Ce qui m'a plu est l'implication de l'équipe pour nous intégrer et faire participer aux discussions avec les personnes en difficultés. Les missions du samu social sont très importantes pour permettre aux personnes en difficultés de sortir de leurs isolement.
La double écoute m'a permis de comprendre les besoins et la détresse des gens à la rue , ainsi que les difficultés de placement dans les centre d'hébergement. J'ai fortement apprécié la maraude, l'équipe a été très disponible, et a montré énormément de compassion pour ces personnes en difficulté.
Elle permet, outre le fait de mieux se rendre compte de la situation très précaire de bon nombre de personnes exclues socialement, de voir la réalité du terrain et toutes les difficultés auxquelles doivent faire face les professionnels du samu social (manque de place, difficultés matérielles, etc...)
Cette expérience m'as permis de me rendre compte du nombre de personne en difficulté dans les rues de Paris, qui n'attendent qu'une main tendue pour tenter de retrouver une vie "normal". Mais elle m'as aussi permit de découvrir de des solutions existent, tel que les foyers dans lesquelles les personnes en difficultés peuvent se rendre, endroit qui m'était jusqu'alors inconnus.
Elle m'aura appris à regarder le Paris d'en bas, le Paris que souvent on évite de regarder : chercher les individus dans la difficulté au pas d'une porte, sur une bouche d'égout ... Elle m'aura aussi permis de me rendre compte de la richesse de discuter avec ces gens de la rue, de leur parcours, de leurs difficultés, de leurs projets.
La double-écoute permettait d'appréhender les difficultés auxquelles faisaient face certaines personnes et de voir quelles solutions urgentes ou non pouvaient leur être apportées. Le coup de feu de 19h15 pour les places dans les lieux d'hébergement montraient bien les difficultés sociales surtout pendant ce moment de grand froid.
En double écoute du 115 on s'aperçoit du nombre important de demande, et de la difficulté de les satisfaire, il n'est pas forcément évident d'entendre dire que untel devra dormir dehors car il a déjà bénéficié de trois nuits en hébergement cette semaine. Le plus dur est peut être cependant de voir la difficulté qu'ont certaines familles, avec enfant plus ou moins âgés, pour trouver un hébergement, il est dur à comprendre qu'un homme de 25 ans pourra dormir au chaud mais que un bébé de 1 an devra dormir dehors car les hébergements ne sont pas fait pour les familles dans la majorité des cas...
Garde du Samu social très intéressante, à faire impérativement au moins une fois dans sa vie pour découvrir ce que vivent les personnes en difficulté sociale, que l'on ne croise pas forcément au cours de nos stages ou pour lesquelles ça ne se voit pas. Se confronter à la misère sociale et à l'injustice pour mieux réaliser les difficultés de la vie pour certains et donc mieux les prendre en charge dans l'avenir, en restant patient et compréhensif.
J'ai été agreablement surpris de voir la proximité qu'avaient les equipes en maraude envers les personnes en difficulté et de voir a quel point leur travail etait remercié. Jai malheuresement ete surpris par le nomdre de familles en difficulté ayant recours au samu social (3 familles cette nuit) Par ailleur je ne connaissais pas le role du SAMU social et j'en ai donc decouvert sa nécessité.
On se dit alors que les champs d’action des équipes du Samu Social et des travailleurs sociaux sont restreints par un manque de moyen, de ressources tant financières qu’humaines pour prendre en charge le mieux possible ces personnes en difficulté. […] Leur gentillesse, leur accueil et leur disponibilité, tant envers les externes qu’envers les personnes en difficulté m’ont beaucoup touché. C’était une nuit pour discuter avec eux de leur travail auprès des personnes de la société en difficulté : les joies et les difficultés, le fait de se sentir impuissant face à certaines décisions politiques ; le fait qu’ils pouvaient dire, presque à chaque coin de rue, le nom, le prénom et l’histoire personnelle des sans domiciles que nous avons croisé. Cette garde fut un moment pour se rendre compte que les médecins, nous plus tard, auront un rôle à jouer auprès des personnes de la société en difficulté ; et cela commence dès maintenant par un regard différent aux urgences quand, sur l’observation de l’IAO, on voit « Mr X, SDF, consulte pour… »
C'est important de sensibiliser les futurs actifs sur les difficultés que certaines personnes peuvent vivre.
Elle met en évidence les difficultés de la rue .
Elle m a permi de prendre véritablement conscience des problèmes du quotidien des personnes en difficulté.
Je trouve cette expérience extrêmement enrichissante Elle nous a permis d'être confronté a la réalité des problèmes sociaux et l'importance d'aider certaines personnes en difficultés.
Elle m’a donné énormément d’explications sur les appels, l’hébergement des personnes en difficulté … Aux alentours de 20h, je suis allé à la réunion d’équipe, dans laquelle un briefing sur les signalements de personnes en difficulté a été fait, et où j'ai été présenté au reste de l'équipe. […] Nous sommes allés dans le 20ème arrondissement de Paris, à la recherche de personnes en difficulté, qui auraient besoin d’être hébergées pour la nuit, d’un contact humain, ou simplement d’un café. […] Dans la suite de la soirée, nous avons rencontré d’autres personnes en difficulté (certaines seules, d’autres en famille), et qui voulaient plus ou moins d’aide.
On assiste aux missions du SAMU SOCIAL qui permettent d'aider des personnes en difficulté, ne serait-ce qu'en proposant une boisson chaude ou en discutant.
Rencontrer ces personnes en difficultés dans leur cadre de vie est une réelle plus-value à notre vécu à l'hôpital.
Une soirée informative sur les solutions disponibles pour les personnes en difficultés.
J'ai beaucoup appris sur les sdf, sur comment on pouvait les aider, les differentes difficultés qu'ils pouvaient rencontrer au cours de leurs vies, comment ils se retrouvaient dans cette situation.
Elle permet aussi de nous rendre compte de la difficulté de leurs actions et des compétences nécessaire pour réaliser ce métier.
Pas facile parfois de faire face aux difficultés de la rue
Cette nuit d'observation a été une expérience sur le plan humain, et une vraie prise de conscience des problèmes rencontrés dans la prise en charge des personnes en difficulté, et du manque de moyens pour y parvenir (manque d'hébergement, notamment pour les femmes). […] Pour vraiment aider ces personnes en difficulté, il faudrait un nombre de places en hébergement de longue durée plus important...
Je considère que cette soirée m'a été utile dans la mesure ou elle nous confronte à la réalité des personnes vivants dans la rue et les difficultés auxquelles elle doivent faire face.
J'ai eu l'occasion de discuter avec des personnes défavorisées et d'entrevoir leurs difficultés.
Elle permet une meilleure considération des difficultés sociales et psychologiques des différents patients instable que nous pouvons rencontrer.
Cela m'a permis de mieux me rendre compte des difficultés concrètes des sans abris et des moyens mis en oeuvre pour les aider. […] Ces professionels m'ont fait part des des joies et des difficultés de leur métier.
C'est une belle expérience qui change la façon de voir les personnes en difficultés.
Elle permet de prendre conscience de la difficulté des conditions de vie de certains citoyens.
Cela m’a permis de voir le travail que fournissé les travailleurs social pour aider les personnes en difficultés.
J'ai pu discuter avec des personnes sans-abris, comprendre leur parcours, leurs difficultés alors que dans la vie de tous les jours notre attitude envers elles est plutôt l'indifférence.
La double écoute est enrichissante car elle permet de se mettre à la place des plus démunis et de se rendre compte de leurs difficultés quotidiennes.
Au cours de notre vie professionelle nous serons amené à traiter des patients en difficulté sociale et cette maraude permet de voir leur quotidien.
Cela permet aussi de mettre en avant la difficulté des démarches administratives pour régulariser une situation précaire.
La double écoute permet de nous sensibiliser à la difficulté aux quotidiens de trouver un logement.
Elle nous sensibilise à la difficulté de la vie des SDF pour trouver un endroit où dormir, se nourrir J'ai aimé être en leur contact pour leur tenir compagnie et leur apporter un peu de soutien Je pense que c'est tres bénéfique pour savoir comment les recevoir par exemple quand ils viennent aux urgences et pour ne pas avoir un jugement négatif au premier abord
Découverte du samu social qui fait un boulot formidable malgré les difficultés sociales importantes notamment le nombre de place d'hebergements.
J'ai trouvé très intéressante la découverte de ce monde de la nuit , avec la difficulté des usagers à trouver un place par téléphone chaque nuit.
C'est une expérience intéressante qui permet de découvrir le travail du SAMU Social et de voir les difficultés d'aider des personnes en situations de précarité.
J'ai vécu cette nuit là une expérience enrichissante me faisant prendre connaissance de la rudesse des nuits d'hiver vécues dans la rue et des difficultés inhérentes à la vie sans domicile, concernant notamment l'hygiène, l'hostilité des conditions climatiques, la perte de tout confort, ou plus simplement l'aliénation liée à la vie en solitude et en totale autonomie, la subsistance au jour le jour.
L'équipe était motivée, le contact bon avec les personnes en difficulté, ce fut très agréable de les suivre.
J’ai pu découvrir les dispositifs mis en place pour venir en aide au personne vivant dans la rue ainsi que la difficulté du 115 pour leur trouver des places.
Dans la vie de tous les jours, oui nous rencontrons des SDF, des personnes en difficulté financière mais nous ne faisons que les croiser (et à peine les regarder). La garde au samu social nous apprend qu'elles sont les difficultés quotidiennes de ces personnes en marge de ma société : trouver un logement pour la nuit, ne pas se faire voler ses affaires, toucher les aides sociales.
Cette garde a été très intéressante de part le fait qu'il faisait pour la première fois de l'hiver et m'a également permis d'appréhender les difficultés à loger les sans abris à Paris. En effet, j'avais déjà fait des maraudes et servi des repas mais j'étais plus en contact avec des "habitués" et non des personnes arrivées en France depuis moins d'une semaine ce qui m'a permis de savoir comment elles étaient prises en charge, la difficulté de la barrière de la langue, les rapports conflictuels avec les forces de l'ordre.
C’était une garde intéressante car elle nous permet d’échanger avec des sdf et de nous rendre compte de la misère sociale et de la difficulté locative à laquelle ils font face.
Suite à cette chaude nuit d'été, j'ai pu avoir un aperçu de ce qu'était de vivre dans la précarité, de la difficulté de ce monde, surtout pour les enfants qui depuis leur naissance ne connaissent que ce visage de la société.
Peu de signalement et peu d'activité cette nuit là mais ce fût tout de même une belle expérience humaine d'aider les personnes en difficulté et de le conduire vers un centre d'hébergement afin qu'ils soient au chaud et qu'ils s'alimentent.
Elle nous confronte directement, sans le biais médiatique, aux difficultés rencontrées par les équipes pour trouver un abris aux personnes à la rue.
La nuit au samu social a été très enrichissante tant sur le plan du contact avec les personnes en difficulté que sur la solidarité au sein de l'équipe du samu.
Cette garde au Samu Social permet vraiment de se rendre compte de la difficulté qu'éprouvent au quotidien les gens défavorisés sans domicile fixe.
Cela m’a changé un peu le regard sur les gens que je rencontre dans la rue, certains gardent le sourire malgré les difficultés.
En ce point cette garde m'a permis de mieux les considérés et de les voir réellement en tant que personne en difficulté.
Cela nous permet de prendre conscience des difficultés que rencontrent beaucoup de gens, sans être pour autant le stéréotype du sdf crasseux, des moyen mis en œuvre pour les aider, et aussi de l'insuffisance de ces moyens...
On ne voit pas vraiment les choses de ce côté là quand on passe dans les rues de Paris mais cette expérience permet d'avoir une autre vision des difficultés rencontrées.
On ne voit pas vraiment les choses de ce côté là quand on passe dans les rues de Paris mais cette expérience permet d'avoir une autre vision des difficultés rencontrées.
Expérience humaine intéressante pour se rendre compte des difficultés de la prise en charge des personnes sans abris.
La conclusion principale que j'en ai tirée est qu'il faut plus que jamais traiter comme tout le monde ces gens en réelle difficulté socio-professionnelle car ce sont avant tout des êtres humains et qu'ils ont aussi des envies, une morale et ressentent un besoin de bonne santé physique et mentale.
J'ai trouvé cette expérience très enrichissante, d'aller au contact des personnes en difficultés et de leur venir en aide et cela de la façon la plus naturelle possible.
De plus, cela nous permet d'avoir aussi un abord différent des personnes en difficulté, permettant ainsi d'avoir une autre opinion d'eux et pouvoir leur proposer des solutions à leur situation.
Cette nuit est un bon complément à la formation, c'est important de savoir qu'un tel service existe et de se faire une idée des problèmes et des difficultés auxquels il est confronté.
Ce qui a été le plus dur c’est de sentir que malgré la douleur et le froid on a pu essuyer enormément de refus de mise a l’abri et la difficulté de malgré tout respecter leur choix.
J’ai trouvé cette garde très instructive et m’a fait découvrir la prise en charge du côté socio-économique des personnes en difficultés, intimement liée à la prise en charge médicale.
Cette "garde" nous sensibilise à la prise en charge des personnes en difficulté, nous rapproche de celui qu'on croise dans la rue et dont on évite le regard très souvent.
Mais dehors on pouvait ressentir toutes les difficultés que peuvent avoir les sans abri, comme le lieu à chercher, les amis à ne pas avoir pour raisons de sécurité, l'argent pour trouver de quoi manger au moins une fois par jour, et surtout les téléphones pour joindre le samu social qui peut trouver un hébergement d'urgence, au jour le jour. […] L'expérience m'a appris pour mon futur travail médical, de prendre en compte toutes les difficultés de la prise en charge du patient sdf, à savoir la relation psychologique, bienveillante avant tout, la résolution des problèmes de la rue qu'ils soient énoncés ou non, l'intérêt d'un examen complet comprenant les pieds, bien souvent dans un état infectieux ou diabétique extrême, et la prise en charge des dépendances.
Dès les premières interventions nous avons partagé sur nos ressentis, leurs expériences qui y faisaient échos, et les difficultés qu'il pouvaient rencontrer. […] Les difficultés rencontrées par les travailleurs du samu social auprès des services d'accueil des urgences justifient à elles seules l'importance de cette garde pour des étudiants en médecine. Comprendre les différents enjeux, ressentir les difficultés des usagers, et des travailleurs face à des nuits froides, pluvieuses, des refus de prise en charge de certains services d'urgence, du mépris de nombreuses personnes envers ceux qui n'ont pas de domicile est essentiel au sein de nos études.
C'est une expérience enrichissante tant sur le plan personnel ( je n'avais sans doute jamais bien pris conscience de l'ampleur des difficultés auxquels étaient confrontés les personnes démunis de logement) que sur le plan professionnel.
Expérience très intéressante On se rend compte un petit peu de la difficulté des problèmes sociaux.
Cela m'a permis de comprendre davantage les difficultés qu'éprouvent les sans-abris au quotidien.
Elle permet aussi de mieux appréhender les conditions de vie et les difficultés rencontrées par les personnes dans une situation d'extrême précarité.
Ils m'ont bien expliqué leur rôle, les difficultés rencontrées, ce qui les a poussé à faire cela.
Cette nuit faisait parti des première nuits froides de l'année et cela m'a permis de constater les difficultés d'organisation auxquelles est confronté le personnel du SAMU social alors que les places d'hiver ne sont pas encore ouvertes.
Intérêt de la situation devant les difficultés (plus de couverture sociale, démarches en cours), la nécessité du traitement.
Cela permet d'avoir une vision plus générale, plus sociale des patients défavorisés que l'on voit à l'hôpital, dont on a parfois du mal à imaginer les conditions de vie et les difficultés.
Plonger dans le quotidien des personnes en difficulté m'a permis de réaliser la détresse et l'isolement que certains peuvent ressentir.
Nous avons pu permettre à quatre personnes de dormir à l’abri et a beaucoup d’autre de boire une boisson chaude, de pouvoir échanger un peu sur leur vie, leurs difficultés au quotidien, leur parcours. […] J’ai vraiment été frappés par le nombre de personne qui souhaiterai de l’aide mais que nous ne pouvons pas aider, qui souhaite un logement, un endroit à l’abris mais les centres sont pleins et il n’y en a pas assez pour le nombre de personnes en difficulté.
Cette nuit au SAMU social m'a fait comprendre quelles sont les difficultés des personnes vivant dans la rue : le froid, la faim, le manque de place dans des établissements où passer la nuit, ... Lors de la double écoute, j'ai pu entendre les difficultés rencontrées par un père de famille à trouver un logement pour lui, sa femme et ses enfants.
beaucoup de rencontre, qui pour quelques une, on été très touchantes: rencontre et dialogue ouvert avec les personnes; on se rend compte de la difficulté de leur situation, la difficulté d'en sortir également, ainsi que la pénibilité de vivre chaque jour dans l'angoisse de ne pas trouver un endroit ou dormir....
En fait, il est réducteur de tenter de résumer cette soirée en quelques phrases, mais je dirai qu'elle m'a permis d'ouvrir les yeux, en me permettant de me poser des problématiques qui jusqu'alors m'étaient inimaginables, de rencontrer des personnes formidables tant du coté des aidants que des usagers, de me rendre compte plus clairement des difficultés que pouvaient rencontrer des personnes en difficultés extrêmes auprès de ceux qui se placent de "leur" coté (comme s'il était censé y avoir des camps...), en bref, cette expérience m'a changé en m'ouvrant les yeux sur ce et ceux qu'on ne voit généralement pas.
Cela permet aussi de se rendre compte de la difficulté à s'occuper de sdf qui sont la plupart du temps alcoolisés, et insultent les gens du samu social, autant dire pas toujours de reconnaissance mais c'est important que des gens le fassent car les sdf restent malgré tout des humains à traiter comme tels.
La plus grande difficulté de cette nuit a sans doute été la gêne olfactive que j'ai pu ressentir dans le camion mais je retiendrai quand meme que l'ensemble des personnes avec qui l'équipe a échangé s'est montré cordial, poli et calme.
La plus grande difficulté de cette nuit a sans doute été la gêne olfactive que j'ai pu ressentir dans le camion mais je retiendrai quand meme que l'ensemble des personnes avec qui l'équipe a échangé s'est montré cordial, poli et calme.
J'ai tout particulièrement été émue lors de la double écoute pendant laquelle les gens se livrent réellement, et n'hésitent pas à expliquer leurs difficultés.
C'est une partie intéressante de la garde, qui permet de se rendre compte des difficultés pratiques auxquelles sont confrontées les personnes les plus défavorisées.
Elle nous aide à prendre pleinement conscience des gens qui nous entourent au quotidien et des difficultés que l’on peut rencontrer à tout moment dans notre vie.
J'ai pris conscience de la difficultés de certains personnes (migrants notamment) de trouver un repas et un logement, alors même que ces personnes sortent d'une période très difficile (fuite de leur pays en guerre, etc).
Elle permet de mieux comprendre les actions du SAMU social et de la difficulté des sans abris, et aidera à diminuer l'éventuelle stigmatisation dont les sans abris sont victimes lors de leur passage hospitalier, comme me l'ont raconté quelques membres de l'équipe du samu social.
1ère maraude en tant qu'étudiant et cela nous permet de beaucoup mieux prendre conscience de la difficulté de ré-insertion des personnes dans la rue.
Ca m'a permis aussi d'aborder différemment ces personnes en difficulté, et d'avoir l'impression de pouvoir un peu mieux comprendre leurs difficultés.
.), le contact avec eux permet de se rendre compte d'une certaine réalité et de la difficulté à loger les personnes sans domicile fixe. […] Gros bémol : la difficulté d'accès du site.
L'expérience a été très enrichissante et m'a permis d'oublier mes préjugés sur la question, d'avoir un peu plus d'"art de la communication" avec les personnes en difficulté sociale, de réaliser l'existence de ce type de structure de soutien et du numéro 115, de cotoyer des personnes faisant un travail exceptionnel avec aussi peu de moyens.
Elle permet de réaliser les difficultés auxquelles ces personnes peuvent être confronté qui sont très divers (à la fois soucis d'intégration, de travail non déclarés et des arnaques subient dont profitent certains chefs d'entreprise, problème d'abri pour la nuit, lutter contre le froid, se nourrir...).
Elle permet de réaliser les difficultés auxquelles ces personnes peuvent être confronté qui sont très divers (à la fois soucis d'intégration, de travail non déclarés et des arnaques subient dont profitent certains chefs d'entreprise, problème d'abri pour la nuit, lutter contre le froid, se nourrir...).
Je suis pour ma part sorti de cette garde avec une envie plus grande d'aider les personnes en difficultés, en France ou ailleurs.
On voit et entend des personnes qui sont dans de très grandes difficultés et cela peut être un petit peu dur au départ.
Cette nuit m'a aussi appris à savoir aborder et discuter avec les personnes en grande difficulté sociale refusant souvent le contact humain.
En effet, cela nous met pour une fois face à ces personnes en difficultés non plus à domicile (à l'hopital) mais chez eux (dans la rue) où nous sommes bien mieux accueillis que eux le sont chez nous.
J'ai trouvé cette expérience assez enrichissante, dans le sens où cette premier contact avec cette réalité sociale m'a permis de mieux comprendre la situation précarité dans laquelle se trouvent les "usagers", des difficultés qu'ils ont à s'en sortir.
En bilan, une garde loin de la pratique médicale mais permettant d'avoir connaissance de la complexité de la prise en charge des patients en difficulté sociale.
La difficulté également de devoir expliquer aux usagers le manque de place dans les structures d'accueil de nuit, ou encore l'appréhension de certaines de leurs réactions.
Je comprends mieux maintenant les difficultés de nos assistantes sociales à l'hôpital.
Le SAMU social nous permet de nous confronter au monde réel et à ses difficultés.
Cette garde m'a beaucoup plus, j'ai trouvé très intéressant de voir d'en-dedans le fonctionnement du SAMU social et les réelles difficultés que rencontrent les individus appelant le 115 pour trouver un abris pour une nuit.
Cette activité d'aide aux personnes en difficultés a été particulièrement enrichissante car : 1) J'ai découvert une nouvelle manière d'aider autrui, qui diffère totalement du cadre hospitalier auquel nous sommes habitué, 2) Cela m'a permis d'avoir un réel échange avec certains des SDF que nous avons accompagné au centre d'hébergement, hors nous avons rarement l'occasion au quotidien de nous intéresser de près à ces personnes qui sont à la marge de la société.
La partie double écoute était elle même très prenante avec les histoires des différents appelants, et la difficulté morale d'avoir à faire le choix de leur proposer ou non un lit pour la nuit.
Elle permet de découvrir le cadre social de notre métier car bon nombre de gens en difficulté se rendent à l'hôpital pour recevoir des soins.
Beaucoup d'entre nous ne connaissent pas la réalité de ces gens qu'on voit beaucoup à l'hôpital mais malheureusement peu connaissent la vrai réalité des difficultés de ces gens.
Elle peut ouvrir les yeux à beaucoup d'étudiants en ce qui concerne les difficultés qu'éprouvent les SDF, réfugiés, demandeurs d'asile et autres personnes en détresse sociale.
Et la grosse difficulté c’était pour elle le manque d’adaptation des logements dans les centres d’accueil par rapport à ses capacites motrices.
J'ai beaucoup aimé le contact avec les sans abris, pouvoir discuter réellement avec eux et réaliser leurs difficultés quotidiennes.
Ce fut une nuit très instructive en ce qui concerne l'aide pouvant être apporté aux personnes en difficulté dans la rue.
Je suis contente d'avoir pu vivre cette expérience malgré les difficultés de vie des personnes que j'ai rencontrées.
Pendant cette garde j'ai été particulièrement frappée par la cohésion des équipes : bonne entente, travail reparti et organisé, humour, capacité à faire face aux difficultés avec beaucoup de sang froid et de bonne humeur...
J’ai pu voir la difficulté que l’on pouvait avoir à loger les différentes personnes, les choix difficiles parmi les demandeurs alors que l’on aimerait pouvoir tous les faire dormir au chaud. […] Pour résumé, j’ai vraiment apprécié cette garde où j’ai pu me rendre plus compte des difficultés des personnes qui étaient sans logement et surtout de leurs situations toutes très différentes, et à quel point il était important de ne pas faire de généralités parmi les personnes et surtout pas parce qu’ils vivent dehors.
Ni sur leurs éventuels problèmes de santé et la difficulté de vivre avec en étant dans la rue. […] Et sur sa difficulté à pouvoir se soigner correctement: en effet, même si il avait accès à ses traitements, comment pouvoir les prendre correctement alors qu'il ne pouvait pas manger à sa fin et régulièrement tous les jours ?
En effet, je n'avais jamais eu l'occasion de faire de la double écoute, et malgré le fait que se soit assez passive dans le sens où nous ne pouvons pas intervenir dans la conversation ou donner notre avis, j'ai particulièrement apprécié prendre le temps d'écouter les gens et de comprendre la difficulté bien réelle auquelle ils sont confrontés.
On prend conscience des difficultés engendrées par la précarité à plusieurs niveaux (logement, alimentation mais également santé).
Que ce soit par la double écoute ou dans la rue avec l'équipe mobile, les difficultés sociales de ces personnes s'expriment de manières variées: par le refus de toute aide, l'agressivité, mais majoritairement par la sollicitude, la gentillesse, ou encore l'humour.
C'est une expérience très enrichissante et intéressante qui m'a permis de prendre conscience de la réelle difficulté a aider les personnes défavorisées.
J’ai pu discuter avec la travailleuse sociale et l’infirmière intérimaire, dont c’était aussi la première maraude, de leur condition de travail, de la difficulté pour les sans abris de trouver une place en centre d'hébergement d'urgence tous les soirs ou une place plus stable et des problèmes sociaux, psychiatriques et d'addiction qui s'accumulent chez ces personnes et compliquent le travail du 115.
Cela m'a beaucoup sensibilisé de voir les difficultés auxquelles sont confrontés quotidiennement tant de gens,l'injustice et le décalage qui existe par rapport à "notre" réalité.
Je suis très admirative de l'empathie et de la patience dont elle faisaient preuve à l'égard des personnes en grandes difficultés.
J'admire le travail des écoutants, des travailleurs sociaux et des infirmières du SAMU Social, qui gardent espoir et volonté malgré la difficulté de leur tache.
On se doit de les rencontrer et de se forcer à aller les voir car nous serons forcément amener à côtoyer des personnes SDF ou en difficulté de logement dans notre exercice professionnel.
Personnellement j’ai trouvé le concept vraiment super, chest juste dommage qu’il n’y ait pas plus de place pour héberger les familles qui se retrouvent en difficulté même si je suis plus que consciente que c’est un problème majeur étant donné le nombre de réfugiés qui viennent chercher refuge en région parisienne.
J'ai aussi pu discuter avec un SDF de mon âge qui m'a exposé ses difficultés d'accès aux soins dont certaines ne me seraient pas venues à l'idée !
Le soutien de l'assistant social est indispensable pour aider les personnes en difficulté, faire valoir leurs droits et les encourager à se battre pour s'en sortir.
J'ai été marqué par la bonne ambiance du LHSS avec l'entraide et le respect des résidents entre eux et envers le personnel soignant, la patience du personnel soignant, le peu de femmes hospitalisé (3 sur les 30), la séparation entre les migrants et les SDF "de la rue" qui peuvent parfois avoir des difficultés à cohabiter, p.
J'ai apprécié la bonne volonté et les efforts réalisés par les membres de l'équipe du samu social pour écouter et proposer un début de solution aux personnes en difficultés, pour permettre de leur donner une orientation et entamer un chemin (certes long) vers la réintégration sociale.
Les conditions des maraudes ne m'ont pas semblé facile, les difficultés pour trouver une place en centre, de l'envie de donner plus mais peu de moyen..
En allant ainsi vers les personnes en difficulté et face à la dure réalité de la rue, on réalise l'importance de cette action et les efforts qui sont encore à fournir pour leur permettre au maximum de pouvoir dormir dans des endroits adaptés.
Ce qui a été difficile pour moi est de voir que ces personnes ont des difficultés multiples pour s'insérer à nouveau dans la société.
J'ai été marquée par le nombre d'appels de femmes avec enfants vivant dans la rue en plein mois de novembre ainsi que de la difficulté qu'elles ont à s'en sortir.
J'ai été en stage en hépatologie avec beaucoup de sdf hospitalisés, ce fut intéressant de parler à des travailleurs sociaux, de voir la difficulté de trouver des hébergements libres et notamment des lits infirmiers, et aussi, de voir ce que les patients deviennent à la sortie de l'hospitalisation.
On se rend compte de la difficulté de vivre à la rue, pour la plupart de devoir attendre tous les soirs d’appeler le 115 ou d’attendre une maraude, dans l’espoir d’avoir une des minimes places qui reste dans un centre d’hébergement.
Il s'agit d'une bonne occasion d'effacer certains à priori, de comprendre l'organisation du 115 en France, des nuitées, mais aussi de mieux être sensibilisé aux difficultés des personnes "à la rue", en se rendant disponible pour eux.
Je trouve que cette garde au samu social était intéressante car elle nous sensibilise de manière importante sur la difficulté de la situation des sans abris.
Elle nous permet de prendre conscience des difficultés en lien avec l'exclusion sociale, et de réaliser que le système, tel qu'il existe aujourd'hui laisse malheureusement de nombreuses personnes dans une impasse.
Elle nous donne l occasion de rencontrer des personnes qui ont une autre vision d aider les personnes en difficulté.
Cette expérience était à la fois très bénéfique pour quelqu'un comme moi qui n'a jamais été confronté aux difficultés sociales de certains, mais également très décevante en terme d'aide qui est apportée à ces gens qui n'ont plus rien.
On sent que le Samu a acquis une vraie renommée et le respect de ces personnes en difficulté.
Même si ce temps de double écoute est trop court, il permet d'avoir un aperçu direct des difficultés rencontrées "sur le terrain" au quotidien et de la détresse des personnes dans le besoin; complètement différent de ce dont on peut voir à l'hôpital où on ne se concentre que sur la maladie ou la plainte mais pas sur les conditions de vie dans sa globalité. […] J'ai par ailleurs dû prendre mon courage à 2 mains pour ausculter la jambe de cette femme enceinte, le contexte étant absolument différent de ce dont j'ai eu l'habitude (pas de médecin, patient migrant après un voyage traumatisant et visiblement difficile physiquement, dans la difficulté pour se nourrir ou tenir au chaud son enfant...)
Outre le fait de pouvoir découvrir des modes de survie et des détresses souvent invisibles mais pourtant quotidiennes, cette maraude a eu la particularité de visiter deux cas d'ordres médicaux, et j'ai donc eu la sensations d'être un peu plus utile que pour les cas uniquement sociaux: une suspicion de Tuberculose sur une probable hémoptysie avait été signalée, et a parmi de mieu se rendre compte de la difficulté de prise en charge d'une personne cherchant à minimiser les symptômes pour ne pas aller à l’hôpital.
La partie de la nuit que j'ai préférée était la maraude : rencontrer les SDF, discuter avec eux de leur situation sociale, des difficultés rencontrées (maladie, froid, les vols...), de leurs tentatives de s'intégrer à une société qui les accepte difficilement...
Cette garde m'a permis de me faire une idée globale du fonctionnement du SAMU social et de la difficulté de certaines situations très précaires dans la rue.
Le fait d'être intégré dans une équipe n'est pas toujours facile mais je l'ai été sans difficulté et je souhaite remercier ceux qui m'ont accueilli, je pense que cela m'a permis de profiter à fond de cette expérience.
Malheuresment la nuit fut très calme et nous sommes allés à la rencontre de peu de personnes en difficultés.
J'ai eu la chance de tomber sur une équipe qui m'a bien intégrée, qui se rendait compte de la difficulté que la première nuit en maraude peut représenter.
Tout d'abord l'écoute des appels du 115 m'a fait prendre conscience de la difficulté pour les personnes sans domicile fixe de trouver un hébergement pour la nuit et celle des travailleurs sociaux d'apprendre à ce gens qu'ils devront dormir dehors faute de place...
J'ai tout de même réalisé que le manque de moyens et la difficulté de la prise en charge de ces personnes limitent les actions du SAMU social.
Expérience intéressante et enrichissante avec une équipe compétente et très sympa Sensation de décalage avec le monde, tel qu'on le connaît, le temps d'une nuit, du fait de rencontres presque exclusivement avec des personnes vivant dans la rue et étant en difficulté.
Il nous a permis de voir comment s’organisait une équipe, comment gérer et aider des personnes en difficulté.
Cela nous permet de comprendre un peu leur quotidien et les difficulté qu'ils peuvent rencontrer.
Très bon accueil dans le camion, une nuit agréable et qui fait réfléchir avec plus de matière sur la précarité et les difficultés de milliers d'êtres humains en France.