Ce qui m'a surement le plus marqué c'est la détresse et le désarroi des personnes qui appelaient le 115, notamment celui qui m'a le plus touché est un jeune adolescent qui a appelé qui venait d'arriver seul sur paris, sans logement ni connaissance, et qui semblait désorienté.
Là j'ai été surprise d'apprendre que les mairies de paris enlevaient de plus en plus les cabines téléphoniques alors qu'elles sont souvent le seul moyen pour eux de joindre le 115.
Je ne me suis pas rendu à ma garde de samu social très motivé ( je ne comprenais pas quel était l’intérêt pour moi, externe, d'effectuer une nuit entière à arpenter les rues de paris à la recherche de sans-papiers qui n'avaient pas forcement sollicité une aide extérieure).
seule. 20h, le briefing commence, l'équipe semble connaitre un bon nombre de SDF de paris , c'est par leur prénom qu'ils parlent d'eux et abordent les derniers problèmes rnecontrés 20h30- départ pour la maraude-chargement des camions, direction le 18 et 19 ème arrondissement de Paris.
Pour finir, je dirais que cette nuit au samu social de paris fut très enrichissante humainement parlant, et je tiens à féliciter toute l'équipe pour son engagement et sa mobilisation.
Pour finir, je dirais que cette nuit au samu social de paris fut très enrichissante humainement parlant, et je tiens à féliciter toute l'équipe pour son engagement et sa mobilisation.
En tant qu’observateur j’ai pu découvrir l’utilité du SAMU social de paris que je ne connaissais qu’au travers des campagnes de prévention du 115 lors des plans grands froids.
Pour finir, je dirais que cette nuit au samu social de paris fut très enrichissante humainement parlant, et je tiens à féliciter toute l'équipe pour son engagement et sa mobilisation.
Pour finir, je dirais que cette nuit au samu social de paris fut très enrichissante humainement parlant, et je tiens à féliciter toute l'équipe pour son engagement et sa mobilisation.
Pour finir, je dirais que cette nuit au samu social de paris fut très enrichissante humainement parlant, et je tiens à féliciter toute l'équipe pour son engagement et sa mobilisation.
Je me suis rendue compte du nombre de personnes vivant sans domicile à paris (bien plus important que ce que je pensais) et de leur conditions.
- double écoute sur les appels des familles +++ Je tiens quand même à signaler, que c'est inadmissible de ne pas raccompagner les étudiants qui n'habitent pas dans paris et de les laisser dans Ivry à 5h du matin sans transport dans une zone déserte !
J'avais bien en tête les camions qui sillonnent les rues de paris la nuit pour proposer une place la nuit, une couverture , un café ou tout simplement venir au contact des gens pour leur parler un peu, en revanche j'ai découvert l'existence des centres de jours avec toute l'assistance médicale, juridique, sociale qu'ils offrent.
J'ai compris par exemple que les gens ne meurent pas de faim à paris, car il existe de nombreux moyens d'obtenir de la nourriture gratuite (restos du coeur) ou bon marché, mais plutot de froid ou de problèmes d'ordre médicaux.
Concernant ma garde au SAMU SOCIAL de paris le 1er septembre 2017, j'ai tout d'abord pu écouter une travailleuse sociale de 18h à 20h qui orientait des sans abris en quête d'hébergement, les places d'hébergement étaient très limitées et fournies après 19h15 en fonction du nombre de nuit dehors, de l'existence ou non de pathologies chroniques chez le sans abris, et l'existence de danger immédiat pour la personne ou non.
Avec un sentiment d'amertume et de travail inachevé nous retournons au camion pour la pause, il faut retraverser paris.
Il n'a pas de carte de transport et doit traverser paris demain de part en part (plus de 17km!)