Mon avis sur la garde : Cette garde est essentielle dans le cursus des études de médecine. […] Je pense que c’est un lien social essentiel.
On découvre également le métier de travailleur social, un travail si mal payé faisant appel à des valeurs pourtant si essentielles comme la générosité, la dignité et le respect.
Dans le contexte actuel, il est plus qu'essentiel de se rappeler ce qui nous rapproche, cet amour universel, aveugle et sans complexité aucune.
Durant toute l'opération, je ressens une sensation de malaise : le contraste est saisissant entre les personnes installées aux terrasses de café et cette famille située à quelques mètres, à qui il manque l'essentiel.
Or c'est une chose essentielle d'intégrer que la personne qui sollicite notre aide en tant que professionnel de santé, fait parti d'un univers qui lui est propre et qui ne peut être négligé.
Ce sont des hommes et de femmes dévoués et sincères dont le rôle dans notre société est tout à fait essentiel.
C'est très frustrant de ne pas avoir de conclusion à notre niveau, mais cette mission parait essentielle.
Je suis ravie de cette garde, je pense qu'elle nous recentre sur un point essentiel de notre formation qui est l'humanité.
Chaque appel est différent mais un m’a marqué, celui d’un homme qui voulait une place pour la nuit, remerciant plusieurs fois l’écoutant à la fin de l’appel malgré le fait qu’il n’y ai plus de place dans les centres d’accueil… l’écoute de la personne, un élément essentiel.
L'écoute est essentielle, et l'équipe la pratique avec tendresse et beaucoup de bonté.
Comprendre les différents enjeux, ressentir les difficultés des usagers, et des travailleurs face à des nuits froides, pluvieuses, des refus de prise en charge de certains services d'urgence, du mépris de nombreuses personnes envers ceux qui n'ont pas de domicile est essentiel au sein de nos études.
Il commence à nous parler de ses lectures et du fait que c'est essentiel quand on est dans la rue de lire pour tenir.
Une garde au SAMU SOCIAL, c'est essentiel.
- Les éducateurs spécialisés ne sont pas assez formés et peut-être pas d’un « niveau assez élevé » : c’est essentiel et DIFFICILE d’être substitut parental comme cela devrait être leur rôle auprès des enfants de l’ASE (Aide Sociale à l’Enfance) : il faut leur donner la rigueur, les bases éducatives et l’encadrement qu’ils n’ont jamais eus - Pourquoi obliger un enfant de l’ASE de changer de famille d’accueil tous les 3 ans ?
- Les éducateurs spécialisés ne sont pas assez formés et peut-être pas d’un « niveau assez élevé » : c’est essentiel et DIFFICILE d’être substitut parental comme cela devrait être leur rôle auprès des enfants de l’ASE (Aide Sociale à l’Enfance) : il faut leur donner la rigueur, les bases éducatives et l’encadrement qu’ils n’ont jamais eus - Pourquoi obliger un enfant de l’ASE de changer de famille d’accueil tous les 3 ans ?
et je trouve qu'une telle directive mène à un gâchis certain et qu'une attitude passive (même si elle est demandée initialement par la faculté) nous fait passer à côté de l'essentiel, le contact avec les sans-abris et les laissée pour comptes.
D’autre part, ces expériences nous permettent de faire preuve de gratitude, de revenir à l’essentiel, de prendre de la distance et d’acquérir de la maturité professionnelle en se focalisant sur ce qui important et non ce qui est urgent.
Je ne veux pas porter de jugement de valeur, ni faire de critique qui semblerait injuste, mais je me dois aussi d'être honnête : j'ai passé la plus grande partie de la nuit à me dire : « l'ambiance est bonne, les gens sont plutôt sympas, mais le quotient intellectuel moyen de l'équipe, très bas, est sans doute une des explications essentielles aux difficultés majeures d'organisation, aberrantes pour certaines, qui « entravent » leur travail ».