Surtout le contact avec les gens qui sont la plupart du temps reconnaissants du peu que le samu social peut leur apporter.
Ce qui m'a le plus marquée, c'est le manque de places d'hébergement mises à disposition pour le samu social.
La garde au samu social a été une expérience enrichissante.
J'ai été avant tout surprise par cette garde au samu social.
Cette garde m'a permis de découvrir les missions du samu social, que je ne connaissais pas du tout.
que l'intégration avec l'équipe passionnée ( l'IDE de mon équipe est une ancienne infirmière de l'APHP passée cadre puis mi-temps au samu social) Néanmoins mon enthousiasme a été terni par cette vérité...
En effet c'était une autre approche de l'autre, un aperçu de l'entraide et du travail mis en place par l'équipe du samu social et de leur motivation.
garde au samu social riche humainement tant dans la vie associative qu'avec les sans abris.
J'ai beaucoup apprécié cette nuit au samu social.
Ce qui m'a le plus marqué fut de voir que les personnes travaillant au samu social sont vraiment une très bonne équipe, prête a beaucoup de sacrifices de leur propre personne afin d'aider, ne serait-ce qu'un peu, ces gens a qui tout le monde tourne le dos.
Très instructif la maraude bien sûr et la discussion avec les sans-abris, mais aussi l'écoute du 115 en début de soirée et la visite d'un des centres d'hébergement du samu social...
J'ai apprécié cette garde de découverte du samu social, moi qui ne connaissais que très peu le fonctionnement de ce service.
En tout cas, ce fut une expérience humaine très enrichissante et je remercie chaleureusement toute l'équipe du samu social qui a pris le temps de me fournir toutes les explications nécessaires.
J'ai trouvé cette expérience au samu social très enrichissante.
On se rend rapidement compte de la portée qu'a le samu social de par le nombre de personnes qui nous interpellent que ce soit pour dire merci ou pour demander quelque chose, pour parler...
Par ailleurs, je pense que cette garde devrait être facultative ou du moins couplée avec un autre stage (nous avons déjà beaucoup de gardes dans les services de rea/urgences et comme nous ne choisissons pas nos dates pour la samu social, ça fait parfois plusieurs gardes d’affilée).
Je trouve que le samu social est une très belle initiative.
J’ai fait ma nuit au samu social pendant le pic de grand froid, où plein de places ont été mis à dispo dans les gymnases, les centres...
Merci beaucoup au samu social de m'avoir fait découvrir votre beau métier, et à la fac de nous permettre de faire cette garde, enrichissante pour tout citoyen.
La garde obligatoire du samu social est une experience humanitaire très enrichissante.
J’ai pu constater l’utilite Du samu social lors des maraudes, par leur présence dans les rues qui assure un peu de réconfort mais aussi leurs missions de prévention et d’accompagnement des gens au cas par cas.
Un autre fait qui m'a marqué, pendant la nuit, en passant par Denfert-Rochereau-Alésia-Porte d'Orléans nous avons été interpellé à 3 reprises par des "anciens" (habitués du samu social depuis plusieurs années) qui nous ont arrêté pour obtenir une place en vain.
Bonjour, j'ai découvert le concept du samu social lors de cette garde.
Pendant la garde au samu social on se trouve dans un lieu et un temps qui donnent la parole à des personnes en difficulté que l'on n'a pas beaucoup le temps d'écouter à l'hôpital en temps qu'étudiants.
Je n'avais jamais vraiment saisi l'ampleur des actions et de l'organisation du samu social.
Durant la maraude, un des usagers s'est gentiment moqué du samu social en disant que le duvet qu'on lui avait donné la semaine passée ne protégeait pas du tout du froid. […] En effet, le refus de certains usagers à recevoir de l'aide, parfois leur méfiance, je m'y attendais, et je me doutais bien que le samu social était limité et ne pouvais pas apporter énormément d'aide, mais pas à ce point.
Durant cette garde au samu social j’ai pu observer l’action de l’équipe d’un camion de maraude.
Au final ce qui m'a beaucoup marqué sur cette nuit c'est l'ambiance du samu social.
Cette nuit m'a donc permis de découvrir toute l'organisation du samu social et je dois dire que j'ai été agréablement surpris par les moyens mis en oeuvre pour s'occuper des SDF.
Je suis très contente d'avoir fait cette garde au SAMU social ce ne connaissais pas le fonctionnement des services d'accueil des personnes défavorisées ni le rôle exact du samu social.
Equipe très humaine, à l'écoute, proche des personnes en situation précaire, en bonne relation avec certains grands exclus ayant déjà sollicité à plusieurs reprises l'aide du samu Chauffeur aguerri pour le repérage de personnes qui pourraient avoir besoin d'aide, camion bien pourvu en denrées de 1ère utilité!
Je trouve que le samu social est une aide précieuse tant sur le plan sanitaire et social que sur le plan humain.
Sous prétexte que c'est un SDF, que c'est le samu social, ou pour toute autre raison qui m'échappe de la part de soignants -dont j'estime désormais faire partie-, on nous a regardés comme des bêtes de foire et personne ne semblait se soucier de ce nouveau patient.
J'attendais cette garde avec impatience pour découvrir les missions du samu social, j'étais touché par toute l'implication et la bonne humeur de l'équipe avant le départ.
Premier arret pour deux hommes, l'un connu du quartier, fort sympathique et un autre connu du samu social fort mal empoint.
C'était une découverte complète du samu social, dont je n'avais que très vaguement entendu parler.
Discuter avec les SDF nous donne une vision différente de la vie dans la rue et si certains rejettent l'aide du samu social beaucoup apprécient le soutien et le réconfort qu'il leur apporte.
Cependant les missions du samu social sont confrontées à de véritables problématiques de pérennisation, et de définition de leur cible .
Il y a deux points qui m’ont particulièrement marqué pendant cette nuit avec le samu social.
Pour les missions du samu social sont d'aider les sans abris soit en les hébergeant si cela est possible, soit en les nourrissant.
Cette garde au samu social, m'a ouvert un peu les yeux sur la vie de ces personnes et j'espère qu'elle m'inspirera dans ma pratique future.
C'etait une nuit extremement froide et j'ai pu voir la difficulte qu' on les sans domicile fixe a faire fasse au froid, mais egalement le soutient que represente le samu social (notament par les gants, chausettes, duvets, boissons chaudes,...).
Question sur cette anecdote : avons nous le droit de « forcer » quelqu’un à monter dans un camion du samu social ou ide pompiers pour l’emmener aux urgences ?
Ils m'ont fait visiter l'hospice en m'expliquant les objectifs et l'organisation du samu social.
En effet, en mission on se rend compte de la chance qu’est le samu social pour les personnes à la rue, que cette institution constitue un potentiel tremplin voire une motivation pour se ressaisir dans sa vie.
Chacun racontait ses expériences marquantes au samu social, et ça n'en était que plus profitable.
Au final : - une super entente avec les 3 intervenants qui était avec moi ce soir là, ils ont eu la patience de répondre à toutes mes questions et m'expliquer le fonctionnement du samu social […] - ça été très enrichissant pour moi, même si je m'en doutais, le profil type du sdf n'est pas du tout celui qui est véhiculé dans l'esprit commun : "alcoolique&incurique", bien au contraire cette nuit là j'ai pu rencontré des gens au profil complètement différent, du jeune homme fier qui refuse de parler à sa famille de son problème d'hébergement, à l'habitué de la maison qui "utilise" le samu social comme le taxi le ramenant à son hébergement de nuit, en passant par le refus de contact, le partage d'un café...
J'ai beaucoup aimé la double écoute, ça permet de voir comment le système du samu social fonctionne, les personnes triées en "famille", "isolées" etc, les difficultés qu'ont certaines familles à être hébergées, (si elles ont des enfants scolarisés, la difficulté et l'impossibilité pour eux d'être proche de leur école), les quelques abus aussi parfois (des enfants qui grandissent jamais par exemple), des appelants qui se permettent de refuser leur place car elle a été réservée dans un centre qui ne leur convient pas... […] Certes sur le plan humain, et social c'était intéressant de découvrir le travail du samu social (qui m'était complètement inconnu), cette notion d'urgence qui n'est pas la même qu'au sens médical du terme, mais au niveau médical justement, je n'ai pas vu tant de choses que ça...
On arrête le camion, on s'approche de lui, on se présente, c'est apparemment un "habitué" du samu social mais pas dans ce quartier là. […] Puis il y a eu ce groupe de jeune eux aussi, connus du samu.
La double écoute, en première partie de soirée m'a permit de découvrir le milieu, son organisation, l'étendu des activités du samu social ...
Le système générale du samu social, i.e. trouver un logement pour 1 nuit, me laisse également un sentiment partager : il répond certes à une urgence...
Le samu social, que de sourires, que de foux rires, que de coeurs serrés, que de mains tendues, que de chaleur humaine...
Les moments difficiles pendant la maraude de nuit sont les moments où les personnes que l'on rencontre ne veulent pas recevoir l'aide du samu social.
Nous lui avons trouvé une chambre d’hotel pour une nuit mais qu’en allait être pour la nuit suivante en attendant qu’elle intégre un programme famille avec le samu social ?
Ce qui m'a le plus plu au cours de cette garde au samu social, est l'ambiance incroyable qui y regne.
Durant la double écoute, j'ai pu me rendre compte du nombre d'appel que reçoit chaque jour le samu social, de l'aide qu'il apporte aux personnes en difficulté et malheureusement du nombre de requêtes auxquelles il ne peut pas répondre.
J'ai commencé par la double-écoute pendant 1h30, c'était vraiment très intéressant d'entendre ce que les personnes dans la rue disaient et de se rendre compte du manque de moyen du samu social qui ne peut pas répondre à autant de demandes qui le souhaiteraient.
Je trouve que cette garde est indispensable dans le parcours de l'externe, non seulement pour le fait de découvrir le fonctionnement du samu social de Paris mais aussi pour voir une autre facette de toutes ces personnes sans abris dans un contexte non hospitalier.
Il connaissait toute l'équipe, c'est un habitué du samu social.
Les divers intervenants issus de différents corps de métier m'ont tour à tour expliqué leur rôle dans le fonctionnement du samu social, un organisme dont je me faisais seulement une vague image jusque là, sans réelle idée du but de sa création.
Cette garde fut enrichissante, tout d'abord pour m'éclairer sur le rôle du samu social.
Cette nuit m'a évidemment permis de comprendre la mission du samu social, ce qui n'était pas tout à fait clair dans mon esprit. […] Beaucoup d'usagers sont déjà bien connus du samu social, certains ont des ressources, et pourtant ils doivent chaque jour recommencer, la crainte de dormir dehors le lendemain ne les quittant pas une seconde.
J'ai trouvé cette garde au samu social très enrichissante.
Mm si les moyens et les solutions du samu social sont insuffisantes puisqu'en général ce n'est que pour une nuit ou il n'y a plus de p lace pour un hébergement ils apportent du baume au coeur malgré toute cette pauvreté. ..
Il ne semblait pas surpris de nous voir arriver, au contraire, il avait l'habitude de voir le samu social, de jour comme de nuit, deux fois par semaine au moins.
Cette nuit au samu social m'a permis de mieux comprendre les différentes structures sociales pour les plus démunis en France, les sans papiers et autres personnes handicapées par le biais de la double écoute qui fut très interessante sur ce point.
La garde au samu social de Paris est une expérience à faire, très intéressante.
Du moins c'est ce que le site internet du samu social laisse entendre....
J'ai bien aimé cette nuit au samu social car l'équipe avec qui j'étais considérait vraiment les sans-abri comme des personnes égales aux autres sans sentiment de pitié, simplement là pour les aider, tout en étant conscient de leur situation, en essayant de les tirer vers le haut.
Pendant la maraude c'est la même chose qui m'a frappé , le profil des gens qu'on a aidé à trouver une place dans un centre d’hébergement , des hommes et des femmes de 19 à 40 ans propres , bien habillés , très polis ( même ceux qui étaient un peu alcoolisés ) Ce fut une expérience de plus qui m'a permis de réaliser pendant une nuit la détresse dans laquelle ces gens peuvent vivre, les demandes très variés et la difficulté des travailleurs du samu social tant matérielle qu'humaine .
Ma garde au samu social s'est déroulée la nuit du 28 octobre, une nuit particulièrement fraiche.
- On pense souvent mais de façon erronée que ce dont les SDF ont le plus besoin c'est un toit et de l'argent, mais en réalité ils ont surtout besoin d'un "lien" avec la société, de se sentir intégré, de ne pas être laissé à l'abandon, ce que le samu social essaie de faire
C'était une nuit enrichissante qui m'a permit de voir le travail du samu social, organisation que je ne connaissais pas avant cette année.
En commençant par la double écoute, ça a rapidement confirmé l'idée que j'avais que si beaucoup de gens appellent au samu social, peu de gens obtiennent une place. En revanche, je ne pensais pas que l'organisation était si poussée : chaque permanencier téléphonique a accès à l'historique des appels et des nuits que la personne a passées dans l'un des centres avec lequel le samu social travaille.
Sur le côté pratique, le siège du samu social n'est pas forcément pratique d'accès en transports...
La garde au samu social nous apprend qu'elles sont les difficultés quotidiennes de ces personnes en marge de ma société : trouver un logement pour la nuit, ne pas se faire voler ses affaires, toucher les aides sociales.
On discute avec lui il dit n'avoir besoin de rien dit qu'il a déjà eu affaire au samu social mais que ça ne l’intéresse pas.
On discute avec lui il dit n'avoir besoin de rien dit qu'il a déjà eu affaire au samu social mais que ça ne l’intéresse pas.
On discute avec lui il dit n'avoir besoin de rien dit qu'il a déjà eu affaire au samu social mais que ça ne l’intéresse pas.
J'ai aimé cette garde au samu social, double écoute comprise.
Vers 21h30 ,départ dans le camion avec deux agents du samu social , en direction du premier signalement de la nuit, c'était un homme de 70 ans installé dans une rue du 11eme arrondissements, quant on est arrivé il était accompagné de deux passants, il était bien couvert et refusait toute proposition de mise à l'abri ou même une boisson chaude , on lui a expliqué qu'il pouvait nous rappeler à n'importe quel moment s'il se sentait pas bien et on est reparti direction le signalement suivant!
J'ai beaucoup apprécié l'opportunité de pouvoir faire cette nuit au samu social.
Avec le samu social ce qui était différent c'est que l'on discutait plus avec eux, on parlait des projets possibles pour eux etc..
La double écoute téléphonique m'a permis de comprendre les missions du samu social et de cibler les personnes qui sont susceptibles d'appeler le 115.
L'accueil du samu social aux SDF y était particulièrement chaleureux.
La double écoute m'a permis de cibler un peu plus le type de gens en relation avec le samu social et j'avoue que j'ai été assez surprise : en entendant ces gens habitués à demander à la standardiste, toujours avec gentillesse, si "elle n'avait pas une place pour lui" à montrouge ce soir, j'ai éprouvé de la compassion pour ces gens.
Je remercie le samu social pour leur accueil et leurs explications tout au long de la nuit.
Ce fut très intéressant d'analyser au court de la double écoute et au cours de la ronde la façon de parler, d'écouter et de faire comprendre malgré les réticences , des différents intervenants du samu social.
Par exemple, nous avons visité un homme bien connu du samu qui refusait depuis toujours l'accueil dans les centres d'hébergement ou dans les lits médicalisés (qui lui étaient accessibles vu ses soucis de santé) parce qu'il était agoraphobe et qu'en même temps le fait d'entre seul (dans une chambre) l'angoissait aussi beaucoup.
Au début j'appréhendais un peu cette garde au "samu social". Je ne savais pas ce qu'on devait faire, ce que le samu social faisait. […] Mais c'était la première fois qu'il avait à faire au samu social.
Très belle expérience humaine, et il y a pour sûr un avant et un après garde samu social !
-Expérience enrichissante et probablement très dépendante des personnes rencontrées lors de cette garde (salariés du samu et usagers).
Je pense que cette garde au samu social est une très bonne chose et qu'il est regrettable que seuls les étudiants de Paris VI soient concernés.
L'assistante sociale parvient parfois à creuser la situation surtout pour les "1er samu", mais le but de la maraude de nuit est d'offrir une solution effective sur le moment.
Copie du mail envoyé à samusocial.upmc@gmail.com le 29/03/2011 Bonjour, Je vous écris afin de vous narrer ce qui m'a marqué au cours de ma garde au samu social de paris.
Tout le monde semble se connaitre, sans abris et membres du samu social!
Le samu social ne résout pas le problème de la précarité directement mais permet l’accès aux droits sociaux et la réorientation vers les services et structures de droit commun.
Chacun, chauffeur(e), assistant(e) sociale et infirmier(e) apporte son point de vue sur la situation d'un usager et l'aide que le samu social peut et doit lui apporter.
La plateforme de régulation, les appels sont une première approche qui m’a permis de mettre en place l’organisation très millimétrée du samu social.
J'ai beaucoup apprécié de faire une garde au samu social !
Mon expérience a été mouvementée par des personnes violentes, mais le samu social a géré la situation d'une main de maître, je ne me suis jamais sentie en danger.
Cette garde passée avec le samu social s'est avérée être une très belle expérience malgré mon appréhension initiale.
Cette nuit de découverte du samu social fut très intéressante, enrichissante et riche en émotions. […] Parce que le travail formidable qu'effectue le samu social au quotidien est en fait très peu connu du grand public.
Bonjour, Rentré il y a maintenant quelques heures de ce passage au samu social je me prends au jeu de décrire cette nuit. […] Merci au samu social et a la faculté de permettre ce type de découverte.
A notre arrivée à 18h en double écoute au samu social les appels s'enchainent pour trouver un hébergement pour la nuit.
J'ai adoré ma garde au samu social, j ai trouvé que c'était une expérience tres enrichissante sur le plan humain.
Ainsi la travailleuse sociale avec laquelle il s'entretenait ne pouvait rien faire de plus si ce n'est lui trouver un lit pour cette nuit avec retour à la rue dès le lendemain puisque le samu social ne trouve des lits que pour une nuit.
J'ai trouvé la garde au samu social très enrichissante socialement parlant.
Le personnel du samu était très accueillant.
La première partie, au centre d appel du 115 était très intéressante car je n avais aucune idée du fonctionnement du samu social.
Trop méconnu et peu valorisé, le samu social.
J'ai aussi pu échanger avec les équipes sur l'accueil qu'elles reçoivent parfois en arrivant avec un sans abris aux urgences et cela m'a permis de comprendre leur point de vue. ( peut être faudrait il organiser un mini stage au samu social pour certains médecins de certains hôpitaux...)
Le froid était intense malgré mes nombreuses couches, gros pulls et le manteau du samu ( plus qu'indispensable).
C'est pourquoi le samu social est si crucial : il permet de venir en aide aux plus démunis et de rappeler aux autres que la misère n'est pas une fatalité.
Selon moi, cette première expérience au samu social est très enrichissante et utile pour notre pratique future de médecin notamment aux urgences où les sans abris sont nombreux.
Ce fut pour moi un grand plaisir et une grande fierté d'avoir pu participer à cette garde du samu social, et je tenais à remercier toutes les membres des différentes équipes pour leur acceuil chaleureux.
Au final on l'a déposé devant un hôpital, pas devant l'entrée car ils m'ont expliqué que si les gens de l'hôpital nous voyaient, ils pouvaient se pleindre ou déposer un rapport contre le samu social.
Ils m'expliquaient que de quelques fois ils avaient été jetés des urgences (alors que l'infirmier du samu social avait jugé nécessaire d'emmener une personne à l'hôpital) sous prétexte que "les urgences n'étaient pas une solution d’hébergement".
Ma nuit au samu social m'a été très agréable, l'équipe était très accueillante, accessible et gentille.
Ma garde a commencé par la double-écoute à la régulation du 115 pendant 2h, où j'étais avec une écoutante très expérimentée, Marie, qui m'a expliquée comment fonctionnait le samu social. […] Bien que très courte, j'ai trouvé cette garde au samu social très enrichissante d'un point de vue humain.
Beaucoup de gens nous arrêtent à ce moment là, beaucoup connaissent le samu social de Paris, mais faute de temps, nous ne pouvons pas nous arrêter. […] Ah bon, même le samu social est soumis à l'économie du résultat ?
Le samu social se démène pour donner procurer des couvertures, la mairie les jettent.
Il est intéressant de connaître le fonctionnement du samu social, de pouvoir observer en double-écoute comment gérer les demandes et le relationnel, ou de voir dans les camions en intervention ce qu'il s'y fait, de comprendre comment le travailleur social et l'infirmière travaillent, et de rentrer en contact avec ces personnes en pouvant leur apporter quelque chose (vêtements, couverture, nourriture, hébergement).
Je trouve ce point là assez paradoxal car le samu social se dit aider les gens, mais finalement ne les embauchent pas parce qu'ils sortent de la rue...
Je suis conscient que mettre en place ce genre de chose nécessite une grosse logistique de la part de la scolarité et un partenariat à entretenir avec le samu social.
Or, le camion du samu social n'est pas equipé pour transporter les personnes dans cette situation: nous avons donc rappelé les pompiers et attendre qu'ils le prennent en charge pour l'emmener à l'hopital.
Vraiment une motivation et un volontariat à accueillir les étudiants à revoir pour certaines équipes(car je n'en fais pas une généralité, je suis sûre que le samu social est loin d'être a cette image que j'ai eu cette nuit là)
Je ne me suis pas rendu à ma garde de samu social très motivé ( je ne comprenais pas quel était l’intérêt pour moi, externe, d'effectuer une nuit entière à arpenter les rues de paris à la recherche de sans-papiers qui n'avaient pas forcement sollicité une aide extérieure).
La conséquence la plus palpable de cette fameuse garde au samu social est que "travailleur social", "assistante sociale", "détresse sociale", bref tous ces nouveaux mots, ces néologismes en "social", - le concept n'a que quelques années - sont devenus des réalités.
24 mai 2011-18h- arrivée au samu social de paris- salle d'écoute du SSP, Manuela , 32 ans, enceinte de 3 mois ,appelle, voila la troisième nuit qu'elle passe dehors, notre seule aide apportée ce soir sera l'écoute, pas de bonne nouvelle quant à une place en foyer pour elle, ce soir sera une nouvelle nuit sans toit ...
De cette nuit au samu social je retire surtout une impression de bienveillance chaleureuse, des souvenirs de fous rire et un esprit d’équipe et d’entraide indéfectible.
Le samu social se présente avec un but intelligent et différent d'autres associations, qui est de nouer un contact avec les usagers et de tenter de les maintenir dans la société.
Pour finir, je dirais que cette nuit au samu social de paris fut très enrichissante humainement parlant, et je tiens à féliciter toute l'équipe pour son engagement et sa mobilisation.
Pour finir, je dirais que cette nuit au samu social de paris fut très enrichissante humainement parlant, et je tiens à féliciter toute l'équipe pour son engagement et sa mobilisation.
Pour finir, je dirais que cette nuit au samu social de paris fut très enrichissante humainement parlant, et je tiens à féliciter toute l'équipe pour son engagement et sa mobilisation.
Pour finir, je dirais que cette nuit au samu social de paris fut très enrichissante humainement parlant, et je tiens à féliciter toute l'équipe pour son engagement et sa mobilisation.
Pour finir, je dirais que cette nuit au samu social de paris fut très enrichissante humainement parlant, et je tiens à féliciter toute l'équipe pour son engagement et sa mobilisation.
Les gardes au samu social de Paris devraient être réservées aux volontaires.
Cette famille ne connaissait pas le samu social, nous avons donc passé du temps à leur expliquer comment contacter le 115 afin qu'ils puissent profiter de leurs services.
L'intervention la plus significative de cette nuit au samu social, était un jeune homme qui dormait sur une grille d'aération de métro pour se réchauffer en compagnie d'un quadragénaire en état d'ébriété.
J'ai trouvé ma garde au samu social dans l'ensemble très intéressante, je trouve que c'est une très bonne idée pour les D2 et qu'il faudrait aussi le proposer au grand public.
J'espère vraiment que le samu social a encore de beaux jours devant lui.
J'ai trouvé cette garde au samu social très formatrice sur le plan humain et social.
Et donc pour finir, j'ai envie de lancer ce débat tant aux institutions qui gèrent le samu social qu'aux parties civiles : - Où sont les invendus alimentaires des commerces de proximités et des grands magasins?
Je trouve que les membres du samu social ont beaucoup de courage , et je pense que cela serait mieux si les associations et le Samu social avaient plus de moyens a leur disposition pour la prise en charge des sans abris.
Premier contact en tant que "membre" du samu social, et disparaissent au même instant tous mes préjugés afin de mieux profiter de cette expérience.
Cette nuit au samu social est très enrichissante pour nous, étudiant en médecine.
Obligee de payer un taxi pour rentrer Donc payer pour faire une garde ou on ne vous attends pas où tout le monde fait grise mine et où on se retrouve à 3 femmes pour parler à des sans abris parfois non connu potentiellement dangereux Je ne m'attendais pas à ça et je suis terriblement déçue J'ai bien compris le manque cuisant de moyen mais je m'attendais à une équipe plus chaleureuse et un échange entre professionnel Med et paramédicaux pour faire évoluer l'image qu'on se fait des urgences et medecins et moi à l'inverse du samu social Je suis septique sur l'intérêt de cette garde et sur notre participation Surtout qu'on vous envoie avec une équipe qui maraude dans un quartier où il y a peu de sans abri plutôt que de vous mettre avec une équipe qui maraude dans les quartiers touristiques bondés de sans abri, du coup on voit pas le fond du travail juste le haut de l'iceberg...
J'ai appris énormément sur le rôle du samu social au quotidien et sur les limites de son fonctionnement.
Le samu social est chargé d'une mission d'"urgence" qu'il remplit très bien à mon avis et qui est très utile; je trouve que le problème se situe dans la prise en charge en aval, notamment le manque de places en CHRS (foyer longue durée, apparemment le seul moyen de redevenir autonome, d'être abrité et d'espèrer une réinsertion, avec notamment un emploi).
Et merci à tous les gens qui s'investissent dans le samu social pour aider ceux qui en ont besoin!
Je suis allée à ma garde du samu social avec beaucoup de curiosité.
La garde a commencé par une double écoute au samu social.
J’ai très bien été acceuillie par la coordinatrice de jour qui m’a d’abord fait lire un document concernant l’organisation du 115 et des structures associées du samu social.
Je garde l'impression angoissante que revenir à une "vie normale" après avoir vécu dans la rue est presque utopique (ce qui est clairement confirmé par les équipes du samu quand on en discute avec elles
J'ai personnellement beaucoup apprécié cette nuit au samu social.
Expérience très intéressante, mais de ce que j'ai vécu, je pense que cette garde au samu social devrait avoir quelques modifications : - privilégier des horaires différents : une matinée ou une après midi car c'est à ses heures la que les personnes appellent pour la première fois ---> c'est ce contact qui est pour moi intéressant, ce sont leurs histoires; et les mots à employer
Tout d'abord j'ai trouvé que la double écoute au 115, était une bonne mise en condition pour la garde à suivre, qui permettait de se familiariser avec les modes de fonctionnement et les habitudes du samu social (de plus j'ai eu la chance d'être avec une écoutante qui prenait du temps pour m'expliquer plus en détail l'histoire de chaque appelant, et toutes les alternatives possibles à leur proposer à chaque fois).
Un point , néanmoins, me paraîtrait souhaitable: que de façon systématique on passe 15 mn en entretien avec le responsable du samu social avant de partir dans le camion, pour pouvoir exprimer nos éventuelles inquiétudes et être rassurés sur ce point.
Tout les sans-abris sont fichés dans le logiciel du samu social afin d'avoir une notion de leur historique.
Ce qui m'a frappée aussi c'est de voir que certains des gens à qui l'on portait assistance ne matchaient pas du tout le "profil type" que je me faisais des gens aidés par le samu social , rencontrés dans un contexte autre je n'aurai jamais imaginé qu'ils puissent être sans abris c'était assez déstabilisant.
Je pensais naïvement que les gens qui travaillent au samu social étaient bénévoles, il n'en est rien, ils sont salariés.
Le ressenti global de cette aventure est que toutes les équipes du samu social, font un travail magnifique pour ces gens sans hébergement.
De ma maigre expérience d'externe je remarquerai juste qu'une prise en charge par les structures sociale adaptées comme le samu social couterait moins cher à la société qu'une absence de prise en charge faute de moyen puisque celle ci sera faite dans un deuxième temps faute de mieux et de manière plus onéreuse , par les services des urgences hospitalières de l'aphp.
A mon arrivée au centre j'ai été très bien acceuilli par le coordinateur du centre d'appel qui m'a présenté à ses collègues et m'a fait lire un fascicule expliquant les différentes actions du samu social.
On croise ainsi des publics différents: les "grands cassés" désocialisés, de jeunes sans papiers ayant fui leur pays en guerre, des femmes abusées, les habitués souvent résignés dont le samu social est le seul lien social, presque familial, qui leur reste etc. […] J'ai notamment vu au cours de cette nuit: - un "1er samu": une jeune femme de 30 ans ivoirienne, jetée à la rue par le contact familial éloigné qui l'hébergeait à Paris. […] Cette frustration se manifeste différemment mais je crois qu'elle est bien la source de la fatigue des équipes (j'apprends durant la garde que le turn over au sein du samu social est très important et que les gens restent rarement plus de 6 mois), de la résignation souvent ou de la colère parfois des usagers.
Concernant les maraudes, j'ai été frappée par la dignité avec laquelle certaines personnes recevaient la venue du samu social à leur encontre.
Je suis d'ordinaire très motivée et enchantée par tous les ateliers de double écoute qui nous sont proposés au cours de nos études, mais le bilan de cette garde au samu social est très mitigé.
Je pense que cette garde au samu social est indispensable dans notre formation médicale j’en garde une expérience très enrichissante et inoubliable.
La petite chose, qui fonde l’action du samu social, c’est une tentative de retisser une attache sociale, d’amorcer une sortie de l’exclusion ou du moins de la contenir dans une certaine limite.
On dirait que l'existence du samu social est paradoxale.