Ce qui est frappant c'est la différence que l'on peut noter dans la psychologie des personnes rien qu'au telephone, entre ceux qui demandent un coup de pouce, l'hébergement, pour continuer leurs démarches et s'en sortir, et ceux où l'on peut entendre leur lassitude et qui sont dans le système et ses habitudes depuis des années sans réelle conviction de s'en sortir.
Pour finir, je voulais dire que le Samu Social, doit continuer ses missions, pour permettre à ces gens de vivre dans de meilleures conditions et de créer du lien social entre eux.
La plupart des personnes rencontrées refusent une nuit dans un centre, après une brève discussion, on leur propose une petite collation et une couverture pour la nuit puis on continue de marauder.
Garde à continuer absolument.
Pour terminer, j'espère que le partenariat avec le SAMU social continuera encore longtemps pour les autres étudiants, parce que c'est une expérience différente du quotidien qui vaut la peine d'être vécue !
Enfin dans un deuxième temps je garderai à l'esprit l'importance de considérer ces personnes marginalisées du "monde de la rue" pour leur passé parfois très lourd et leur courage de continuer à essayer de s'en sortir et de se reconstruire.
Enfin dans un deuxième temps je garderai à l'esprit l'importance de considérer ces personnes marginalisées du "monde de la rue" pour leur passé parfois très lourd et leur courage de continuer à essayer de s'en sortir et de se reconstruire.
C'est une expérience à continuer et à renouveler!
Après l'avoir rassurée et lui avoir expliqué que non, ses jambes n'étaient pas cassées, nous avons continué à l'écouter.
Je trouvais qu'il avait beaucoup de courage, d'essayer de vivre dignement et de continuer ses études malgré son statut de sans papier lui interdisant de prendre un emploi afin de s'intégrer véritablement dans notre société.
Il venait de se fait virer du squat où il logeait et souhaitait trouver un logement pour continuer de s"entretenir" afin de finir sa formation à Carrefour où on lui avait promis un cdd.
Leur sourire aussi, parce que, certes certains sont abattus, mais d'autres continuent d'être agréables (leçon de morale à moi qui ai une fâcheuse tendance à râler et à être désagréable quand je suis fatiguée...)
Nous avions pour mission de continuer à inspecter les rues du quatrième arrondissement.
Il refuse de tomber dans la délinquance mais ne se voit pas pouvoir continuer à vivre dans la rue une semaine de plus.
Et que les choses soient claires : je continuerai à faire avec plaisir des gâteaux dans les services où l'ambiance y pousse d'elle-même, parce que l'équipe est adorable, parce que ce sera un « plus », un jour, un moment agréable à passer ensemble.
Elle continue, s'acharne, hausse le ton.