On se rend compte de la grande diversité des personnes qui contactent le SAMU Social, de même que celles rencontrées dans la rue: ce qui m'a frappé, c'est que certaines de ces dernières personnes ont un salaire certes précaire mais stable et gardent un contact social important (contacts réguliers avec des habitants), mais ces personnes font partie malheureusement d'une grande minorité qui souhaite s'en sortir.
Cette garde fut très enrichissante sur le plan humain tant sur la prise de conscience de la misère qui règne dans notre capitale, que sur la diversité des profils des personnes qui en souffrent.
Étonnée par la diversité des personnes, certaines qui ne sortiront pas de la rue (plus l'envie de parler, plus d’hygiène) et d'autres qui se battent avec le gouffre de papiers administratifs, la lutte quotidienne pour rester propres.
Au cours de la double écoute 115, puis de la maraude, j'ai pu me rendre compte de la diversité des personnes vivant dans la rue, ainsi que de leurs situations respectives.
Ce qui peut aussi marquer, c'est la diversité des cas pris en charge et des personnes aidées.
Une grande diversité de profils qui s'étend du travailleur social à l'infirmier en passant par des psychologues est à noter, mais la même difficulté à être au service de l'usager tant les capacités d'accueil sont anecdotiques face à la demande à cette période de l'année.
J'ai été marquée par le nombre d'appels et par la diversité des gens que ce soit leur langue ou leur âge.
-Egalement surpris par la quantité de personnes demandant un soutient logistique, (hébergement, duvet, repas...) et la diversité de ces gens.
Il s'en est suivit une permanence téléphonique ou j'ai pu prendre conscience de la diversité des missions et des problèmes rencontrées (prise en charge de familles, touriste étranger détroussé, SDF de longue date...)
Expérience très enrichissante, avec une équipe géniale, cette nuit m'a permis de découvrir le monde de la rue dont je connaissais l'existence sans vraiment pouvoir l'imaginer et le comprendre, dans sa diversité de profils qui y habitent, depuis peu, temporairement ou de manière prolongé depuis un certain temps.
J'ai pu la diversité des profils des personnes sans domicile, certains grands habitués, d'autres plus perdus...
J'ai réalisé tant la diversité des chemins qui mènent à la rue que celle des situations sociales des personnes qui y vivent.
Enfin j'ai trouvé que les maraudes sont une étape vraiment forte sur le plan humain, cela à permis de prendre conscience de la diversité des sans domicile fixe, ainsi j'ai été choqué de voir des personnes de mon âge par exemple, ou encore des personnes très âgé, qui semble pourtant avoir des ressources.
Surprise de constater les temps d'attente astronomiques au téléphone, les difficultés de communication avec des appelants régulièrement étrangers, l'agressivité face à la réponse négative d'hébergement et la diversité des appels. […] On commence par les signalements, 3/4 sont présents aux lieux indiqués, stupéfaite par la diversité des rencontres, toutes touchantes à leur manière et qui bouleversent les a priori sur les "clauchard", il y a de tout, plus de femmes que ce que l'on imagine, des jeunes, des immigrés, des français pure souche, des gens qui vivent volontairement à la rue, des handicapés...
La diversité des appels peut être surprenante et suscite à chaque fois une émotion différente, telle que de la peine avec une touche de colère lorsque les places manquent aux centres d'hébergement et parfois un sentiment partagé lors de l'annonce d'une possible place alors qu'on sait que le même combat des places aura lieu le lendemain.
La précarité de ces personnes et la diversité de leurs profils m'ont beaucoup marquée.
La diversité des profils de ceux qui font appel au SAMU social est frappante.
Le premier enseignement à l'issue de la garde est la diversité des personnes que l'on rencontre.