujours de vécu négatif de la rue - des errants, c'est acquérir une base à partir de laquelle le travail de médecin peu se construire.
La réponse est trop souvent négative et malgré la distance du téléphone, on sent la déception de la personne au bout du fil et c'est déchirant.
Le seul point négatif est l'horaire.
Les seuls points négatifs qui m'ont interloqués sont l'attitude d'une personne à la double écoute qui répondait très mal aux appels, j'ai trouvé même si je n'ai pas eu de formation et que les personnes au téléphone ne sont pas forcément d'une extrême gentillesse son attitude déplacée.
Au niveau de la maraude, j'ai été un peu déçue, le premier point négatif étant que j'étais à l'arrière du camion pendant la majeure partie de la maraude (les 3 places à l'avant étant occupées par les membres de l'équipe) et que cette distance ne favorisait pas les échanges avec l'équipe.
Il est triste de devoir leur donner des réponses plutôt "négatives" alors que beaucoup appellent plusieurs fois dans une même journée pour obtenir gain de cause.
Le manque de personnel est peut être en cause mais devant le très faible nombre de places en centre je trouve ça regrettable de faire attendre au téléphone durant des heures des personnes en situation déjà précaire pour leur refuser dans la grande majorité des cas une place en centre, d'autant plus qu'on les invite à reproduire cette situation plusieurs fois par jour à des heures stratégiques, ce qui m'a donné l'impression de "ballotter " un peu les gens (désolée du terme) toute la journée en les incitant à passer leurs journées au téléphone pour un résultat négatif la plupart du temps.
SAMU SOCIAL : Je commence par le seul point négatif de cette garde pour terminer par tous les points positifs : le fait qu'il n'y ait pas de chambre d'externe ou juste un lit pliant dans un coin !
Frustrant de voir l'opératrice répondre par la négative à certains.
Nous avons aussi amener 5 SDF au centre d'hébergement de Romain Rolland, dont 4 qui se sont présentés tous les 4 ensemble, on leur a alors dit que pour avoir plus de chances d'avoir un hébergement pour la nuit il ne valait mieux pas qu'ils se présentent tous en même temps (car c'est rare d'avoir 4 places d'un coup et si par exemple on n'en a que 2 on ne leur dira pas et on leur donnera une réponse négative pour l'hébergement car sinon cela risquerait de créer des tensions si seulement 2 sur les 4 obtenaient une place par exemple) mais finalement par chance ils ont eu une place tous les 4!
Surprise de constater les temps d'attente astronomiques au téléphone, les difficultés de communication avec des appelants régulièrement étrangers, l'agressivité face à la réponse négative d'hébergement et la diversité des appels.
Un grand bémol sur l'ambiance au début, nous, étudiants en médecine on apprend pleins de choses grâces aux infirmiers, et c'est dommage qu'ils aient cette image très négative de nous, très injustifiée.