Le fait de discuter avec elle m'a permis de casser mes clichés sur les sans-abris. Le simple fait que nous discutions avec elle, il m'a semblé que cela faisait plaisir à la personne, qui nous disait être très isolée d'habitude.
J'ai adoré discuter avec les gens que j'ai rencontré durant la nuit.
J'ai découvert que les missions du samu social sont bien plus que la simple recherche de place dans un foyer : les personnes composant l'équipe en maraude prennent le temps de discuter avec les personnes rencontrées dans la rue, et parfois nouer une véritable relation avec eux lorsqu'ils les voient plusieurs fois. […] Certains étaient très contents rien que du fait de pouvoir discuter avec nous autour d'un café, alors que d'autres, beaucoup plus exigeants, nous carrément insultés lorsqu'ils se sont vu refuser une place en foyer pour la nuit.
La nuit et en particulier le repas donne l'occasion de discuter avec les différents intervenants.
Une première experience tres enrichissante; Je n'avais jamais silloné les rues de Paris ainsi: apporter de l'aide; accepter le refus de l'aide; discuter de tout et de rien; rentrer dans une maison sans mur, ni porte, ni fenetre...
Ils s’arrêtent dès qu’ils repèrent un SDF pour d’abord discuter avec lui puis ils distribuent de l’eau, un café ou, si ils en ont, un duvet ou des vêtements de première nécessité comme des sous-vêtements ou des chaussettes. […] Une assistante sociale, présente à bord du camion, discute avec le SDF pour tenter de faire un point rapide sur sa situation et l’informe de la possibilité d’un entretien le lendemain avec une assistante sociale du centre d’hébergement si il passe la nuit là bas, dans la limite malheureusement du nombre de places disponibles.
J'ai trouvé cette garde très enrichissante humainement, cela m'a permi de discuter un peu avec les persones qui vivent dans la rue, chose que je fais rarement habituellement. […] J'ai égalment pu discuter avec toute l'équipe de la maraude pour connaitre leur motivation initiale mais aussi ce qui leur permet de poursuivre leur action.
Aussi cette garde m'a permis d'écouter et de discuter avec les sans-abris, quelque chose que je ne faisais pas avant.
J'ai eu l'occasion de discuter avec des personnes défavorisées et d'entrevoir leurs difficultés.
La maraude fut dans ce sens très enrichissante, le fait de s'arrêter pour voir les sans abris, discuter avec eux des choses les plus banales de la vie ça a un peu supprimé cette distance qui était présente jusqu'à maintenant, et au fond je pense que c'est quelque chose de très positif. Je ne raconterais pas l'histoire d'une personne particulière, car chaque personne avec qui on a discuté était unique et mériterait que je m'étende sur plusieurs pages.
Deux choses m'ont particulièrement touchées : - quand nous sommes partis en maraude, au bout de quelque minutes nous nous arrêtons pour discuter avec un monsieurs SDF et très rapidement s'est constitué un petit groupe de sans abris de 5 personnes demandant de l'aide. […] Créer un lien de quelques minutes ne serait-ce que discuter (d'une partie de leur histoire ou simplement de la recette d'un gâteau), nous montre la nécessité de mettre d'avantage de moyens pour essayer d'aider ces personnes.
La double ecoute nous permet de bien comprendre le fonctionnement du 115 (notament l'hebergement) La nuit dans le camion est plutot sympa , on peut discuter avec les personnes sans abris .
J’ai aussi beaucoup aimé l’équipe avec qui j’ai beaucoup discuté et ils m’ont laissé faire les soins infirmiers.
Marauder dans un camion dans Paris et rendre visite aux plus démunis, discuter, offrir café, bonnet, endroit pour dormir ...
J'ai pu discuter avec des personnes sans-abris, comprendre leur parcours, leurs difficultés alors que dans la vie de tous les jours notre attitude envers elles est plutôt l'indifférence.
C'est très interressant de faire de la double écoute et de discuter avec les personnes du samu social des situations des sdf.
J'ai beaucoup aimé cette garde, autant la double écoute que de rencontrer les clochards dans la rue et de discuter un peu avec eux.
J’ai beaucoup aimé rester discuter avec lui, pour une personne souvent seule qui avait besoin de parler.
Le point négatif est le temps trop long passé dans le camion par rapport aux temps pris pour discuter avec les personnes.
Il suffisait presque d’avoir enfiler le manteau gravé samu social pour sentir le contact naître facilement avec les sans abri et discuter simplement du quotidien, des besoins momentanés ou de réelles nécessités.
Ce qui m'a tout de suite frappé, c'est l'extrême gentillesse des gens dans la rue : les riverains et commerçants que l'on rencontre sur le terrain et qui ont signalé, certains sans-abri qui nous abordent et discutent comme si on se connaissait depuis longtemps, d'autres équipes de maraude faisant parti d'autres associations qui viennent aider comme nous... […] Puis un sans-abri est venu nous voir (un habitué, déjà bien connu), il nous a tous serré la main et a commencé à discuter, un bras au-dessus de mon épaule et l'autre sur celle de l'infirmière du camion !! […] Au final, nous étions 7 à discuter au milieu du trottoir !!
Nous avons discuter simplement avec ce jeune homme accompagné de son chien: cet échange nous a apporté mutuellement un peu de réconfort et d'humanisme.
Depuis que j'ai fait cette garde, je prends plus le temps de discuter avec ces personnes en appliquant les conseils qui m'ont été donnés.
Malheureusement je n'ai pas vraiment eu l'occasion de discuter avec les personnes que nous avons aider.
Quelques rencontres touchantes mais souvent assez brèves: on discute un peu, on donne du café, de la nourriture mais il s'agit que d'une aide temporaire.
Cette nuit m'a permis de mieux discuter avec ces personnes en difficulté dans leur vie quotidienne, plutôt qu'à l'hôpital où ils ne sont pas forcément toujours bien accueillis ... […] Nous sommes restés longtemps avec lui, beaucoup discuté et il nous a offert des gâteaux de Noël.
J'ai fait la double écoute en "back-line" ce qui permettait de bien discuter avec les gens pour évaluer leurs besoins et les conseiller . […] et certaines personnes sont tellement isolées qu'ils appellent uniquement pour discuter , pour avoir 10 min de compagnie alors que pour la plupart ils ont des familles mais qui les ont abandonnés .
Garde tres interessante et enrichissante sur le plan humain, la double écoute permet de se rendre compte des problèmes sociaux et de discuter de l'histoire et expérience des usagers Grace au logiciel.
A l'avenir je ne verrai plus ces gens de la même façon, j'oserai plus aller vers eux pour discuter.
J’ai pu réaliser à quel point le simple fait de discuter avec eux leur apporte déjà du soutien.
On ne se rend pas assez compte de ce qu'est la vie des sans abris avant d'aller à leur rencontre, d'essayer de les aider, de leur demander s'ils n'ont besoin de rien, ou alors tout simplement de discuter avec eux ...
on discute avec des SDF, on leur apporte des couvertures, à boire, on les dépose dans des centres d'hebergement, etc...
J'ai beaucoup apprécié cette expérience qui permet de rencontrer des gens que nous croisons dans la rue tous les jours sans savoir trop quoi penser, de découvrir leur histoire et leur parcours, de discuter...
C'est l'occasion de faire des rencontres et de prendre vraiment le temps de discuter avec des hommes et des femmes vulnérables que l'on ne sait pas forcément comment aborder sinon.
Ça a été l'occasion de discuter avec eux, aussi, d'approcher un peu de leur quotidien...
A titre personnel, je n'ai jamais eu l'occasion de parler à des sdf et j'ai pu m'intéresser au parcours de certains d'entre eux, discuter et comprendre que le profil type du sdf n'existait pas.
Les personnes sont soient en demande de logement ou alors veulent surtout discuter autour d'une boisson chaude.
C'est également intéressant de discuter avec ces personnes qui nous racontent leurs histoires et nous explique parfois la raison pour laquelle elles se trouvent à la rue aujourd'hui. […] Sinon j'ai pu discuté avec un homme d'une cinquantaine d'année très aimable à qui on a pu proposé un hébergement en centre d'urgence qui à insisté pour y aller par ses propres moyens.
Etrangement la partie qui m'a le plus touché est l'atelier double-écoute parce que l'on discute beaucoup plus avec les personnes dans le besoin. […] Le seul petit point que j'ai trouvé un peu dommage c'est le fait de ne pas avoir pu discuter plus avec les personnes rencontrées pendant la maraude.
Je ne pensais pas que discuter avec des SDF pouvait être aussi instructif et intéressant. […] Or je suis moi-même bilingue polonais, ce qui m'a permis de discuter un peu plus longuement avec eux, sous le regard ébahi de l'équipe de mon camion.
Discuter avec les équipes fait prendre conscience de l'accueil que reçoivent ces gens quand on les amène aux urgences, ce qui est important pour tout étudiant en medecine Belle expérience humaine
Avec l'équipe, nous sommes allés discuter avec des sans-abris et c'était très enrichissant.
Je ne voulais pas aller serrer la main et discuter avec les clochards, d'autant plus en pleine canicule.
Cela m'a permis de discuter avec les sdf qui ont été conduits au centre pendant la nuit.
C'est aussi l'occasion de discuter avec les personnes qui travaillent au SAMU SOCIAL mais aussi avec les personnes sans abris de milieux sociaux variés.
Certaines personnes vivant dans la rue attendent beaucoup d'eux, nous en avons eut l'exemple avec un homme qui plus que le café chaud appréciait surtout de pouvoir discuter, cela lui changeait des journées passées à se faire ignorer des patients.
Je n'avais jamais eu l'occasion de discuter avec des personnes vivant dans la rue, et je ne me rendais pas compte de tous les systèmes d'aide qui existe, je trouve que l'organisation du 115 est très bien.
Elle m'aura aussi permis de me rendre compte de la richesse de discuter avec ces gens de la rue, de leur parcours, de leurs difficultés, de leurs projets.
J’ai toujours trouvé que discuter avec les sans-abris apporte beaucoup, mais je prends rarement le temps de le faire.
Nous sommes partis en maraude assez tard (entre 21h et 22h) et nous avons passé beaucoup de temps à chercher un SDF que nous devions amener dans un centre sans jamais le trouver et sinon nous avons accompagner deux personnes dans un centre et discuter avec quelques autres personnes sur le chemin.
Nous avons bien discuté, et cela m'a permis de prendre conscience d'une réalité que je ne concevais pas avant.
Enfin, ça m'a permis d'avoir pour la première fois un contact direct avec les sans-abris, de discuter avec eux, voir dans quelles conditions ils vivent, et me rendre compte par les faits de la prise en charge sociale qu'on offre aux démunis (et qui est soit disant je pense très mauvaise) en ile de france.
Par ailleurs, les maraudes nous ont permis d’aller au contact des gens, de discuter avec eux, de comprendre leur situation.
J’ai ainsi eu l’opportunité de discuter longuement avec un sans-abri d’origine portugaise qui a accepté de partager son histoire avec moi.
Nous avons également discuté à plusieurs occasions avec des SDF et nous sommes allé donner des avis infirmiers dans un centre d'hébergement. […] Il n’est pas possible de discuter avec les éventuels passagers puisque ceux ci sont à l’arrière et de toute façon trop fatigué pour partager leurs expériences. L’équipe discute donc entre elle, ce qui est très sympathique, mais n’apporte pas grand-chose de particulier.
J'ai aimé aller à la rencontre des gens dans la rue, discuter avec eux et échanger.
J'ai pu discuter avec plusieurs SDF dans la nuit, tous différents les uns par rapport aux autres.
Je pense que tout le monde devrait faire ça au moins une fois dans sa vie pour que par la suite on puisse discuter avec les gens dans la rue afin qu'ils gardent une sociabilité avec le monde.
Cette nuit m'a aussi appris à savoir aborder et discuter avec les personnes en grande difficulté sociale refusant souvent le contact humain.
J'ai une vision beaucoup plus humaine et je comprend mieux la situation des SDF en ayant pu discuter avec eux (surtout que j'ai pu parler roumain avec certains) par rapport aux urgences où, jusqu'à date, j'ai trouvé plutôt les cas extrêmes d'alcoolisation ou d'isolation.
Voir, entendre, toucher, discuter avec les même personnes que j'ai croisé sans réellement les voir - pendant mon stage aux urgence - allongé dans un brancard au fond de la salle d'attente.
Je me suis rendue compte que leur rôle n'est pas seulement de donner hébergement et nourriture, mais aussi et surtout d'être présents pour écouter et discuter avec des personnes, souvent très isolées.
Cette garde au Samu Social a finalement été une expérience plutôt intéresssante d'un point de vue humain, en allant à la rencontre des sans-abris et avec la possibilité de discuter, à la fois dans la rue, dans le camion, ou au sein des lieux d'hébergement.
Rencontrer ces sans abris, discuter et échanger avec eux m'a tout simplement fait découvrir un autre monde, qu'on croise pourtant tous les jours sans s'y attarder.
Ce qui m’a le plus marqué durant cette nuit a été la rencontre avec un grand exclu, à la rue depuis plus de 20 ans, et avec qui chaque équipe s’arrête pour discuter, prendre un café, ou simplement s’assurer que “tout va bien” lors de chaque maraude.
Les maraudes permettent d'avoir un contact plus sincère avec les démunis que le contact strictement médical qu'on aurait eu à l'hôpital, et permet aussi de se rendre compte qu'on peut aider concrètement les gens avec des gestes simples: simplement discuter, donner un repas chaud...
C'est bien de pouvoir savoir comment se déroule une nuit au samu social J'ai bien aimé pouvoir discuté avec les gens c'est très enrichissant.
Les maraudes permettent d'être intégré d'abord à une équipe et d'aller au contact de ceux qui sont souvent vus sans être regardés, de discuter avec eux, d'apporter ce qu'il est possible d'apporter et de prendre la mesure de la détresse subie par les uns mais parfois aussi provoquée par les autres.
Mais j'ai eu la chance pour ma part de faire ma maraude avec une infirmière qui était la depuis très longtemps et qui n'avait rien perdu de sa gentillesse, amabilité et chaleur réconfortante envers les sans abris que nous prenions en charge ou avec qui nous allions simplement discuter. […] J'ai particulièrement apprécié une intervention durant laquelle j'ai discuté avec une jeune sans abri, qui devait d'ailleurs avoir à peu près mon âge.
Nous avons discuté avec plusieurs SDF connus de l'équipe avec laquelle j'étais, accompagné deux sans-abris dans un centre d'hébergement d'urgence et rencontré un monsieur depuis peu dans la rue à qui nous avons proposé d'établir un dossier afin de le faire admettre dans un centre d'hébergement pour l'hiver.
J'ai aimé que cette garde me donne l'occasion de découvrir les différents centres d'hébergement, et de discuter avec les gens que nous y avons conduit.
C'est beau de voir les liens créés entre les usagers habituels et les gens du 115, ils se retrouvent, discutent, prennent un café...
Enfin, j'ai beaucoup apprécié d'aller à la rencontre des SDF et parfois de pouvoir discuter même brièvement.
La nuit de maraude nous fait rentrer dans la vie de ces SDF un peu plus en profondeur, discuter avec eux et apprendre comment ils s'en retrouver là.
Nous avons pu nous poser pendant une bonne trentaine de minutes pour discuter avec une personne que les gens du samu social connaissaient déj, puis trouver un logement pour une autre ou même distribuer de la nourriture ou des sac de couchage à d'autres.
En ce qui concerne la maraude, elle permet de se rendre compte que tous les sdf ne sont pas violents et alcoolisés, qu'ils souhaitent juste de temps en temps discuter et boire un petit café.
J'ai été globalement bien accueillie, et c'est instructif de pouvoir discuter avec des gens qui bossent là bas régulièrement, et les raisons pour lesquelles ils font ce travail.
J'ai découvert les foyers, le mode de vie et discuté avec quelques personnes sans domicile, j'ai sans doute eu de la chance car elles étaient ouvertes à l'aide et prêtent à partager un peu.
La première partie en double-écoute a été utile pour discuter avec des travailleurs sociaux et des coordinateurs quant aux missions du SAMU SOCIAL de Paris, aux problématiques posées ainsi qu'à leur évolution au cours du temps, des saisons, et du contexte national ou international récent.
Ils distribuent les rôles et discutent de quelques cas de SDF non vus depuis un moment. […] D’une part bien entendu pour la soupe et les chaussettes mais aussi je pense pour discuter. […] Très drôle, il avait envie de discuter, nous avons passé un bon moment avec lui.
L'équipe était très accueillante mais la nuit s'est limitée à récupérer les personnes signalées pour les emmener dans des centres d'hébergement, parfois sans même discuter avec elles.
Enfin pendant la maraude, j'ai pu discuter avec l'équipe du camion mais aussi avec certains SDF me permettant d'éroder certains préjugés/appréhension que j'avais lors de leur prise en charge à l'hôpital par exemple.
Mon meilleur souvenir, c'est d'offrir un café chaud (à d'offrir d'une place dans un centre pour la nuit) et de le voir heureux d'avoir quelqu'un avec qui discuter.
La double écoute est tres intéressante, on peut discuter avec le personnel, on voit les différentes structures dont dispose paris pour accueillir les usagers.
La présence de la pluie n'a pas permis de beaucoup discuter avec les sans-abris, ce que j'ai trouvé dommage, mais ce n'est pas quelque chose de prévisible.
J'ai beaucoup aimé le contact avec les sans abris, pouvoir discuter réellement avec eux et réaliser leurs difficultés quotidiennes.
La nuit a été rythmée par de nombreux allers-retours vers les centres d'hébergement qui furent l'occasion de discuter avec des sans-abris dans le camion.
J'ai profité de conditions agréables pour ma garde au samu social (douce soirée d'été), ce qui a permis à l'équipe et donc moi même de prendre le temps de discuter longtemps avec chaque personne que nous avons rencontré au cours de la nuit.
En parlant d'histoire, parmi ce qu'il y a de marquant c'est d'aller à la rencontre de personnes qui ne veulent pas forcément d'hébergement mais juste "discuter un peu"....
Un appel m'a particulièrement frappé et le fait d'en avoir discuté avec l'écoutant m'a fait prendre conscience que beaucoup de personnes, notamment des femmes fuient leur pays, mais une fois en France elles rencontrent des problèmes d'un autre ordre pour trouver un endroit où loger et se retrouvent souvent violentees par des hommes.
Pendant que nous lui donnions un repas chaud et que nous discutions avec lui deux hommes marocains qui ne parlaient pas français sont venus nous voir pour nous demander de l'aide. […] Étrange situation que celle-ci dans la nuit à Paris dans un coin de rue sentant mauvais, ou un SDF proposait ses services pour discuter en italien pour aider deux hommes à trouver un foyer pour la nuit, alors que lui même allait rester dehors pour la nuit et qu'aux yeux de la société il n'est utile pour personne.
J'ai bien aimé discuté avec les sdf, l'assistante social faisait très bien son travail en conseillant les structures correspondantes à chaque cas pour TOUTES les personnes. […] Et qu'il y a énormément de pause pour les équipes en camion ( on prend du temps pour partir, on fume une clope après chaque personne déposée en centre, on reste discuter une demi h après la pause repas), après c'était une nuit avec peu de signalement, c'est surement pour cela...
Ou bien remplacer la maraude par une nuit au centre Romain Rolland ou l'on rencontre vraiment les SDF, ou on peut discuter et rigoler avec ces personnes isolés, ou on peut aider les infirmières à examiner les personnes arrivant.
J’ai pu discuter avec la travailleuse sociale et l’infirmière intérimaire, dont c’était aussi la première maraude, de leur condition de travail, de la difficulté pour les sans abris de trouver une place en centre d'hébergement d'urgence tous les soirs ou une place plus stable et des problèmes sociaux, psychiatriques et d'addiction qui s'accumulent chez ces personnes et compliquent le travail du 115.
La maraude est sans doute le moment le plus intéressant car cela permet de prendre contact avec les personnes ayant besoin d'un logement pour la nuit ou tout simplement besoin d'interaction, de discuter avec des gens.
En effet j'ai trouvé très interessant de discuter avec les sans abris, et j'ai appris beaucoup sur leur vie.
J'ai aussi pu discuter avec un SDF de mon âge qui m'a exposé ses difficultés d'accès aux soins dont certaines ne me seraient pas venues à l'idée !
J'étais bien intégrée à l'équipe et j'ai beaucoup discuté notamment avec l'IDE.
On pas alors vraiment le temps de discuter, d'écouter...
J'ai pu visiter un foyer d'accueil et discuter avec les personnes qui y travaillent et ceux qui viennent pour dormir.
J ai pu discuté avec un monsieur qui, apprenant que j étais étudiante en médecine, m' a raconté sa trachéotomie au Chad a l aide d un stylo (qui apparemment aurait fonctionnée).
Ils ont tissé des liens, construit des relations de confiance et prennent systématiquement le temps de s'arrêter pour discuter, prendre des nouvelles et passer un peu de temps avec eux.
J'ai pu également visiter un des centre où on a déposé des sans abris, j'ai trouvé ça bien de voir ça et enrichissant de discuter avec ces gens.
On sillonne tout Paris pour apporter quelque chose de chaud, dans les meilleurs cas une nuit au chaud et des fois discuter, on fait des rencontres fortes avec des gens tellement courageux qu'à côté on n'ose même pas penser au froid qu'on ressent nous-mêmes...
Sa décision est prise, nous lui donnons une soupe et un café pour qu'il puisse se réchauffer, et nous discutons avec lui quelques instants. […] A notre échelle, nous ne pouvons pas grand chose pour permettre à ces personnes de dormir au chaud, par contre, nous avons la possibilité de nous arrêter, de discuter avec eux, de leur donner quelque chose de chaud à manger.
C’est pourquoi j’ai trouvé instructif d’observer comment ces professionnels sociaux agissaient, discutaient, proposaient. Au début, un monsieur se sentait ennuyer et puis petit à petit il s’est mis à discuter du type de radio qu’il écoutait, des centres où il avait déjà été… Nous avons aussi été voir une dame avec des problème de santé, j’ai vu l’accueil dans un centre, la visite avec l’infirmière et le choix d’aller aux urgences suite à une consultation téléphonique avec un médecin en relation avec les équipes mobiles.
La partie de la nuit que j'ai préférée était la maraude : rencontrer les SDF, discuter avec eux de leur situation sociale, des difficultés rencontrées (maladie, froid, les vols...), de leurs tentatives de s'intégrer à une société qui les accepte difficilement...
Nous avons discuté quelque minutes avec lui, et nous avons appris qu’il s’inquiétait pour son neveu, qui se fait parfois battre par son père.
Nous avons vu en maraude différents "tableau sociaux" qui m'ont été expliqués par le travailleur social avec lequel j'ai beaucoup discuté : un travailleur au chômage, un retraité sans ressource et une femme active n'ayant pas les moyens de se loger.
Se rendre auprès des usagers, prendre le temps de discuter avec eux et des les écouter nous rappelle que ce sont des gens qui ont un vécu derrière eux, et surtout énormément de choses à nous apprendre..
Je me suis rendue compte aussi que les gens que nous aidons sont très attachants: c'est humainement enrichissant de pouvoir discuter avec des gens qui n'ont pas la chance d'être logés, ou d'autres qui reconnaissent avoir une addiction pour l'alcool par exemple et qui confient être très difficile d'arrêter.
Les personnes rencontrées avaient des profils très différents et on a discuté longtemps parfois, rigolé, apporté un pull, un duvet ou une soupe...
Cette garde est l'occasion d'aller vers eux, de discuter avec et d'apprendre leur histoire.
J'ai visite le centre de Montrouge et discute avec quelques personnes qui etaient la pour la nuit.
Mon seul regret c'est de ne pas avoir pu plus discuter du parcours de chacun ms il paraissait déplacé de le faire.
Avec qui on peut parler de tout et avec qui on s'amuse, discute, échange, apprend.
Je pense qu'aujourd'hui j'irai plus facilement discuter avec ces sans abris dans la rue pour leur demander s'ils ont besoin de quelque chose et leur parler du 115.
L'équipe a été adorable avec moi mais ils m'ont précisé que cette mission exigeait plus de rigueur et d'attention de leur part, ce qui fait qu'ils ont eu moins le temps de discuter et de me faire partager leur expérience.
Les volontaires avec qui j'étais le connaissaient déjà, donc on a un peu discuté avec lui, c'était un homme assez âgé, qui avant avait un travail, vivait avec quelqu'un qui l'a mis dehors, et petit à petit il est parti en dépression et s'est laissé allé.
Nous avons longuement discuté afin de lui proposer des solutions pour ses procédures.
Pendant que les membres de l'équipe discutaient avec les parents, j'ai partagé une demi-heure avec cette enfant pour qui la condition sociale n'a pas d'importance.
Cette nuit a été très instructives, étant alors en stage aux urgences de la pitié salpêtriere et recevant chaque nuit plusieurs sans-abris, j'ai appris à les regarder d'une nouvelle manière, et ainsi mieux communiquer voire discuter avec eux, et les conseiller etc...
J'ai eu l'occasion de marauder dans mon quartier et donc d'aller voir des personnes que je croise au quotidien sans avoir jamais discuté avec eux mis à part un bonjour.
Ce qui m'a le plus frappé c'est qu'ils nous attendaient certes pour recevoir du café, de la soupe ou des vêtements mais surtout pour discuter avec nous...
Nous avons surtout eu un rôle de "taxi" pour les SDF mais ça n'en était pas moins intéressant car cela nous permettait de bien discuter avec eux.
J'aurai aimé voir plus de monde et être en contact avec plus de personnes, et après avoir discuté avec l'équipe ils m'ont bien confirmé que le plus intéressant serait d'être avec le camion qui ne fait pas que de la maraude pure.
De discuter avec eux, de comprendre leur mode de vie, pourquoi ils refusent les soins parfois ou même l'hébergement, de visiter les foyers dans lesquels ils peuvent dormir.
On reçoit un signalement d'un homme qui ne souhaite pas d'hébergement pour la nuit, mais juste que le SAMU SOCIAL passe le voir, pour un café peut être, ou une soupe, ou juste discuter.
On m'avait initialement informé sur le grand isolement social des SDF, sur les difficultés de communiquer avec eux parfois, pour ma part je n'ai rencontré au cours de cette nuit que des personnes contentes de pourvoir discuter avec nous.
Puis la nuit fut calme, pas de signalement important, des arrets par ci par la pour donner une soupe, un duvet, discuter etc
Discuter avec les SDF nous donne une vision différente de la vie dans la rue et si certains rejettent l'aide du samu social beaucoup apprécient le soutien et le réconfort qu'il leur apporte.
Quelque soient leurs malheurs, ils étaient tous contents de nous voir et de discuter avec nous.
Bien que ce fut une soirée et une nuit particulièrement chaude après une magnifique journée ensoleillée, nous avons rencontré et discuté avec un certain nombre de personnes sans domicile, allant du jeune allemand lisant sur un coin de trottoir au migrant sans papiers installé dans une cabine téléphonique au fond d'une impasse en passant par une dame d'origine russe écoutant de la techno à fond et sans réelle envie de discussion...
J'ai beaucoup apprécié la facon dont les équipes travaillaient ensemble, la bonne humeur entre l'infirmier, le travailleur social et le conducteur, qui tous les trois, étaient très à l'écoute des personnes rencontrées durant la maraude qui avaient parfois vraiment besoin de discuter.
Elle m'a permis de prendre le temps de discuter avec des personnes pour qui je n'aurais pas pris le temps dans d'autres circonstances, et simplement me rappeler simplement que ces personnes qu'on évite du regard sont aussi et avant tout des êtres humains.
. , un vietnamien très connu des marauder avec qui nous avons discuté pendant 20 min, j'ai beaucoup apprécié cette rencontre.
Dès le premier arrêt en camion, je me suis rendu compte de la facilité qu'avaient les équipes à discuter avec eux, il n'y avait pas de barrière, pas de jugement.
L'une a refusé toute aide, une autre a accepté d'être hébergée pour la nuit, d'autres étaient heureuses de simplement discuter, chanter, rire autour d'une tasse de café.
J'avais discuté avec un des infirmiers qui faisait la maraude dans un autre camion.
Le plus souvent les gens ne demande rien d'autre qu'un simple café et discuter avec quelqu'un cinq minutes.
Discuter un peu avec les sans abris, leur apporter un peu de compagnie, d'écoute et de soutient en plus d'un repas chaud et d'une chambre où dormir dans le meilleur des cas, ce n'était finalement pas une obligation ni une contrainte mais un plaisir, de pouvoir aider et de se sentir utile.
Le temps n'est pas compté et on prend le temps de discuter avec chacune des personnes.
Lors de notre maraude, nous sommes allés à la rencontre de nombreux usagers pour leur trouver un hébergement pour la nuit ou simplement discuter avec eux et leur demander ce qu'on pourrait faire pour eux.
On nous offre immédiatement un café, des sourires reconnaissants apparaissent sur les lèvres, plusieurs bonjour et le tour est joué nous voilà en train de discuter!
L'équipe du SAMU Social connait très bien un grand nombre des sdf et ces derniers sont contents de nous voir arriver et de pouvoir au moins discuter avec nous, prendre une soupe ou un chocolat et au mieux être accompagné dans un foyer.
L'infirmière est même montée avec moi à l'arrière pour ne pas me laisser toute seule et qu'on puisse discuter plus facilement.
Cela ne m'a pas empéché de discuter avec les SDF mais j'avais quand même tendance à rester un peu plus en retrait.
Nous sommes allé à la rencontre de personnes qui, pour la plus part, étaient contente de notre passage et de l'aide apportée, même si celle ci ne consistait qu'en une simple discutions.
On discute un peu.
Les travailleurs sociaux étaient tous très intéressants, j'ai bien pu discuter avec eux.
Nous avons discuté avec plusieurs sans abris, certains ne voulaient pas dormir en centre et refusaient notre aide.
Une situation très touchante est survenue lorsque nous discutions avec un habitué du Samu.
Nous sommes donc allés à la rencontre d'individus vivant à la rue, individus auquel je ne prête d'ordinaire pas attention, avec qui j'ai pris le temps de discuter de leur vie, leur état d'âme, des raisons qui les ont poussé à venir en France (la grande majorité était une population immigrante).
Même si je pense que les lignes téléphoniques d'aide et de conseil (SOS Amitié, CFCV...) permettent d'apporter de l'aide aux gens, le fait de les rencontrer, de les accompagner dans des centres, de leur donner à manger, à boire ou même simplement de discuter avec eux permet de rendre l'action beaucoup plus concrète. […] Il a accepté qu'on l'emmène dans un centre et nous avons pu discuter avec lui de sa situation pour chercher des solutions à ses problèmes, ce que l'on a pas forcément le temps de faire de façon approfondie au cours d'un appel.
Lorsque l'on a récupéré le premier usager il s'est installé à côté de moi et je n'étais pas rassurée, mais finalement au fur et à mesure de la discussion lors du trajet nous avons discuté énormément, sur de nombreux sujet et un deuxième usager s'est joint à la conversation.
Les discutions tant avec l'équipe qu'avec les personnes aidées étaient assez enrichissantes.
Cette garde est très enrichissante, tout d'abord sur le plan humain, car, habitués à rester un peu dans sa bulle, on apprend à s'approcher des plus défavorisés, à leur parler, à discuter avec eux, à leur montrer notre considération et attention pour eux.
Quand on est arrivé au centre on a d'abord discuté avec les personnes placées pour essayer de leur donner des solutions pour s'en sortir.
Discuter avec ces personnes permet de bien se rendre compte de leur humanité, que l'on a parfois tendance à oublier en les croisant sur le trottoir.
Il nous a remercié à la fin d'avoir pris le temps de discuter avec lui et de s'être occupé de lui
Et en gros, nous avons papoté toute la soirée, rejoints par certains SDF qui montaient dans le camion pour que nous les amenions vers l'endroit où dormir et qui discutaient avec nous. Ce qui m'a impressionné entre autres, c'est le temps que passait le travailleur social pour discuter avec le nouveau-venu à chaque fois, reprenant l'historique de son errance et de ces démarches ; en 5 minutes, il avait une idée assez précise et était en mesure de donner quelques conseils précieux.
Même si bien sur nous nous arrêtons volontiers sur le chemin pour distribuer un café ou tout simplement discuter, prendre des nouvelles des gens qui pour la plupart sont bien connus par les équipes du SAMU ! Et c'est là qu'on se rend compte qu'en plus d'un toit, les personnes rencontrées manquent de contact humain, de discuter, d'échanger, de parler de tout de rien avec d'autres.
On discute avec lui il dit n'avoir besoin de rien dit qu'il a déjà eu affaire au samu social mais que ça ne l’intéresse pas.
On discute avec lui il dit n'avoir besoin de rien dit qu'il a déjà eu affaire au samu social mais que ça ne l’intéresse pas.
On discute avec lui il dit n'avoir besoin de rien dit qu'il a déjà eu affaire au samu social mais que ça ne l’intéresse pas.
Le plus dur n'a pas été ce que je pensais, ce n'était pas dur d'aller vers les usagers, de leur serrer la main, leur offrir une boisson chaude et discuter avec eux.
Le chauffeur de l'équipe connait bien Pascal, nous sommes resté un moment à discuter avec lui.
Avec le samu social ce qui était différent c'est que l'on discutait plus avec eux, on parlait des projets possibles pour eux etc..
La partie de nuit dans le camion permet de rompre les tabous, je n'ai jamais vraiment été repoussée à l'idée d'entamer la conversation avec des personnes qui vivent dans la rue, avec une hygiène qui repousse souvent au premier abord, et il m'était déjà arrivé souvent de discuter ce qui permet d'assimiler le fait que ce sont des gens tout ce qu'il y a de plus normal.
C'était une expérience enrichissante: l'occasion de prendre vraiment en compte l'environnement social des personnes dans le besoin, l'occasion de discuter avec ces mêmes personnes que l'on n'aurait pas forcément cotoyées "en temps normal", et surtout l'occasion de faire disparaître l'image du "sans-abri = clochard"...
J'ai été marquée par le regard des passants lorsqu’on était accroupi au bord d’un trottoir avec un sans-abri, qu’on discutait avec lui en lui donnant de la soupe ou du café.
Elles avaient simplement besoin d'avoir un contact humain, de pouvoir discuter sans se sentir jugées, d'échanger quelques paroles.
La place dans les hébergements sont rares et manquent, c'est humainement difficile de passer sa nuit à expliquer aux SDF qu'on peut leur servir un café, discuter un peu, mais ne pas leur proposer de place où dormir (parce qu'ils y ont déjà dormi 6 jours plus tôt par exemple) Voire dans le pire des cas, ce sont les sans abris qui refusent certains hébergements car les conditions y sont trop difficiles (vol, violence..)
pour ebaucher un debut de projet d'une autre vie (ne serait-ce qu'en discuter) à l'exception d'une rencontre avec une femme sans abris, dans la rue depuis "seulement" 1 an et n'ayant pas encore perdu tout espoir de "s'en sortir".
Un début de soirée en double écoute avec une écoutante sociale attentive du 115, un briefing avant la tomber de la nuit pour organiser la maraude, puis l’attente écoulée à discuter de Xavier Emmanuelli avant le départ du camion 952 avec Marie l’infirmière, Annabelle, l’assistante sociale et Béchir le conducteur, et on roule vers Paris direction 4-5-12 et 13ème arrondissement.