C'est notre seul contact auprès de ce milieu, donc assez important et utile à mon avis. […] J'ai trouvé le contact avec les usagers un peu compliqué, certainement du fait de mon inexpérience.
J'ai choisi de raconter ma première rencontre avec un SDF lors de ma garde : il s'appelait Patrick et était dans la rue depuis 10 ans; j étais déjà passée devant son lieu de vie plusieurs fois : j'ai été surprise de la facilité avec laquelle l'équipe à pris contact avec lui et de la gentillesse de leur contact.
J'ai aimé le contact avec l'infirmiere (Lorène) très gentille, mais pas de contact avec l'AS ni avec le conducteur.
Nuit intéressante tant sur le contact avec les personnes nécessiteuses qu’avec la patrouille.
Apprendre à être au contact des plus démunis et des plus vulnérables, être dans des situations parfois difficiles nous fait non seulement réfléchir sur nos propres conditions de vie, mais nous donne aussi un peu plus d'expérience et de confiance pour faire face à ces personnes. En somme, j'ai beaucoup aimé vivre cette expérience, non seulement pour le contact humain mais également pour le fait de se sentir un peu plus utile, ne serait ce que pour quelques heures.
Le contact à été très difficile au début : menace, violence et agressivité. […] Cette situation reflète bien comment il peut être difficile d'initier le contact avec des gens qui on peur/se méfient, qui sont en perte de contact avec la société...
Les maraudes permettent d'avoir un contact plus sincère avec les démunis que le contact strictement médical qu'on aurait eu à l'hôpital, et permet aussi de se rendre compte qu'on peut aider concrètement les gens avec des gestes simples: simplement discuter, donner un repas chaud...
D'abord recueillie en région parisienne par une connaissance, elle est ensuite expulsée et se retrouve à la rue dans le froid depuis 4 jours, sans ressources, sans contact, sans savoir parler français. […] Le cas est marquant car la personne sans connaître le français est perdue, effondrée, se retrouve sans contact, sans savoir quoi faire. […] Il est intéressant de connaître le fonctionnement du samu social, de pouvoir observer en double-écoute comment gérer les demandes et le relationnel, ou de voir dans les camions en intervention ce qu'il s'y fait, de comprendre comment le travailleur social et l'infirmière travaillent, et de rentrer en contact avec ces personnes en pouvant leur apporter quelque chose (vêtements, couverture, nourriture, hébergement). […] J'ai beaucoup apprécié le contact avec les sans-abris.
J'avais l'habitude de participer à la soupe populaire donc j'avais déjà une petite expérience en ce qui concerne le contact avec des personnes sans domicile fixe. […] Cette nuit nous rappelle bien que la médecine ne s'arrête pas a la pathologie; c'est avant tout un métier social, de contact avec, la personne en premier plan.
Cette garde était une grande expérience pour la simple raison que nous sommes directement en contact avec des personnes en isolement social et défavorisées hors le contexte de soins que nous avons à l'hôpital. Même si nous avons peu été en contact avec eux, le moindre échange avec eux était particulièrement riche que ce soit pour apprendre leur mode de vie ou pour avoir leur avis sur leur condition et le monde qui les entoure.
Un contact différent, une prise de conscience.
Très bon contact avec toutes les personnes rencontrées en maraude.
On apprend beaucoup de leur contact, leur manière de s'exprimer aux gens dans la rue, ce qui aide pour le contact qu'on doit avoir ensuite à l'hôpital avec les patients.
J'ai été surprise par la facilité de contact des SDF avec le Samu. […] On sent qu'ils n'essayent pas de tout faire en un soir, mais que c'est plutôt une prise de contact pour tenter d'établir un suivi sur du long terme.
Une très belle organisation permettant aux sans abris un contact humain nécessaire.
J'ai découvert un contact remarquablement ouvert et bienveillant avec toutes les personnes quel que soit leur origine, leur comportement, leur histoire de vie, leur nature psychologique ou psychiatrique ou même leur état d'ébriété. […] Et je ne pense pas que ce soit normal d'avoir été surprise par ce contact que les maraudes avaient avec les personnes que l'on rencontrait.
La première partie (la double écoute) était intéressante pour voir comment les opérateurs arrivent à entrer en contact avec les gens qui appellent et tente de trouver avec eux des solutions, certaines personnes n'appelant pas pour trouver de logement pour la nuit mais demandant des renseignements pour entreprendre différentes démarches. La maraude m'a permis d'entrer en contact avec des sdf, de parler avec eux, cependant j'ai trouvé que nous faisions en fait pas mal le taxi: le nouveau centre la boulangerie nous demandant de leur ammener pas mal personne qui n'était pas du tout aux mêmes endroits de paris et pas sur notre lieu de maraude ce qui n'était pas du tout intéressant car il s'agissait uniquement de les transporter.
Aller au contact des gen dans le besoin, essayer de leur apporter un peu de réconfort.
Cela fut très enrichissant sur le plan humain d'aller au contact des personnes sans domicile fixe.
Plutôt bon contact avec les gens que nous avons rencontré.
Pour une nuit j'ai été en contact avec les gens que je croises, les gens oubliés.
Le contact avec tout ces gens de la rue fut une expérience humaine très enrichissante, un grand moment de partage.
C'est pour cela que j'ai préféré la double-écoute où on essaye de trouver des solutions à plus long terme, en prenant contact avec des assistantes sociales, en aidant les personnes dans leurs démarches administratives et où il y a un réel suivi des gens. L'équipe de maraude était vraiment sympathique, j'ai eu un très contact avec eux mais aussi avec les personnes que nous avons rencontrés : j'avais peur de ne pas trouver ma place et au final, j'ai adoré disctuer avec eux, les écouter, connaitre leur histoire...
Il est après difficile d'exprimer entièrement mon ressenti et mes réflexions dans un paragraphe mais je si devais tenter de résumer quelques points lors de cette nuit au SAMU Social, je retiendrais tout d'abord -et bien que cela paraisse évident- l'importance d'un contact d'égal à égal avec les personnes défavorisées, contact empathique dénué de pitié et de condescendance (assez similaire à la relation médecin-patient). Ce contact qu'il soit téléphonique ou dans la rue passe par un dialogue mettant en relation la personne marginalisée avec la société.
J'ai bien aimé aller à la rencontre des gens et regarder comment les travailleurs sociaux réussissaient à lier un contact facilement avec les différentes personnes.
J'ai passé une soirée et une nuit très enrichissantes, au contact d'un personnel du Samu social motivé, agréable, m'ayant fait partager leur travail.
L'ambiance dans l'équipe était bonne et le contact avec les sdf également.
Elle m'a permis d'entrer en contact et d'échanger avec les personnes qui sont à la rue, occasion qui ne m'est pas donnée habituellement.
La maraude est un moment privilégié de contact avec les personnes sans-abri, m'ayant permis de mieux comprendre comment les aborder et les aider.
D'un point de vue humain, le contact avec des personnes d'un milieu précaire à été une révélation. Lors d'une intervention du SAMU social, toutes les barrières sociales tombent, et seul subsiste le contact d'humain à humain.
Cette nuit de maraude m'a permis de reprendre contact avec la réalité de la pauvreté dans la rue. […] C'est un contact simple et humain, et ça m'a rappelé que ces personnes dans les rues sont comme moi, mais en grande souffrance, physique et psychique. […] Le rôle de la maraude, c'est d'aller au contact de ces personnes dans la rue, surtout pour celles avec lesquelles la communication est difficile, ou pour les personnes qui ne peuvent se déplacer.
D'abord le contact avec les travailleurs sociaux de terrain, ensuite pour la découverte via des professionnels expérimentés du milieu de la rue, et enfin des filières d'hébergement d'urgence même si elles sont peu nombreuses.
Nuit intéressante, permettant d'entrer en contact avec des situations difficiles qu'on n'a pas forcément l'occasion de croiser en pratique à l'hôpital.
Le contact avec les sans-abris a été très enrichissant en offrant une autre vision que celle de l'hôpital ou du badin dans Paris.
J’ai beaucoup aimé cette garde car on était en contact avec les SDF qui étaient très habitué au SAMU social.
Le contact avec les personnes dans le besoin était super enrichissant.
Équipe sympathique et à l'ecoute, mais c'est un peu de trop après 3 mois de stage aux urgences, ou nous avons déjà largement été en contact avec des sdf.
J’ai trouvé ça très intéressant de rentrer en contact avec des gens qu’on croise au quotidien mais qu’on « fui » plus ou moins, malaise sociétal je vous dirai.
J’ai trouvé ça très intéressant de rentrer en contact avec des gens qu’on croise au quotidien mais qu’on « fui » plus ou moins, malaise sociétal je vous dirai.
On se rend compte de la grande diversité des personnes qui contactent le SAMU Social, de même que celles rencontrées dans la rue: ce qui m'a frappé, c'est que certaines de ces dernières personnes ont un salaire certes précaire mais stable et gardent un contact social important (contacts réguliers avec des habitants), mais ces personnes font partie malheureusement d'une grande minorité qui souhaite s'en sortir.
Une prise de contact en douceur, en début de garde avec la double écoute. […] Un premier contact pas tout à fait évident avec la première passagère, peur de tomber dans la banalité de mes propos… Finalement, après une première conversation échangée, je me détends.
Je trouve que cette expérience est enrichissante sur le plan humain, car elle nous permet d'avoir un vrai contact avec les personnes défavorisées vivant dans la rue. Le travail du personnel du SamuSocial est exemplaire, car ils sont dévoués pour les aider le plus possible, ne serait-ce qu'en maintenant le contact avec eux et en essayant de cerner leurs besoins.
Elle nous sensibilise à la difficulté de la vie des SDF pour trouver un endroit où dormir, se nourrir J'ai aimé être en leur contact pour leur tenir compagnie et leur apporter un peu de soutien Je pense que c'est tres bénéfique pour savoir comment les recevoir par exemple quand ils viennent aux urgences et pour ne pas avoir un jugement négatif au premier abord
Sur le plan personnel, le contact avec une calsse particulière de notre société, m'a a appris beaucoup de leçon.
Expérience très enrichissante et très formatrice, permet un nouveau regard sur les personnes précaires, même si au cours de notre formation médicale nous avons l'occasion d'être en contact de ces personnes.
L'entrée en contact avec les sans abris par les travailleurs sociaux avec tact et delicatesse m'a impressionnée.
Ce qui m'a le plus plu, c'est la joie et le reconnaissance de la part des usagers lorsque les maraudeurs leur apportaient un peu de contact humain, une écoute, et un bol de soupe.
Il suffisait presque d’avoir enfiler le manteau gravé samu social pour sentir le contact naître facilement avec les sans abri et discuter simplement du quotidien, des besoins momentanés ou de réelles nécessités.
Le contact avec les SDF était plutôt bon, ceux ci nous attendant en général.
L'équipe est à l'écoute, attentive, et crée un contact avec une population marginalisée et précaire.
Des contacts pris, des repas donnés, des logements trouvés pour certains, mais surtout un réel sentiment d'impuissance.
J'étais assez intimidé au début, je n'osais pas trop poser de questions ni trop rentrer en contact avec les aidés, de ce point de vue, ça s'est amélioré au fil des heures mais ça restait dur.
J'admire beaucoup les gens qui travaillaient là-bas: ils étaient d'une gentillesse et d'une simplicité exceptionnelle, ce qui permet de rapidement briser la glace lors du premier contact avec les personnes que l'on rencontrait.
L'équipe était motivée, le contact bon avec les personnes en difficulté, ce fut très agréable de les suivre.
Très bon contact avec l'équipe de maraude qui m'a ramené devant chez moi!
A l'issue de cette nuit je ne verrai plus les SDF de la même façon et irait plus facilement à leur contact.
Le contact humain est aussi très enrichissant et permet de s'ôter des possibles préjugés sur les SDF.
Elle m'a permis de voir les conditions dans lesquelles vivent les SDF ainsi que d'avoir de vrais contacts avec eux, lors de la maraude, ou bien en les emmenant dans des centres d'hébergement.
J'ai apprécié cette garde, le contact avec les sdf que l'on croise tous les jours sans leur adresser la parole par peur de leur réaction, la solidarité de tous...
La nuit au samu social a été très enrichissante tant sur le plan du contact avec les personnes en difficulté que sur la solidarité au sein de l'équipe du samu.
Nous avons rencontré plusieurs SDF, tous avec un très bon contact.
Ensuite, le contact avec les SDF était très enrichissant.
J’ai beaucoup apprécié la partie « maraude » de cette garde, car cela m’a permis d’avoir un premier contact avec des personnes en situation de précarité.
La problématique des usagers est loin d'être résolue, et pourtant ils continuent tous les jours de se battre pour chaque SDF à qui ils permettront de passer la nuit au chaud, ou d'avoir une soupe, ou même rien qu'un peu de contact humain.
La maraude s'est bien passée, et le contact était globalement bon et agréable.
On voit les conditions de vie des gens les plus défavorisés et on peut apprendre (brièvement) à nouer contact avec ces personnes et cela peut nous aider à avoir une approche différente avec ces personnes que l'on pourrait rencontrer plus tard aux urgences par exemple.
J'ai eu un très bon contact avec l'équipe qui m'a encadré.
Peut etre cela m'aidera à améliorer mon contact ac les patients sdf vivant ds la rue...
J'ai trouvé cette expérience très enrichissante, d'aller au contact des personnes en difficultés et de leur venir en aide et cela de la façon la plus naturelle possible.
Le travailleur social m'a impressionné par sa capacité à communiquer avec les gens aidés, il en connaissait beaucoup ce qui rend le contact plus proche.
J'ai été au contact de gens que je ne cotois d'habitude jamais, et ça a été très enrichissant pour moi de voir à quel point ces personnes sont demandeuses d'aide, et vous sont reconnaissantes quand vous faites un petit quelque chose pour eux.
Cela nous fait découvrir une autre facette de notre métier et nous montre à quel point le contact social est important dans des situations délicates.
L'ambiance dans l'équipe était génial et le contact avec les personnes dans le besoin passait très bien.
La double écoute, fut mon premier contact avec l'univers du Samu social, je m'y suis installé dès mon arrivé, et écouter les gens desepérés de trouver un toit au bout de 50 nuits dans le métro ou la rue était assez dur, surtout lorsque nous n'étions pas en mesure de leur trouver un abri pour la nuit ou lorsque la solution que l'on trouvait n'était pas satisfaisante pour eux. […] Une expérience très enrichissante, la maraude était également très interessante car nous avions des cadeaux de noel qui ravissait les gens et le contact avec eux était à chaque fois des plus amicale, dans le respect mutuel.
L'équipe m'a permis d'aller facilement au contact des personnes que nous visitions; j'ai pu leur parler, les écouter, leur donner une collation; j'ai aussi participé à la toilette de deux personnes qui m'ont étonnés par leur hygiène largement délabrée mais j'étais content de les voir propres après, cela leur redonnais de l'humanité qu'il perdent malgré eux en se laissant aller à cause de leurs conditions de vie difficiles. Cette maraude était un contact différent avec les sans abris que celui que nous pouvons avoir lors de nos gardes dans les différents services d'urgences.
Ce qui m'a le plus marqué est la facilité avec laquelle le contact s'est créé avec les personnes qui étaient dans le besoin.
Le meilleur moment était la maraude, le contact spontané parfois rejeté, parfois bienvenu.
Expérience vraiment enrichissante qui nous permet d'entrer en contact avec ces personnes défavorisées que l'ont croise chaque jour sans forcement leur prêter attention.
Je pense que par cette experience le contact avec les personnes en difficulte sera plus facile dans notre futur metier de medecin.
J'ai beaucoup apprécié cette garde bien que l'appréhendant un peu ; l'accueil était très chaleureux et l'enseignement que l'on reçoit d'un point de vue personnel aux contact du monde de la rue est très enrichissant pour la pratique et l'approche des personnes en général.
Aussi, cela a permis d'avoir un contact avec des gens que l'ont ignorent dans la vie de tous les jours.
L'intérêt de cette garde est d'aller à la rencontre des personnes en situation de grande exclusion, parfois des familles, de leur proposer des accueils dans des centres d'hébergement d'urgence, de leur donner des soins d'hygiène, mais surtout de renouer le contact avec eux.
Il s'agit d' une expérience très intéressante car elle nous permet de rentrer en contact direct avec des personnes marginalisée que les gens font semblant de ne pas voir.
J ai vraiment aimé la partie dans le camion, car c'est là qu'on va au contact des gens, parfois juste pour parler et leur demander comment ca va; on voit comment certains vivent regroupés entre eux et ne veulent pas se séparer, etd'autres acceptent d'être emmenés dans des centres d'hebergement pour la nuit.(j ai d'ailleurs pu visité le centre de montrouge) Au début je ne savais pas trop quoi leur dire, mais finalement le contact a pu s'établir et j ai aimé parler avec eux dans un autre contexte qu'aux urgences externe/patient sdf (par exemple, parler de johnny hallyday à l'arriere de la camionnette!)
Elle a été, pour moi, l'occasion d'un premier contact avec une population que je n'avais jusqu'ici jamais rencontrée au cours de mes stages.
Ce que je veux dire, c'est que nous avons tendance à catégoriser les personnes démunies, à les ignorer et les prendre pour des bêtes sauvages, mais leur parler et être en contact avec eux permet justement de pouvoir se dire qu'ils sont comme nous.
J'appréhendais le contact avec les SDF et, mais qui a été rendu très facile par l'équipe qui est très bienveillante.
La maraude est particulièrement intéressante de part la diversité des rencontres : alors que certains sont très demandeur de l'aide proposée, d'autres sont réticents mais finissent par accepter, d'autres encore refusent malheureusement tout contact...
Le contact avec certaines était plus difficile qu'avec d'autres.
Le mauvais coté de la garde reste de loin le trajet a faire de Paris et évidemment, quoique triste soit-il, avoir contact avec des gens incuris.
Enfin, ça m'a permis d'avoir pour la première fois un contact direct avec les sans-abris, de discuter avec eux, voir dans quelles conditions ils vivent, et me rendre compte par les faits de la prise en charge sociale qu'on offre aux démunis (et qui est soit disant je pense très mauvaise) en ile de france.
En effet aller au contact des gens défavorisés sous le couvert de l'association nous permet de mieux comprendre ces personnes lorsque l'on retrouve en consultation en urgence et de les rencontrer sous un autre angle.
Par ailleurs, les maraudes nous ont permis d’aller au contact des gens, de discuter avec eux, de comprendre leur situation.
D'autant plus que nous n'étions au final en contact avec les SDFs que très peu de temps (80% du temps dans le camion à juste faire des navettes).
Que ce soit de leurs fautes ou non, elles se retrouvent dans le besoin pour des éléments de la vie quotidienne qui nous paraissent basiques (un lit, une couverture, un contact).
.), le contact avec eux permet de se rendre compte d'une certaine réalité et de la difficulté à loger les personnes sans domicile fixe. […] Le contact avec cette patientèle aux Urgences est forcément appréhendé sous un angle différent après une maraude.
Les raisons en sont multiples : - deux sont subjectives mais ont un poids conséquent dans le ressenti global, et sont toutes les deux liées à l'attitude de l'IDE qui était la leader du groupe : > dès le début de la maraude, accueil très distant > par la suite au fur et à mesure des évènements, aucune explication, aucune tentative d'établir un contact avec l'étudiant ; à plusieurs reprises je me suis retrouvée seule dans un centre car elle n'avait pris la peine ni de m'attendre ni de m'expliquer ce qu'elle allait faire […] - plus objectivement le rôle d'observateur est complètement dépassé pour des personnes qui sont externes depuis 2 ans déjà : > d'une part parce qu'observer sans pouvoir mettre en pratique est rarement productif surtout au cours d'une expérience si fugace (sur ce point il aurait donc été plus intéressant de laisser l'externe établir le contact avec des usagers connus réputés n'étant pas des cas délicats) ; > d'autre part compte tenu que nous interagissons depuis 2 ans avec des patients dans le cadre des stages, nous avons déjà côtoyé des patients en situations précaires ou d'abord délicat. […] - laisser l'externe initier le contact avec un usager connu du service pour mettre en pratique ce qu'il a retenu de l'observation et pouvoir bénéficier des conseils personnalisés des professionnels présents - l'expérience pouvant être intéressante sur le plan strictement intellectuel, mais il faut l'admettre, très peu pour le cursus, cet atelier devrait être facultatif - enfin, un point logistique mais d'une importante non moindre : la maraude ne ramène l'externe qu'après le dîner qui dure une heure et demi...
L'équipe est très professionnelle et arrive à avoir un bon contact avec les gens.
Nous n'avons pas de contact avec un médecin contrairement à la médecine scolaire ou à sos médecin par exemple.
Qui plus est, même si j'en comprends tout à fait le principe, le fait de ne pas porter de gants quand on rentre en contact physique avec les SDF n'est vraiment pas hygiénique.
Par contre, j'ai bien aimé la maraude et le contact avec les sans-abris, cette garde permet justement de passer outre les préjugés que l'on peut avoir à leur égard.
ça permet de voir comment ils fonctionnent et d'avoir des contacts avec les gens de la rue en dehors de l'hôpital et au plus proche de leurs soucis.
L'ambiance est très chaleureuse et les salariés sont ravis de nous accueillir et de nous apprendre de leur quotidien, le contact verbal avec les personnes dans le besoin prend une tout autre tournure avec la veste bleue et nous permet de véritablement échanger.
Cette nuit m'a aussi appris à savoir aborder et discuter avec les personnes en grande difficulté sociale refusant souvent le contact humain.
La seule touche négative aura été l'intégration progressive au sein de l'équipe, qui était malgré tout très chaleureuse une fois le premier contact établi !
Mais c'est une expérience intéressante, qui permet "d'humaniser" les personnes SDFs même si le contact avec les gens est assez rapide et superficiel en une nuit, ce n'est pas une nuit au chaud qui sort ces gens de la rue, et c'est difficile de se rendre compte le suivi qu'ils ont par la suite, avec les assistantes sociales etc.
J'ai donc été particulièrement surpris en découvrant que l'aide alimentaire était uniquement une manière de créer un premier contact avec ces personnes pour, par la suite, les accompagner vers une réinsertion dans la société.
J'ai pu voir que les maraudes n'étaient pas là seulement pour trouver des places d'hôtel mais aussi pour créer un contact amical et réconfortant pour ceux qui le veulent.
Lors de la maraude, j'ai beaucoup aimé le contact avec les SDF.
Cela m'a permis de réaliser l'ampleur du manque de moyen des services d'aide sociale (plus de places d'accueil disponibles dès 19h30) et d'aller au contact de personnes habituellement invisibilisées par la société.
Une expérience loin des préjugés, avec un contact très différent avec les SDF qui celui des urgences, ou les travailleurs sociaux et les infirmières peuvent prendre le temps d'écouter et de comprendre.
J'ai trouvé cette expérience assez enrichissante, dans le sens où cette premier contact avec cette réalité sociale m'a permis de mieux comprendre la situation précarité dans laquelle se trouvent les "usagers", des difficultés qu'ils ont à s'en sortir.
Les maraudes sont également très enrichissantes car le contact avec le public est concret et j'ai pu visiter le centre Romain Rolland dans le 14ème.
Je sais que le but était d'essayer d'établir un contact et un lien social pour eux mais cette garde m'a permis de retrouver une part de mon humanité.
Les maraudes permettent d'être intégré d'abord à une équipe et d'aller au contact de ceux qui sont souvent vus sans être regardés, de discuter avec eux, d'apporter ce qu'il est possible d'apporter et de prendre la mesure de la détresse subie par les uns mais parfois aussi provoquée par les autres.
Un contact avec les plus démunis, différent de celui que nous pouvons avoir avec certains patients hospitalisés, de par la nature de la relation entre les membres du Samu social et les personnes dans le besoin.
Certains n'ont pas de contact social : le passage du samu permet de leur apporter un contact humain qui, bien que minime, les soulage parfois.
Les équipes ont un très bon contact avec les gens, sont très professionnels.
Les maraudes permettent de prendre contact avec des personnes que l'on ignore bien trop souvent et qui pourtant mérite que l'on prennent un peu de notre temps afin de nouer un contact aussi petit soi-t'il.
C'est intéressant mais pas non plus indispensable quand on est en stage dans un service d'urgences ou on est systematiquement en contact avec des Sdf.
Cette garde est très formatrice pour notre futur professionnel, savoir gérer le contact avec différentes personnes.
Les équipes du Samu social sont formidables, on apprend beaucoup à leur contact.
La maraude quand à elle nous atteignait encore plus directement par le contact avec des gens qu'on croise tous les jours et que finalement on pourrait contribuer à soulager un petit peu en leur parlant simplement.
J'avais bien en tête les camions qui sillonnent les rues de paris la nuit pour proposer une place la nuit, une couverture , un café ou tout simplement venir au contact des gens pour leur parler un peu, en revanche j'ai découvert l'existence des centres de jours avec toute l'assistance médicale, juridique, sociale qu'ils offrent. […] L'un d'entre eux par exemple était en train de jouer aux cartes avec un habitué à la terrasse d'un café, un autre nous parlait de son ex, de comme c'était bien qu'ils s'entendent bien car c'était pas évident pour les couples séparés de garder de bon contacts, puis nous parlait de ses enfants... […] je n'arrive pas à comprendre comment ces gens qui m'apparaissaient tout à fait sympathiques, responsables, avec de la famille pouvaient se retrouver à devoir dormir dehors ( très loins des alcooliques chroniques ou des sans papiers ne parlant pas français qui constituaient le tableau fictif que je me faisais des personnes sans domicile fixe) Enfin l'attitude des équipes , leur bienveillance, leur simplicité et la facilité avec laquelle ils vont vers ces gens m'a vraiment impressionnée, je sais que pour moi le contact était beaucoup plus difficile je ne me sentais pas à l'aise et ne savais pas trop ou me placer, que dire à ces hommes et ces femmes qui ont un mode de vie si éloigné du mien, pour qui la réalité n'est pas la même.
Certaines demandaient ouvertement de l'aide à l'équipe alors que d'autres refusaient tout contact avec nous.
Et la maraude après le double appel permet en plus d'aller au contact des personnes dans le besoin et d'apporter une aide concrète.
Les maraudes en camion étaient très enrichissantes également, par le fait qu'on allait au contact d'individus sans abris auxquelles malheureusement on ne fait que rarement attention en dehors de cette nuit de garde.
Au départ, j'appréhendais beaucoup la maraude ou plutôt le contact avec "les gens de la rue" mais mon équipe, très sympathique a réussi à me mettre à l'aise et a su me rassurer pour faciliter mon approche envers eux.
J'ai beaucoup aimé le contact avec les sans abris, pouvoir discuter réellement avec eux et réaliser leurs difficultés quotidiennes.
Ce qui m'a plu dans les maraudes c'est le contact avec les SDF, le fait qu'on les vouvoie, que bien qu'ils ne soit pas dans une situation évidente les acteurs du samu social essayent de les réintégrer dans la société en leur parlant, leur posant des questions sur leur situation sociale, leur offrant une boisson chaude.
C'était une expérience très enrichissante, qui m'a permis de constater que le SAMU social n'est pas qu'un réseau de distribution, mais qu'il offre aussi une écoute et un contact humain avec les gens sans domicile fixe.
J'ai trouvé ça utile, sachant qu'on est en contact avec des SDF dans notre cursus a l'hôpital.
Etre sur le terrain avec Claudine et Adriane très humains pour un 1er contact avec les SDF était parfait.
C est important d aller au contact des plus faibles dans notre profession de médecin...
Il s'est finalement retrouvé à la rue sans contact avec la famille qui lui reste comme sa fille.
Aller au contact des personnes dans le besoin, les écouter, les aider lorsque le monde leur a tourné le dos est une vocation non seulement sociale, citoyenne mais surtout humaine.
Présentation à l'équipe mobile d'aide (EMA), contact agréable, merci. […] Premier contact en tant que "membre" du samu social, et disparaissent au même instant tous mes préjugés afin de mieux profiter de cette expérience.
L'aide consiste à distribuer parfois de la soupe, du café, un duvet, des chaussettes, etc mais surtout d'établir le contact humain avec les membres du Samu social. […] Un contact humain très important et touchant avec ces personnes que l'on voit tous les jours mais que l'on ignore bien trop souvent.
Contre toute attente, le contact avec les sans-abris était plutôt aisé, avec souvent beaucoup d'humour quand pourtant la situation nous semble désastreuse.
Cependant je trouve pas que les étudiants en médecine sont des cibles prioritaires pour ce genre d'expérience. 1 : L'aspect médical est complètement inexistant 2 : Le contact avec la misère social est déjà fréquent en milieu hospitalier 3 : Je n'imagine pas en quoi passer cette nuit somme toute assez inconfortable, en observation pure, sans repos de garde imposé ni dédomagement, obligatoire le 24, 25, 26, 31 décembre et 1ier janvier, apporte quoi que ce soit à une formation médicale quelle qu'elle soit.
Après, la réunion avec les équipes des différents camions ou est signaler les Sdf qu'il faut chercher plus particulièrement, un de ces Sdf signalé je l'avais d'ailleurs déjà vu mais dans le cadre hospitalier et enfin la maraude très intéressante dans le contact avec les Sdf avec lesquels on a pas forcément le temps ou l'envie de parler a l'hôpital.
La garde au Samu Social était synonyme d'inconnu pour moi et j'étais assez angoissé à l'idée d'être en contact direct avec des personnes vivant dans la rue.
Cette expérience restera dans ma mémoire, puisque vraiment emotionellement et humainement retourné, à mon sens très important de la faire, pour avoir un autre regard, et une autre forme de contact avec les SDF (autre que les gardes aux urgences) Un mot pour l'EMA avec qui j'ai maraudé, juste parfaite, et très marrante et peut être à bientôt
Premièrement, on rencontre et on prend en chage des SDF dans n'importe quelle garde des urgences, c'est loin d'être un premier contact pour moi.
Après ce contact, on relativise un peu nos propres souci, et on réalise qu'on en a pas vraiment: on a un toit où dormir au chaud pour la nuit, de quoi manger à notre faim, et de quoi se laver...
C' était une nuit très enrichissante Au début j'appréhendais le contact avec les personnes sans-abris car je trouve que c'est particulièrement difficile d'être empathique dans une situation où l'on a jamais pu ressentir ce qu'ils ont vécu Finalement en observant les équipes on trouve un rapport neutre et bienveillant, et beaucoup d'humanité à leur côté La situation des femmes sans abris m'a marquée, car elles sont les plus fragiles mais refusent pour la grande majorité l' aide qui leur est proposé Également un moment marquant, lorsqu'un sdf se trouvant devant le centre demande à être hébergé, on ne peut pas accepter car sinon tous les sdf viendraient directement devant le centre et cela deviendrait ingérable Mais la situation était difficile à appréhender psychologiquement
On est pas seulement là pour prescrire des médicaments, parfois la santé passe par le contact et le soutien moral, cette garde nous donne la chance de nous exercer.
La garde du SAMU et la double est enrichissante : le contact avec des personnes Sans Domicile Fixe permet de sortir des stéréotypes que nous avons sur ces personnes.
J’ai trouvé ces trajets un peu ennuyant car nous avons peu de contact avec les gens dans la rue et cela me parait peu optimal.
Ces métiers sociaux au contact de ces personnes sont éprouvants et je ne désire pas, aujourd'hui, travailler dans cette branche mais ils sont pourtant nécessaires et apportent un peu de chaleur humaine à ces pauvres gens qui ne demandent pas grand chose mais qui sont heureux que quelques personnes s'intéressent à eux en leur apportant un peu de réconfort.
Nous n'avons fait que du "taxi" pendant la maraude (pas de réelle prise en charge d'un sans abri) mais c'était tout de meme intéressant que ce soit niveau contact : les gens étaient quasi-tous contents de nous voir pouvoir boire un café chaud et surtout parler je pense.
Lors des maraudes, c'était géniale de pouvoir interagir avec ces gens qu'on ignore généralement dans la rue et de se rendre compte que même un contact bref pouvait les aider à se sentir mieux.
Les contacts que j'avais eu auparavant avec des personnes en situation très précaire étaient aux urgences.
C'est vraiment une satisfaction quand on va au contact des personnes pour les aider et qu'on arrive à leur trouver une place pour la nuit, même si cela n'est que temporaire...
J'ai particulièrement apprécié la maraude: le contact avec les gens dans la rue était facile, ils étaient très curieux de voir arriver "une nouvelle".
S'il est vrai que cette expérience présente un intérêt certain pour la compréhension d'une situation que nous oublions ou refusons de voir chaque jour autour de nous, la rendre obligatoire ne fait qu'augmenter le ressenti négatif qu'il est possible d'avoir par rapport à ce contact humain - qui n'est dans ce contexte que forcé.
Cela m’a aussi permis de comprendre la manière d’entrer en contact avec les personnes en tant que travailleur social. Je voudrais ajouter le fait que les travailleurs sociaux ont une place majeure dans notre société actuelle, je trouve que c’est difficile car parfois le contact n’est pas toujours simple, mais ils savent montrer du respect à une personne.
Cette petite mission au SAMU Social est l'occasion d'un premier contact avec les équipes de travailleurs sociaux pour la majorité d'entre nous et est une belle occasion de découvrir ce travail.
Bien sûr, certaines personnes ont le contact plus difficile que d'autres, mais dans l'ensemble nous sommes tombés sur des gens très intéressants, gentils et reconnaissants du travail du SAMU social.
Me retrouver en contact direct avec eux durant la maraude ne m’enchantait donc pas trop.
C'est très enrichissant de pouvoir établir un contact avec ces personnes dans le besoin que l'on croise, au final, un peu tous les jours.
Ce fut une expérience interessante car je n'avais jamais eu de contact avec les personnes sans abris.
Surtout le contact avec les gens qui sont la plupart du temps reconnaissants du peu que le samu social peut leur apporter.
Pour résumé ça m'a rappeler la nécessité du contact et son aspect social, pas seulement professionnel patient-soignant, mais simplement avant tout humain à humain, englobé dans ces complexités (psy, urgence prioritaire de la santé, défense/réserve ...).
Le contact avec l'indigence offre un regard neuf et une vision différente d'existences variées et inégales, nourrissant l'imaginaire mais finalement méconnues.
Cela a été une expérience enrichissante, tant le contact avec ces personnes à qui l'ont donne un peu de réconfort, une soupe, un sourire...
Il semble que leur acharnement finisse souvent par fonctionner, au prix souvent de semaines à nouer petit à petit le contact avec des personnes parfois totalement coupées du monde.
un contact humain intéressant avec les gens qui travaillent régulièrement la bas,qui m'ont acceuilli très gentillement et ou l'esprit d'équipe est indispensable puis avec les SDF qui montrent un réel désir d'échange meme s'ils n'acceptent pas toujours les soins et les aides qu'ont leur proposent.
La maraude m'a plue car j'ai trouve constructif d'observer la maniere de rentrer en contact avec les personnes en besoin et de leur proposer de l'aide ainsi que d'ecouter leur histoire.
Dans l'ensemble le contact avec les SDF a été excellent, c'est très déroutant de se rendre compte du nombre d'entre eux qui n'ont pas du tout "l'air d'en être".