On se rend compte également qu'ils connaissent tous les SDFs qu'ils croisent et la plupart sont dans la rue depuis longtemps.
On se rend compte également qu'ils connaissent tous les SDFs qu'ils croisent et la plupart sont dans la rue depuis longtemps.
On se rend compte également qu'ils connaissent tous les SDFs qu'ils croisent et la plupart sont dans la rue depuis longtemps.
On se rend compte également qu'ils connaissent tous les SDFs qu'ils croisent et la plupart sont dans la rue depuis longtemps.
On se rend compte également qu'ils connaissent tous les SDFs qu'ils croisent et la plupart sont dans la rue depuis longtemps.
On se rend compte également qu'ils connaissent tous les SDFs qu'ils croisent et la plupart sont dans la rue depuis longtemps.
L'équipe était pour la plupart très accueillante et m'a bien intégrée à l'équipe.
J'ai rencontré des personnes qui certes étaient alcoolisées pour la plupart mais qui avaient une vie sociale,des périodes de travail,des formes de revenus,une connaissance de l'actualité,un cercle d'amis et une famille souvent présente,de la gentillesse,de l'humour et surtout une grande force de vie.
La plupart sont malades, fréquentent les hôpitaux puis sont "relâchés" dehors.
Même si bien sur nous nous arrêtons volontiers sur le chemin pour distribuer un café ou tout simplement discuter, prendre des nouvelles des gens qui pour la plupart sont bien connus par les équipes du SAMU !
La plupart d'entre eux se sont montrés très accessibles, et je pense que la veste du samu social joue beaucoup là dessus.
- Beaucoup de très très bonnes choses dans le social en France, on a beaucoup de chance et on ne le dit pas assez : des locaux très corrects, la dévotion des employés, toutes les activités proposées dans les centres d’accueil urgence pour une nuit ou de stabilisation à plus long terme (sport, concerts et autres… tout gratuit), les « super » duvets offerts, beaucoup de moyens en général, même si tout le monde se plaint tout le temps… - 2 populations de bénéficiaires : ceux demandeurs souvent très (trop) exigeants, et ceux qui ne veulent pas et vers qui on doit aller et dont certains refusent les foyers (des gens ravagés par l’alcool, la plupart très éduqués et intelligents : un ancien radiologue, un fils d’avocat s’exprimant parfaitement bien… ) car ils ne pourront pas revenir sur leur lieu de vie après (les foyers sont end dehors de Paris) ==> organiser des retours le rendement matin ?
- Beaucoup de très très bonnes choses dans le social en France, on a beaucoup de chance et on ne le dit pas assez : des locaux très corrects, la dévotion des employés, toutes les activités proposées dans les centres d’accueil urgence pour une nuit ou de stabilisation à plus long terme (sport, concerts et autres… tout gratuit), les « super » duvets offerts, beaucoup de moyens en général, même si tout le monde se plaint tout le temps… - 2 populations de bénéficiaires : ceux demandeurs souvent très (trop) exigeants, et ceux qui ne veulent pas et vers qui on doit aller et dont certains refusent les foyers (des gens ravagés par l’alcool, la plupart très éduqués et intelligents : un ancien radiologue, un fils d’avocat s’exprimant parfaitement bien… ) car ils ne pourront pas revenir sur leur lieu de vie après (les foyers sont end dehors de Paris) ==> organiser des retours le rendement matin ?
Tout d'abord la double écoute à la régulation du 115 de 18h à 20h est franchement inutile, zéro valeur ajoutée à écouter des individus, étrangers pour la plupart s'exprimant dans un français très moyennement compréhensible, demander, voire exiger avec agressivité, une place d'hébergement pour la nuit; parfois même se plaindre d'être accepté dans une structure quand ils espéraient pouvoir aller ailleurs.
La plupart sont déjà connu des équipes qui savent alors où les trouver et connaissent leurs habitudes.