On est parti sur les signalements, on a accompagné 3 familles dans des centres. […] Ce soir là il y a eu beaucoup de signalement sur notre zone donc on n’a pas fait de maraude à proprement parler.
Pour l'étape camion : on a peu marauder, on a rapidement eu des signalements qui nous ont occupés le reste de la nuit. Equipe très agréable et qui m'a expliqué le fonctionnement des maraudes, signalements, ...
J'ai passé ma nuit non pas à marauder mais à faire rue par rue le 15eme arrondissement (sans aller vers des signalements précis), du coup étant donne qu'il s'agissait d'un quartier plus calme que les autres, je n'ai vu aucune prise en charge ce qui est dommage (de passer 4 heure à faire rue par rue un quartier) C'était intéressant de voir le fonctionnement du Samu social et de poser des questions mais c'est peut être mieux de mettre les stagiaires ou bien dans les maraudes avec les signalements, ou alors si c'est dans le camion qui fait juste le sillonnèrent des quartiers, surtout lorsquil s'agit de quartiers moins résidentiels (et plutôt les 18ème -19e-20e arrondissement) pour voir au moins une prise en charge...
On s’occupait des signalements qu’il y avait sur 2 arrondissements. Et beaucoup de signalements ont eu lieux.
On a dû gérer beaucoup de signalements vers les centres d'accueil.
On a dû gérer beaucoup de signalements vers les centres d'accueil.
J'ai pu participer à l'évaluation médicale concernant les signalements.
Nous avons eu plusieurs signalements cette nuit la .
Pas de signalement, donc nous avons comme son nom l'indique maraudé (d'ailleurs j'ai oublie de demander pourquoi on employait le terme de maraude qui a je trouve une connotation pejorative). […] Puis la nuit fut calme, pas de signalement important, des arrets par ci par la pour donner une soupe, un duvet, discuter etc
Pendant la nuit différentes situations sont rencontrées que ce soit pendant les signalement ou la maraude.
Le seul point négatif a été de me mettre sur une maraude dans un arrondissement plutot calme (16eme arrondissement) sans signalement.
Au départ nous n'avions pas de signalement donc nous nous sommes arrêtés quand nous voyions quelqu'un dans la rue qui avait besoin d'aide. […] Un signalement est arrivé dans la nuit, fait par deux jeunes qui aidaient un homme dans la rue.
L'équipe était très agréable, nous sommes intervenus sur les lieux de signalement jusqu'à 2H30, heure à laquelle nous sommes allés manger avant de repartir jusqu'à environ 5H30 pour d'autres signalements.
On devait marauder dans le nord de Paris (18ème, 19eme) mais on n'a pas pu car les signalements n'ont pas arrêté. Vers 3h du matin, on a eu un signalement pour un SDF bien connu de l'équipe.
Ce fut intéressant de faire de la double écoute pour mieux comprendre le rôle du SAMU SOCIAL ainsi que son fonctionnement, et pour comprendre comment se faisait le tri des signalements pour la maraude ensuite. Pendant la nuit ensuite, lorsqu'on se rendait sur le lieu d'un signalement, j'ai remarqué qu'on se faisait souvent interpeller par des personnes démunies, qui venaient demander un peu de nourriture ou des vêtements. […] Ca me rappelle un des signalements de la nuit, une famille de 5 personnes (8 en réalité) chassée par les policiers, et qui dormaient sous un porche. Quand on s'est rendu sur le lieu de signalement, on a prit toutes les identités et dates de naissance de chacune des personnes et on s'est rendu compte que malheureusement une des personnes était mineure, et que par conséquent aucun centre ne l'accepterait.
A partir de 20h, le débrief commence avec la répartition des équipes par arrondissements ainsi que les signalements reçus à la régulation téléphonique qu'il faut passer voir. […] Pas beaucoup de signalements cette nuit là, avec la chaleur les gens n'avaient pas forcément envie de passer la nuit en hébergement.
La partie maraude de ma garde a été légèrement moins marquante car j'étais avec une équipe répondant aux signalements téléphonique par des tiers. […] L'équipe explique cela par le délai, pouvant être de plusieurs heures, entre les signalements et l’intervention sur place ainsi que par la pluie incitant les personnes à se déplacer pour se mettre à l’abris.
Ça va être difficile de donner UN événement marquant de cette nuit car des appels aux signalements en passant par l'équipe, tout m'a touchée.
Après un début de nuit très calme, c'est a dire sans signalements, nous nous dirigeons vers un "habitué" des maraudes du SAMU social, vers la goutte d'or.
Vers 21h30 ,départ dans le camion avec deux agents du samu social , en direction du premier signalement de la nuit, c'était un homme de 70 ans installé dans une rue du 11eme arrondissements, quant on est arrivé il était accompagné de deux passants, il était bien couvert et refusait toute proposition de mise à l'abri ou même une boisson chaude , on lui a expliqué qu'il pouvait nous rappeler à n'importe quel moment s'il se sentait pas bien et on est reparti direction le signalement suivant!
La nuit du 03/11/2017 était calme, nous n'avons eu qu'un signalement, le reste de la garde s'est faite à marauder dans les rues du 20ème arrondissement. Le signalement venait d'un anonyme pour une dame âgée de 58 ans couchée par terre sur le trottoir en tenue de printemps (sandales, jupe longue).
Peu de signalement et peu d'activité cette nuit là mais ce fût tout de même une belle expérience humaine d'aider les personnes en difficulté et de le conduire vers un centre d'hébergement afin qu'ils soient au chaud et qu'ils s'alimentent.
Ma garde au samu social est restée très calme,les 3 signalements reçus en première partie de nuit n'ont finalement pas abouti, du fait de leurs absences.
Début de la maraude vers 21h30, on se dirige vers le 7e arrondissement pour répondre à des signalements de sans abris envoyés le plus souvent par des passants.
Malheureusement c'était une nuit très calme donc peu de signalements et peu d'interventions.
Malheureusement nous avons mis du temps avant de trouver les signalements parce qu'ils avaient téléphoné plusieurs heures avant.
Pendant la nuit, j'ai tourné dans un camion qui faisait de la maraude pure, et je trouve qu'il serait souhaitable d'être plutôt affectée à un camion faisant aussi du signalement.
Avec un peu de "chance", on tombe sur un appel faisant l'objet d'un signalement pour la Maraude qui suivra. 20h, briefing où nous rencontrons entre autre l'équipe avec qui nous marauderons le reste de la nuit. […] Cependant on note un ratio signalement/maraude en faveur des signalements à cause du temps.
Durant la maraude, nous étions sur un secteur avec finalement peu de choses à faire, alors que d'autres équipes avaient une dizaine de signalement à aller voir.
La maraude et le déplacement sur signalement en camion est plus intéressante avec l’impression d’aider réellement les usagers.
Nous sommes ensuite parti sur les signalements, j'ai apprécié l'approche humaine de l'équipe envers les personnes sans domicile fixe et le fait de pouvoir les aider un peu même si j'ai constaté un manque de moyen important.
Nous avions maraudé dans le 6ème arrondissement et nous occupions du 5, 6, 7, 13 et 14ème arrondissements lors des signalements.
Un épicier nous fait signe, c'est lui qui a fait le signalement, tout sourire, il est content de nous voir arriver si vite, nous dit-il, il est inquiet pour Philippe, c'est lui qui a fait le signalement.
La maraude a commencé au hasard des rues parce qu'il n'y avait pas de signalements puis les signalements se sont enchainés au cours de la nuit.
Une fois dans le camion , on est parti avec 2 signalements au début fait par des passants , 2 hommes inconnus. […] Le premier homme , ne voulait pas nous parler , avant d'aller voir le deuxieme signalement , on reçoit qu' un monsieur connu a été signalé sur le chemin. […] Nous avons ensuite été à un autre signalement , avec qui on a pu aussi parler un petit peu, et qui a eu une place aussi.
Au final toutes les rencontres de la nuit se sont très bien passées et l'expérience a été très formatrice grâce aux indications de l'équipe, surtout au cours des marraudes sans signalement.
Pendant la maraude nous avons eu un signalement d'un jeune qui attendait devant une boulangerie ( la seule ouverte la nuit) pour avoir chaud.
Nous avions quelques signalements que nous n’avons pas trouvé mais nous avons pu placé un père et sa fille en faisant une évaluation dans le camion, contexte flou...
C'est une bonne chose de commencer par la double écoute pour comprendre le principe des signalements qu'on rejoint pendant la nuit.
J'estime que c'est suffisant de terminer la garde avant le repas (une fois que la mission de signalement est achevée).
J'ai débuté ma maraude avec l'équipe vers 22h, on a d'abord vérifier les signalement envoyé par la régulation: nous sommes donc allés à la rencontre d'un monsieur de 70 ans en très bon état général et qui s'était retrouvé à la rue assez récemment. […] On va à un autre signalement pour trouver un jeune homme de d'entre 25 et 30 ans qui dormait au niveau d'une bouche d'aération et qui ne parlait pas français donc il n'a pas compris qu'on voulait l'emmener au centre.
Nous étions initialement partis sur un signalement par un tiers près de l'Hopital Saint Louis, à propos d'un jeune homme installé en bas de son immeuble. […] Puis nous sommes partis sur un autre signalement rue de Lafayette, là aussi effectué par un tiers. […] Nous sommes ensuite repartis sur un signalement rue de Chabrol, pour un homme de 60 ans, qui était très agité (parce que très alcoolisé mais aussi peut-être une part de troubles psychiatriques). […] Alors que nous nous apprêtions à parti sur un nouveau signalement, Frank s'est fait très mal au cou, avec une tension et des douleurs qui l'empêchaient de tourner la tête.
Je trouve ça dommage car j'aurais aimé être affectée a une équipe qui faisait du signalement et de la maraude, pour pouvoir avoir une vraie expérience des missions du SAMU SOCIAL.
La mission samu social tourne autour de l'hébergement des personnes sans-abri, que ce soit au téléphone au 115 ou dans le camion en signalement ou maraude.
Cependant, c'est un point négatif très secondaire mais mon chauffeur n'avait pas de GPS alors nous arrivions toujours trop tard pour les signalements...
Les premiers signalements n'ont pas abouti.
Lors de la maraude, nous sommes souvent allés sur des lieux de signalement où il n'y avait personne au final, donc beaucoup de temps perdu en voiture, avec le mal des transports du à la mauvaise conduite de la conductrice.
Pendant la maraude nous sommes intervenus sur quelques signalements avec l'EMA 7. […] Nous avons terminé la maraude par un signalement d'une personne qui présentait un syndrome psychiatrique.
Pendant la maraude nous sommes intervenus sur quelques signalements avec l'EMA 7. […] Nous avons terminé la maraude par un signalement d'une personne qui présentait un syndrome psychiatrique.
La seconde partie de garde (avec l'équipe mobile dans le camion) permet de se rendre compte du fonctionnement du samu social: signalements, maraude, visite des centres d'hébergement.
Les deux premiers signalement de la nuit ont été des femmes, le nombre de femmes vivant dans la rue étant frappant, puis un homme blessé handicapé qui gardait tout son courage et on humour.
J'ai eu la chance d'être affectée à une équipe très très sympathique qui m'a laissée monter à l'avant du camion (pour être au coeur de l'action) et qui m'a expliquée comment on s'organisait (principe de signalement et maraude simple).
Je nai pas fait de maraude, car il y avait trop de signalements.
Un signalement m'a particulièrement marqué.
Au cours de la maraude, nous sommes quasiment exclusivement allés répondre à des signalements également pour des premiers appels : j'ai donc pu assister aux bilans initiaux de l'infirmière et du travailleur social et mieux comprendre leur rôle dans l'équipe.
Mon équipe était en charge des signalements sur tout Paris, tout le monde répond à nos questions.
C'était une nuit assez calme il y avait seulement un signalement d'une famille iranienne avec 2 enfant.
On a commencé par des signalements, il s'agissait soit de donner un café, une couverture de survie ou un bol de soupe, soit d'accompagner la personne jusqu'au centre d'hébergement. Puis vers 2h du matin, on a reçu le signalement d'une jeune femme, d'origine Algérienne, enceinte de 6 mois.
Partie maraude : nous avons maraudé dans le 18ème et pris en charge 5 signalements dans les arrondissements alentours. Passants comme usagers peuvent appeler le 115, la première partie de la nuit, les signalements concernaient plus particulièrement les appels de passants inquiets pour certains SDF (certaines personnes y pretent attention, j'ai trouvé cela touchant ...), la seconde partie de la nuit consistait plus à un "ramassage" des usagers ayant obtenu les faveurs du 115.
Puis nous avons sillonné Paris de signalement en signalement.
Possibilité de visiter les centres de logement et de voir quelles solutions sont proposées a ces personnes, mais malgré ça nuit plutôt calme dans l'ensemble avec très peu de signalements, mais il ne faisait pas extrêmement froid ni trop de vent.
Malheureusement, je n'ai pas eu l'occasion d'effectuer de maraude à cause des signalements réguliers mais surtout du temps de trajet entre la localisation des usagers et les centres d'hébergement où ils étaient transportés.
Ensuite nous nous sommes déplacés dans Paris parce qu'il y avait plusieurs signalements, j'ai pu ainsi voir comment agissait le SAMU social auprès des SDF, leur approche, leur manière d'aborder la conversation, de convaincre les gens de dormir dans un centre d'hébergement pour ensuite rencontrer une assistante sociale.
Même si nous avons pu trouver un toit où dormir pour la plupart de nos signalements.
Nous avons Fait celle " de signalement du 10 et 19 e " , mais nous avons de nombreuses fois ete interpelés par des sdf qui voyaient le camion passer .
Pendant La maraude en camion, j'étais dans le camion "signalement", donc on allait d'adresse en adresse sans trouver la personne parfois, mais le plus souvent on trouvait les gens et on leur proposait une nuit en centre.
Premier signalement de la soirée, un homme seul à accompagner dans un centre d'hébergement.
J'ai beaucoup aimé faire la double écoute ainsi que la maraude, et suivre un signalement du début au téléphone jusqu'au terrain pendant la maraude en pleine nuit.
Tous les camions font ce job et en plus ils répondent à des signalements de personnes sur des sans abris, j'en sais pas beaucoup plus sur ces signalements vu que mon camion ne faisait pas de signalement mais unique de la maraude pure.
La maraude a été très calme en ce qui me concerne, avec peu de signalements, quelques discussions avec des habitués mais qui ne souhaitaient pas d'hébergement.
Je n'ai eu que très peu de signalement durant la nuit mais j'ai pu en accompagner plusieurs au centre de Montrouge, j'ai donc pu visiter ce centre!
C’etait un signalement sans beaucoup d’information : sexe, tenue, âge, et localisation.
Jai ete affecte au 19e arrondissement donc deja presque 1h de trajet pour s'y rendre et ensuite nous n'avons trouvé aucun dès signalement du coup la maraude a consisté à visite Paris en camion la nuit, c'est joli mais étant obligé d'aller en stage le lendemain (car échanger sa garde au SAMU social le 11 juillet = miracle) je m'en serai bien passé.
L'équipe au complet dans le camion, on se dirige vers les premiers signalements. […] On voit aussi la chance quand devant un signalement disparu on le retrouve deux rues plus loin..
Dans la seconde partie de la soirée, nous sommes partis à 4 (un chauffeur, une éducatrice spécialisée et une infirmière et moi) en camion pour aller voir les "signalements". Un signalement m'a particulièrement marquée : il s'agissait d'un SDF aveugle, connu du chauffeur depuis des années, que l'on a trouvé assis par terre et que l'on a ramené dans sa chambre d'hôtel (si l'on peut appeler ça un hôtel vue l'insalubrité des locaux, bien qu'étant situé en plein coeur de Paris).
De signalement en signalement, le camion se remplit.
Le premier signalement que nous avons eu était celui d'un jeune couple de 18 ans, à la rue depuis plus de 3 mois...
Pendant ma nuit, nous avons emmené un patient aux urgences, suspicion de pancréatite j'ai vu donc l'importance des signalements.
La maraude a commencé avec un signalement pour une femme isolée qu'on nous avons ramené pour la nuit au centre d'hébergement de nuit de porte d'Orléans.
J'ai d'ailleurs eu la chance (par hasard) de recevoir un signalement en double écoute, puis d'aller récupérer cette même personne avec le camion plus tard.
La seconde partie de la garde dans le camion permet de découvrir des situations très variées, entre signalements et maraude, café, logement, problèmes médicaux, problèmes sociaux...
Ensuite je suis partie avec le camion pour des signalements et pour marauder.
On a pas tant maraude que ca car il y a eu beaucoup de signalements mais globalement ce fut une experience enrichissante et j'ai apprecie l'accueil de toute l'equipe qui a su me faire sentir integree au groupe.
Enfin je regrette de n'avoir pas été plus en contact avec les personnes "secourues" faute de signalement et d'expérience...
Ma nuit a été un peu particulière car je n'ai pas participé aux maraudes "classiques" qui se déplacent avec des signalement mais j'ai fait ce qu'ils appellent une pure.
Nous avons durant la maraude repondu a un signalement et recueilli une mere et ses trois enfants en bas age, ils avaient en attendant été mis a l'abris dans la voiture d'une particulière qui avait ensuite alerté le 112, les enfants avaient froids et ne savaient pas trop ce qu'il leur arrivait.
Le format de la garde est idéal, nous permettant de découvrir dans un premier temps les double-écoutes et le système de places en foyer/boulangerie, puis ensuite la réunion de débrief et l'organisation des camions et enfin les maraudes et les envois sur signalements.
Lors de la maraude nous n'avons pas eu beaucoup de signalement, j'ai vu peu d'usager mais j'ai quand même pu en accompagner un dans un centre d'hébergement, il était endetté et en pleine procédure judiciaire.
Concernant la maraude, on a commence par les signalements.
Après quelques soupes chaudes ou chocolat apportés aux personnes isolées aussi bien qu'aux familles, nous avons suivi les divers signalements pour amener quelques personnes jusqu'à des centres d'hébergement pour la nuit.
Je ne savais pas qu'on pouvait nous-même appeler le 115 pour faire des signalements.
On reçoit un signalement d'un homme qui ne souhaite pas d'hébergement pour la nuit, mais juste que le SAMU SOCIAL passe le voir, pour un café peut être, ou une soupe, ou juste discuter.
Au cours de notre maraude, nous avons été appelé pour un signalement concernant une famille sans plus de précision.
Un événement m'a particulièrement marquée : en début de soirée, nous avons commencé la maraude avec un signalement concernant trois SDF qui avaient appelé pour dormir une nuit au centre de Montrouge.
Durant la nuit, nous avons eu uniquement un seul signalement, une dame très drôle, un peu paniquée à l'idée de dormir sous la pluie et qui fait l'objet d'une veille par le SAMU social.
Lors de la maraude, nous sommes allés au contact des gens, principalement en réponse à des signalements.
Apparemment, les nuits sont plus ou moins stimulantes selon les arrondissements, j'ai personnellement été affecté dans le camion partant pour le 16e arrondissement réputé calme mais j'ai quand même pu voir toutes sortes "d'interventions" différentes: simple bonsoir à un usager connu, amener un usager dans un centre d'hébergement, s'arrêter pour donner un repas à des usagers qui ont la chance de nous voir passer, aller voir un signalement puis le rediriger soit en hébergement soit à l'hôpital.
J'ai effectué la maraude et le signalement dans le 15 ème arrondissement un samedi soir. […] Après un très court briefing, nous sommes donc partis à la rencontre des divers signalements.
J'ai fait la maraude dans le 18ème : pas de signalement dans ce secteur, on a juste arpenté les rues pendant des heures (5 à 6h) à regarder les trottoirs, rencontre de quelques SDF, et approche très courte de la part de l'équipe. […] - si possibilité d'horaires différents : alors rencontre avec des assistantes sociales qui sont seulement présentes la journée, de plus possibilité de faire aussi des maraude en journée +++ - aucun intérêt d'être affecté à un secteur où il n'y a que de la maraude mais pas de signalement
Deux choses m'ont particulièrement frappé, la première c'est que malgré les -10 degrès lors de ma nuit au samu social, seuls 3 personnes ont voulu allé dans un centre d'acceuil pour la nuit sur les 28 signalements que nous sommes allé voir.
Avec le contexte de grève et de mauvais temps j'ai malheureusement assisté à très peu de signalements, mais cette nuit m'a quand même été intéressante et utile, bien que le fait qu'elle soit obligatoire même en cas de jour férié ou week-end me semble un peu excessif sachant qu'on a déjà beaucoup d'autres gardes selon les services.
On a sillonné Paris en se concentrant sur certains quartiers selon les signalements du 115.
J'ai constaté les moyens et l'utilité du samu social mais également ses limites avec un cas qui m'a particulièrement marqué: nous avons eu vers 3h un signalement concernant un couple, une femme handicapée en fauteuil roulant dépendante, ne pouvant faire ses transferts ou sa toilette seule et son compagnon très autoritaire à la limite de la violence.
La maraude/signalement est intéressante humainement.
Pendant cette nuit, j'étais dans l'équipe qui s'occupait des signalements, c'est à dire que dès qu'on nous signalait une personne dans la rue, il fallait aller avec le camion à sa rencontre.
Ce téléphone permet d'entretenir un lien avec le centre 115, qui nous fait part des signalements faits dans notre terrain de maraude (3 arrondissements par équipe). Lorsqu'il n'y a pas de signalements, le camion fait des rondes jusqu'à trouver des gens dormant dans la rue, seuls, avec des amis, ou en famille.
Dès le début de la maraude, nous avons reçu un signalement pour une dame de 70 ans qui était dans un refuge pour mise à l'abri sans aide paramédical disponible sur le lieu.
Lors de notre nuit, nous avons été sur deux signalements.
Signalement : « appel d’une personne non déclarée sans--abri afin de prévenir l’institution de la présence d’un sans--abri dans l’espace public ».
L'équipe avec qui j'étais m'ayant très bien pris en charge et intégré (et je les en remercie), m'expliquant chacune de leurs actions (maraude, signalement,...) , et me faisant participer à la prise en charge des SDF de façon active (distribution de café, de soupe chaude, de couverture de survie, discussion avec les SDF à l'extérieur puis à l'arrière du camion,...).
Notre maraude n'a eu aucun signalement dans le nuit, pourtant nous n'avons pas chômer.
Comme j'étais dans le camion qui s'occupait des signalements, j'ai pu assister au placement de cette dame qui, quand elle n'a pas de place dans un centre, doit passer ses nuits à l'aéroport pour dormir.
J'ai été déposé plus tôt car il n'y avait plus de signalements ni de places en foyer, j'ai pourtant vu et appris beaucoup de choses tout en ayant pu dormir une partie de la nuit, et un retour vers 1h me paraîtrait une meilleure solution pour profiter pleinement de l'expérience.
L'ensemble de l'équipe est super acceuillante, super sympathique J'ai eu la chance d'avoir une nuit plutot calme, pendant laquelle nous avons eu peu de signalement, ce qui nous a permit de passer beaucoup de temps à marauder, et aller au contacte des gens.
Nous sommes aller sur quelques signalements d'abord, puis nous avons marauder.
On a reçu un signalement pour Un usager sdf les cheveux en batailles les lunettes sales qui ne se déplace plus se nourri par des dons de passants.
On a reçu un signalement pour Un usager sdf les cheveux en batailles les lunettes sales qui ne se déplace plus se nourri par des dons de passants.
On a reçu un signalement pour Un usager sdf les cheveux en batailles les lunettes sales qui ne se déplace plus se nourri par des dons de passants.
Durant la nuit, nous n'avons pas eu beaucoup de signalements, nous avons fait principalement de la maraude.
La maraude est aussi très bien organisée, les signalements apparaissent sur la tablette et par appel, on a également des traducteurs.
On a eu un signalement de deux couples, l'un avec un nourrisson de 1 mois et l'autre un enfant de 2 ans.
Le début du voyage a été calme puis vers 23h, nous avons finalement reçu plusieurs signalements dans les alentours.
Nous avons reçu un signalement pour une femme d’une quarantaine d’années afin de l'accompagner jusqu'à un centre d’hébergement pour la nuit unique.
Par la suite nous sommes partis en maraude mais la nuit était très calme et nous n'avons pas eu de signalement particulier.
Selon les signalements de la journée, on va à la rencontre des personnes isolées dans la rue pour une évaluation social et infirmière.
Le seul point négatif de la nuit fut la pluie, ce qui fait que malheureusement ,comme nous n’avons pas eu de signalement dans notre secteur lors de la 2ème maraude, nous n’avons rencontré que peu de personnes.
Nous avons recu un signalement d'un jeune homme de 20ans, aux urgences de Saint Louis.
Peu de signalements à la radio.
Ensuite nous sommes allés voir les personnes pour lesquelles on a eu un signalement.
On a fait uniquement des signalements comme il y en avait beaucoup.