SAMU social font un travail humanitaire qui aide beaucoup les gens plus demunis mais malheureusement , il n ' y a pas assez des places disponibles pour recuiller tous les sdf qui appellent.
Elle nous permet de prendre conscience des difficultés en lien avec l'exclusion sociale, et de réaliser que le système, tel qu'il existe aujourd'hui laisse malheureusement de nombreuses personnes dans une impasse. […] Ce genre de situation n'est malheureusement pas si rare, d'après mes encadrants.
Malheureusement le samedi soir il n’y avait pas de réunion à 20h pour faire le point. […] Malheureusement, on se sent parfois completement désarmé.
Donc je ne suis malheureusement pas resté..
Malheureusement on ne peut dans la plupart des gars aider à trouver un logement que pour une nuit... J'ai aussi pu voir ce qu'étaient la fidélité et le courage, une femme ne voulant se loger que si sa consœur de l'autre côté de la rue est d'accord et ce ne fut malheureusement pas le cas...
Ce qui m'a vraiment marqué c'est le nombre de personnes qui viennent à la rencontre du samu social pour demander un logement pour la nuit, et malheureusement se voit refuser pour cause de manque de place dans les centres. Malheureusement, je pense que de rendre cette garde obligatoire est une erreur, les personnes travaillant au samu social m'ont confié que parfois l'externe était "de trop" car il prenait forcément un siège qui pourrait être utilisé par une autre personne.
Malheureusement la maraude de nuit etait dans le 16eme, l'activite etait donc tres faible et non representative et la garde s'est un peu résumée a un trajet en voiture de 4h !
Malheureusement je t’ai trouvé qu’on ne leur apporte pas beaucoup, manque de moyen.
Elle permet de se rendre compte de la réalité des choses, que malheureusement le monde n'est pas tout rose et que de nombreuses personnes sont en difficultés. […] Malheureusement toutes les demandes ne peuvent pas aboutir.
Cette garde m'a permis également de découvrir l'existence du 115 que malheureusement je ne connaissais pas.
qui plus est les etudiants l ayant realise se souviennent malheureusement que des evenements qui les ont amuse ou effraye,c est presque une attraction du parc eurodisney...
Malheureusement trop minime face au nombre important de sans domiciles.
Malheureusement, le SAMU SOCIAL ne peut que proposer des aides temporaires.
La garde au Samu social fut une expérience intéressante, malheureusement j'aurai aimé davantage parler aux personnes dans la rue, comprendre leur parcours.
Cette rédaction n'est malheureusement pas écrite dans la période limite des trois jours et il y aura probablement des fautes d'orthographe!
Malheureusement je vois que vos critères de validation des gardes comme celle-ci n'ont pas évolués (3 phrases avec moins de 3 fautes d'orthographe...).
Le simple fait d'avoir quelqu'un à qui parler semblait leur faire plaisir et chaque rencontre a été différente et intéressante J'ai malheureusement été malade pendant la maraude mais ce n'est pas ce que je retiens
J’ai aimé cette expérience mais malheureusement lors cette dernière nous n’avons pas rencontrer énormément de sans abris.
Malheureusement je n'ai pas vraiment eu l'occasion de discuter avec les personnes que nous avons aider.
Cela change beaucoup dans l'approche des personnes qui espèrent une place en hébergement d'urgence en nous voyant arriver, mais malheureusement c'est aussi souvent source de grandes déceptions, le nombre de places étant très restreint.
Malheureusement c'était une nuit très calme donc peu de signalements et peu d'interventions.
Malheureusement nous avons mis du temps avant de trouver les signalements parce qu'ils avaient téléphoné plusieurs heures avant.
Bien que provenant d'un milieu social favorisé j'avais conscience que certaines personnes vivaient dans des situations extrêmement précaires, cette garde ne m'a malheureusement pas appris grand chose de ce côté là.
Je n'ai malheureusement pas participer au briefing car on m'a en quelque sorte oublié : j'étais en double écoute et personne ne m'a prevenu que le briefing avait lieu...
Malheureusement, le SAMU social manque de moyens : très peu de sacs de couchage, soupes et cafés limités...
Je pense que cette garde aurait pu être intéressante malheureusement il a plu toute la nuit et lors de la maraude nous avons donc rencontrer peu de personnes dans la rue.
L'équipe était très professionnelle mais malheureusement j'ai été déçue de voir qu'on avait si peu de solutions à proposer.
Malheureusement, et ça tout le monde le sait, il n'y a pas assez d'abris, et voir autant de personnes dormir dehors dans ce froid fait beaucoup de peine.
Malheureusement j'ai été dans un camion de maraude pure dans le 16ème arrdt, c'était une bonne visite des rues du 16ème mais nous n'avons pas vu beaucoup de SDF, nous avons parlé seulement à 2 personnes.
Le samu social se bat chaque jour et chaque nuit pour héberger ces personnes, malheureusement les habitations ne tombent pas du ciel et il n'y a pas assez de moyen pour toutes les aider ....
Je ne pense pas qu'il devrait y avoir de discrimination a ce niveau la mais malheureusement si.
L'isolement social a de nombreuses formes diverses et le 115 ne peut malheureusement répondre qu'à l'urgence.
C'est aussi triste de voir que malheureusement il y a énormément de famille avec nouveau-nés dehors...
La maraude a malheureusement était un peu moins intéressante car nous n'avons eu que deux interventions.
La maraude est particulièrement intéressante de part la diversité des rencontres : alors que certains sont très demandeur de l'aide proposée, d'autres sont réticents mais finissent par accepter, d'autres encore refusent malheureusement tout contact...
C'est une expérience qui nous permet de développer nos relations humaines et d'éveiller en nous le côté humanitaire, que je trouve, qu'on oublie malheureusement trop souvent dans la pratique courante de la médecine.
Malheureusement, ce fut quasiment toujours pour leur annoncer qu'aucun centre ne pouvait les héberger cette nuit là.
Malheureusement parfois j'avais l'impression de ne pas servir a grand chose car je n'intervenais pas vraiment dans la discussion.
Malheureusement, les moyens mis à la disposition des plus démunis sont à la limite de l'acceptable: ceci contribue efficacement à re-contextualiser la situation de nombreux patients que l'on peut voir à l'hôpital.
Malheureusement le problème du logement se repose quotidiennement pour les habitants des rues et le SAMU social, bien que dispensant une aide indispensable et remarquable pour les sans-abris reste une solution d’urgence et ne leur permet pas une réelle insertion socio-professionnelle.
Au passage, elle fut voilé devant ses enfants, ce qui est malheureusement fréquent dans ces situations.
J'ai eu l'occasion de participer à une maraude, l'occasion de voir qu'ici à Paris on retrouve malheureusement beaucoup de SDF qui sont obligés de passer la nuit dans le froid par manque de centres pouvant les accueillir la nuit.
Ce n'est pas l'objet du samu social, mais malheureusement la France n'a pas de proposition sociale pour ces gens.
On se rend compte que beaucoup de personnes appellent et malheureusement il y a parfois plus de places disponible dans les centres d'hébergement pour certains.
Nous n'avions malheureusement pas assez de couverture pour tout le monde ce qui provoqua en moi un sentiment d'impuissance et de regret.
Malheureusement, j'ai trouvé dommage de ne pas pouvoir parler plus longuement aux SDF, les échanges étant très brefs.
Cette garde m'a permis de me rendre compte de l'importance et de l'utilité du samu social mais malheureusement de voir aussi ses limites.
Cette maraude permet de voir les différentes structures et les aides mises en places pour les sans abris, ça nous permet également de voir qu'on ne peut malheureusement pas régler tous les problèmes faute de place dans les centres d'hébergement.
Beaucoup d'entre nous ne connaissent pas la réalité de ces gens qu'on voit beaucoup à l'hôpital mais malheureusement peu connaissent la vrai réalité des difficultés de ces gens.
Les maraudes en camion étaient très enrichissantes également, par le fait qu'on allait au contact d'individus sans abris auxquelles malheureusement on ne fait que rarement attention en dehors de cette nuit de garde.
Malheureusement, j'ai eu beaucoup de mal à voir en quoi ce que nous faisions était vraiment utile aux sans-abris.
Nous lui avons donnés RDV et sommes partis le chercher afin qu'il passe la nuit dans un centre d'hébergement adapté à son âge et à sa fragilité, ce qui malheureusement n'est pas toujours possible faute de place...
Cette famille m'a touché car il venait de se faire voler tous leur bagages alors qu'ils sont demunis, malheureusement le week-end il n'y a pas beaucoup de place pour les familles, donc ils ont du dormir dans la rue.
Malheureusement, celui-ci étant à la rue également ne peut pas l'aider. […] Finalement le SAMU social a réussi à lui trouver une place dans un centre pour familles, mais malheureusement cette solution n'était que très transitoire, pour deux ou trois nuits tout au plus.
On croise des profils de gens à la rue très différents, on se rend compte que chaque jour on croise bien plus de gens SDF que ceux que l'on remarque malheureusement.
Malheureusement, je n'ai pas eu l'occasion d'effectuer de maraude à cause des signalements réguliers mais surtout du temps de trajet entre la localisation des usagers et les centres d'hébergement où ils étaient transportés.
La garde du SAMU social était une expérience malheureusement courte, mais très instructive sur son système de fonctionnement (p.ex. comment organiser un lit infirmier pour un patient en détresse social nécessitant des soins au décours de sa sortie de l'hôpital).
Mais en même temps, cette nuit m'a empli de frustration dans le sens que finalement beaucoup n'ont pas eu la chance d'avoir une place pour pouvoir dormir au chaud et aussi que malheureusement la prise en charge du 115 se résume souvent à du court terme, et je trouve cela très frustrant, même si les équipes font du mieux qu'elles peuvent pour à leur échelle aider ces personnes démunis à se réintégrer dans le système.
Étant la première maraude que j’effectuais, j’ai trouvé cette expérience très instructive et très révélatrice de la détresse d’un nombre beaucoup plus important de personnes que ce qu’on voudrait bien croire malheureusement.
Malheureusement il n'y avait pas d'infirmiers avec nous car le personnel manque.
Et malheureusement, même s'il y a des pancartes diffusées dans Paris, elles n'évoquent pas clairement de quoi il s'agit.
On salue l'implication des employés, mais on se demande si malheureusement le SSP n'est pas en train de vivre ses derniers mois...
Malheureusement je n'ai pas pu assister au briefing de 20h car il ne s'effectue pas le week end.
Malheureusement, trouver 7 places en hebergement est très compliqué.
Malheureusement, en raison du grand nombre d'appel, nous n'avons pas pu parlé aux personnes.
Nous croisons souvent des personnes sdf dans la rue et malheureusement dans notre vie de tous les jours nous n'y prêtons pas forcément attention.
Le plus dur sera de leur annoncer qu'il n'y a plus de place dans les centres d'accueil et qu'ils devront malheureusement passer la nuit dehors, encore... […] Malheureusement, le plus difficile aura été de constater que l'on est limité, par manque de personnel, par manque de moyens, par manque de places dans les centres.
Malheureusement je n'ai pas pu assister à la réunion de 20h.
Au cours de notre formation, nous n'avons malheureusement que très peu de temps accordé à la dimension sociale de la médecine et proposer ce type "d'atelier" est une bonne chose.
Les places étant très limitées, il y a malheureusement beaucoup de personnes qui n'ont pas de réponse positive.
Malheureusement, la plupart des personnes qui appelaient n'ont pas pu avoir de lit pour la nuit.
Je suis intéressé par l'humanitaire mais je n'ai malheureusement pas le temps de m'y investir dans le cadre de mes études.
Le personnel était sympathique, connaissaient, malheureusement, bien trop certaines personnes vivant dans la rue...
Malheureusement les lignes sont saturés, ainsi que les foyers, beaucoup de personnes n'ont pas la chance de trouver une place, il est difficile de repartir et les laissés dans leurs situations.
Il avait l'air particulièrement fatigué, nous n'avons malheureusement pas pu lui procurer de place et j'ai senti la déception et une accumulation de fatigue en lui..
Malheureusement on se rend tout de suite compte qu'il n'y a plus de place à l'heure à laquelle on arrive et que les appels reçus essuient malheureusement des refus.
Une assistante sociale, présente à bord du camion, discute avec le SDF pour tenter de faire un point rapide sur sa situation et l’informe de la possibilité d’un entretien le lendemain avec une assistante sociale du centre d’hébergement si il passe la nuit là bas, dans la limite malheureusement du nombre de places disponibles.
J'ai eu cette chance avec une équipe sympathique et dynamique mais d'après les retours que j'en ai eu ça n'est malheureusement pas toujours le cas..
Bien qu'apporter nourriture, boissons chaudes, draps et vêtements propres soit d'une grande aide dans l'urgence, cela ne permet malheureusement pas aux sans abris de sortir de la rue à terme.
Le numéro du 115 était constamment saturé et nous n'avons malheureusement pas pu trouver de place pour tout le monde mais ce que je retiendrais surtout, c'est le courage des équipes qui affrontent la détresse au quotidien et la gentillesse de toutes les personnes que nous avons rencontré.
Malheureusement, un sentiment de "non finalité" me reste : on ne propose à ces personnes lors des maraudes que des solutions provisoires...
S’arreter pour parler et aider comme on peut ces gens, que l’on croise tous les jours mais auxquelles malheureusement on ne fait pas forcément attention.
Malheureusement je n'ai pas toujours trouvé ces échanges très clairs, et les démarches administratives rendent la tâche très complexe : au cours de mon écoute, plusieurs femmes enceintes ont appelé, il leur était alors expliqué qu'elles devaient aller récupérer un certificat attestant leur grossesse puis le faxer au 115, la barrière de la langue et les difficultés de compréhension rendaient parfois ces échanges compliqués.
Ensuite on voit rapidement que les personnes vivant viennent beaucoup d'eux même vers nous, ils sont malheureusement habitués.
Malheureusement avec la pluie nous n'avons croisé qu'une dizaine de personne à qui nous avons offert des cafés.
Malheureusement, en ce moment, il est quasiment impossible de trouver une place dans un centre d'hébergement.
Je pense qu’il est important pour tous les étudiants en médecine, dentaire, sage-femme, pharmacie, ou dans le milieu social, d’effectuer une garde au SAMU SOCIAL, car dans nos stages on ne se rend pas forcément compte qu’il existe une aussi grande précarité, un besoin tant profond et malheureusement non assouvi d’aide au logement, d’aide à l’éducation ...
J'ai vite été choquée de constater l'importance du nombre d'appel à l'aide des personnes sans abris avec malheureusement si peu de places vacantes dans les foyers.
Nous avons pris en charge 2 d'entre eux pour les amener à un centre d'hébergement mais malheureusement l'information avait été mal transmise pour l'un des 2 sans abris que nous avons fait monter dans le camion puisque celle ci était en fauteuil roulant et la place disponible dans le centre d'hébergement n'était pas accessible aux personnes à mobilité réduite.
Durant la double écoute, j'ai pu me rendre compte du nombre d'appel que reçoit chaque jour le samu social, de l'aide qu'il apporte aux personnes en difficulté et malheureusement du nombre de requêtes auxquelles il ne peut pas répondre.
Malheureusement ce cas n’est pas isolé, ils ont rencontré une maman avec un enfant prématuré de deux semaines la semaine passée.
Avec le contexte de grève et de mauvais temps j'ai malheureusement assisté à très peu de signalements, mais cette nuit m'a quand même été intéressante et utile, bien que le fait qu'elle soit obligatoire même en cas de jour férié ou week-end me semble un peu excessif sachant qu'on a déjà beaucoup d'autres gardes selon les services.
J'ai pu constater que malheureusement il n'y a pas assez de place pour accueillir les personnes qui le demandent et la majorité est obligée de passer la nuit dehors.
La réalité est tout autre malheureusement, j'ai appris en discutant avec les responsables que à peine 1personne sur 10 composant le 115 est susceptible d'être logée pour la nuit .
Lors de la double écoute j'ai trouvé important le fait de tenter de répondre aux appels à l'aide de ces personnes bien que malheureusement par rapport au nombre de places disponibles pour un hébergement les moyens étaient très limités et souvent la réponse n'était pas celle à laquelle aspiraient ces personnes. […] Il est cependant dommage d'avoir des ressources limitées pour obtenir un hébergement, ne serait-ce que parce que certaines institutions refusent catégoriquement d'accueillir ces personnes qui sont pourtant des êtres humains comme nous tous, faute d'argent et d'institutions mis en place dans ce but, et malheureusement il reste difficile d'aider ces personnes qui sombrent très souvent dans l'alcool et qui utilisent le circuit du SAMU SOCIAL sur plusieurs années, parfois des dizaines, parfois jusqu'à leur décès.
Malheureusement, la maraude comprend pas mal de temps passé au téléphone, ce qui n'est pas très passionnant mais bien sûr nécessaire.
On se sent impuissant face à la situation car le but est d'aider ces personnes en détresse mais malheureusement on ne peut pas répondre à leur demande par manque de moyens.
Malheureusement sur une quinzaine de sans abris que nous sommes aller voir , seulement deux ont accepté d'être hébergés pour la nuit .
On se rend compte de la grande diversité des personnes qui contactent le SAMU Social, de même que celles rencontrées dans la rue: ce qui m'a frappé, c'est que certaines de ces dernières personnes ont un salaire certes précaire mais stable et gardent un contact social important (contacts réguliers avec des habitants), mais ces personnes font partie malheureusement d'une grande minorité qui souhaite s'en sortir.
Le souvenir le plus marquant restera, malheureusement, cette situation plus qu'aberrante et inadmissible aux urgences d'un hôpital privé de Paris : refus de prise en charge de patients graves, maltraitance, exclusion et refus d'orientation vers un CH de l'aphp.
Malheureusement, nous n’avons pas pu faire beaucoup plus pour lui que lui donner la place en CHU et lui conseiller une AS.
C'était parfois frustrant de ne pas pouvoir faire plus mais malheureusement les moyens disponibles restent limités.
Malheureusement il n'y avait pas de place dans les centres d'accueil, et après avoir "négocié" pendant plusieurs minutes avec l'hôpital Robert Debré, nous avons obtenu une "mise à l'abri" pour cette famille.
Malheureusement, les capacités d'accueil sont saturées en terme d'hébergement...
Malheureusement pour moi cette expérience humaine a été très pauvre, pauvre en évènements, pauvre en contact humain, pauvre en discussions et finalement pauvre en apprentissage.
Cela m'a fait "très plaisir" de pouvoir prendre du temps et de m'occuper de ces gens, que l'on voit malheureusement de plus en plus de nos jours dans les rues.
malheureusement se débrouiller et lutter contre le froid déjà bien prononcé de ce mois d'octobre.
En effet, la demande de la part des sans abris est très forte sur Paris, et malheureusement il est impossible de trouver des places pour tout le monde et d'accéder à toutes les demandes.
Je pense que le financement du budget accordé au Samu Social est malheureusement trop bas pour envisager une action plus significative
Nous n'avons malheureusement rien pu faire à part donner du thé et des biscuits.
En conclusion, une garde très intéressante et formatrice moralement mais le tout est de tomber sur une bonne équipe, ce qui n'est malheureusement pas toujours le cas et c'est très dommage car cette garde permet une grande ouverture d'esprit (comme la double-écoute à SOS-amitié).
Le seul point négatif de la nuit fut la pluie, ce qui fait que malheureusement ,comme nous n’avons pas eu de signalement dans notre secteur lors de la 2ème maraude, nous n’avons rencontré que peu de personnes.
Ok, quand on se balade dans Paris, on voit malheureusement des SDF à chaque coin de rue, ça fait mal au coeur mais ça s'arrête là.
J'ai été malheureusement étonné par le si grand nombre de gens dehors.
Ok, quand on se balade dans Paris, on voit malheureusement des SDF à chaque coin de rue, ça fait mal au coeur mais ça s'arrête là.
Malheureusement il n'y a pas assez de places pour loger tout le monde ...
Je suis reconnaissante d' avoir pu participer à la maraude et d' avoir pu établir un contact avec des personnes malheureusement trop souvent mises de côté et qui ont beaucoup à partager, de pouvoir leur serrer la main et simplement discuter pour leur montrer qu'ils ne sont pas seuls et qu'ils peuvent compter sur le Samu social dans le cadre notamment des veilles.
Beaucoup de gens le saluaient en passant (il est connu du quartier) et il était très souriant et jovial (pourtant je pense malheureusement que son état de santé commence à décliner...). […] Nous en avons croisé au moins 4 autres pour lesquels malheureusement il n'y avait plus de places d'hébergement, nous leur avons donc distribué des soupes et boissons chaudes ou duvets.
Heureusement qu'ils existent ce genre d'aide, bien que malheureusement ce n'est pas possible de répondre à toutes les demandes du fait d'un manque de moyens financiers et d'un manque de logement notamment.