On découvre également que des appelants sont des "habitués" et téléphonent très régulièrement car leur situation ne s'améliore pas. […] On découvre tout un univers qu'on ne connait pas, tous ces moyens mis en oeuvre pour venir en aide aux sans domicile fixe.
Je suis vraiment reconnaissante d’avoir pu participer à cette maraude, elle m’a permis de continuer à garder espoir en l’humanité et de découvrir les aides disponibles aux personnes exclues qui vivent dans un monde que l’on cache de nos yeux naïfs.
C’est une expérience intéressante qui permet de découvrir l’une des principales missions du Samu social.
Cette nuit m'a donc permis de découvrir toute l'organisation du samu social et je dois dire que j'ai été agréablement surpris par les moyens mis en oeuvre pour s'occuper des SDF.
Cela m'a aussi permis de découvrir comment aller vers les sans abris, leur parler et comment les aider.
J'ai découvert un nouveau monde auquel je ne m'attendais pas mais dans lequel je me suis vraiment senti à l'aise.
Je pense que cette expérience est bénéfique, il est intéressant de découvrir le fonctionnement du SAMU Social, dont on ignore beaucoup de choses avant de venir.
On découvre cet homme barricadé dans une cabine téléphonique pour que personne ne puisse le déloger, emmitouflé sous des couvertures.
tout est à découvert !
Ce stage d'observation d'une nuit me parait cependant un peu court pour découvrir toute la variété de l'activité du SAMU social.
J'avoue ne pas avoir d'attirance particulière pour la cause des SDF mais cette garde nous permet au moins de découvrir les structures et les gens qui s'occupent d'eux.
J'ai ainsi découvert l'organisation en amont nécessaire à l'organisation de ces descentes, le suivi aussi qui était très important (notamment lors du débrief de 20h) - SAMU ne rimant pas seulement avec une aide ponctuelle - avec des problématiques soulevées par exemple sur le placement en structure pour quelqu'un avec des exigences singulières...
J'ai pu découvrir la différence de regard entre le personnel médical aux urgences, qui n'ont pas vécu la prise en charge de ces personnes depuis le début, et celle du personnel du SAMU social.
Cette nuit au SAMU SOCIAL m'a permis de découvrir le fonctionnement d'une association que nous cotoyons très peu dans l'exercice de notre métier.
J'ai pu découvrir comment le 115 fonctionne, comment les places sont attribuées pour la nuit et j'ai même eu l'occasion de "visiter" un des centres d'accueil.
Grâce à cette garde, j'ai découvert un monde de la nuit que je connaissais pas, un peu la face cachée de Paris mais tout de même bien visible.
C'était une superbe expérience pour moi qui découvrais les maraudes et je tiens à remercier l'équipe qui a tout fait pour faciliter mon intégration.
J’ai découvert aussi que des consultations de gynécologie étaient organisées dans le centre, et je trouve ça super!
Je ne connaissais pas les missions du Samu Social, cette nuit a été l'occasion de les découvrir.
J'ai découvert cet organisme social, qu'est le 115, et je trouve son rôle important.
Il était intéressant de découvrir le fonctionnement du SAMU social et du 115.
Enfin, j'y ai découvert des postes de médecin que j'ignorais et qui m'intéresseront surement plus tard. […] J'ai découvert le panel des profils qu'ils côtoient et comment ils les identifient.
La double écoute, en première partie de soirée m'a permit de découvrir le milieu, son organisation, l'étendu des activités du samu social ...
La différence aura été de découvrir les centres d’hébergement comme Romain Rolland.
J'entends par la, la première fois que je découvrais son existence, son activité, son rôle, ses objectifs et son accessibilité.
Cette garde m'a fait découvrir des côtés de Paris que je ne connaissais pas.
J'ai vraiment découvert à quoi servait le 115, et que juste appeler et donner quelque min de son temps pouvait permettre à quelqu'un d'avoir un logement pour la nuit Ca permet également de se remettre en question, nous on va se prendre la tête pour des bêtises du quotidien alors que les sans domiciles doivent se soucier de problèmes existentiels tous les jours du genre est ce que je vais manger ou pouvoir dormir aujourd'hui....
Le fait de voir le fonctionnement d'un Samu Social, de découvrir son existence...
J'ai découvert qu'il y avait une grande disparité parmi les différents usagers: différences d'âge, de milieu social d'origine, d'état d'esprit, de culture, de perception de la société.
J'ai pu découvrir cette nuit des personnes très impliquées dans le social et avec la volonté d'aider les gens les plus en difficulté, et tout le personnel du samu social m'a semblé très avenant et bienveillant même si les conditions de travail ne sont pas toujours évidentes.
Je trouve que cette garde est indispensable dans le parcours de l'externe, non seulement pour le fait de découvrir le fonctionnement du samu social de Paris mais aussi pour voir une autre facette de toutes ces personnes sans abris dans un contexte non hospitalier.
Cette garde du SAMU SOCIAL m'a vraiment plu dans le sens où elle m'a permis de découvrir la situation d'extrême isolement dans lequel vivaient certains sans abris.
Avant ma garde au Samu social, je n'avais aucune idée des missions de cette structure, du coup ce fut une excellente occasion de découvrir le Samu social. Tout d'abord, j'ai effectué la double écoute et j'ai découvert comment les fonctionnaires recueillaient les demandes d'hébergement, puis la coordination et l'attribution ou non de places dans les centres.
Au final, cette garde a été formatrice, j'ai pu découvrir quelles étaient les possibilités d'hébergement pour les sans abris, de la boulangerie à Romain Rolland, et du nombre de demandeurs d'un abri malgré le faible nombre de place.
Le matin de ma garde au SAMU Social je découvre en feuilletant un journal gratuit qu'un SDF est décédé d'hypothermie dans sa voiture la veille, sur le parking de l'hôpital de Melun, où je suis en ce moment en stage.
Cette longue conversation avec Mme X m'a fait découvrir les conflits du cameroun, les difficultés de perdre un emploi précaire, la solidarité des exclus… Un vrai voyage social.
Quand on découvre un clochard pieds nus dans ce froid , notre regard diffère spontanément et notre volonté, notre motivation a l'amener dans un centre est immense .
J'ai découvert les différents visages de la précarité, du jeune de 19 ans venu en France pour une vie meilleure, à la personne âgée de 62 ans alcoolisée , en passant par le trentenaire cumulant petits boulots payés au black pour essayer de sortir la tête de l'eau.
Pour ma part, j'avais de nombreux a priori sur les sans-abri, mais cette nuit m'a permis de découvrir que pour la plupart, ce sont des personnes fort sympathiques, très généreuses malgré leur manque de ressources.
J'ai découvert durant la nuit du 20/12/11 à quel point il est facile de se retrouver dans la rue, du jour au lendemain.
Cette garde fut une belle expérience humaine : elle m'a permis de découvrir le quotidien, la misère et surtout le courage de ces personnes qui n'ont rien et qui survivent malgré tout.
C'était très intéressant de découvrir comment fonctionnent les appels et les maraudes.
Ensuite pendant la garde, il est possible de découvrir le monde de la rue avec une équipe de qualité, au mieux avec une infirmière et une assistante sociale qui peuvent répondre à nos questions entre deux interventions.
Elle me semble indispensable, aussi bien en tant que citoyen qu'en tant que futur médecin, pour découvrir ce monde souvent ignoré et connaître les différentes aides et structures qui existent afin de savoir orienter les personnes qui en ont besoin.
Aller de cette manière à la rencontre des usagers m'a fait découvrir Paris autrement.
J'avais bien en tête les camions qui sillonnent les rues de paris la nuit pour proposer une place la nuit, une couverture , un café ou tout simplement venir au contact des gens pour leur parler un peu, en revanche j'ai découvert l'existence des centres de jours avec toute l'assistance médicale, juridique, sociale qu'ils offrent. j'étais étonnée de découvrir qu'ils offraient malgré tout un certain suivi, une certaine stabilité : certains de ces sans abris sont vus presque tous les jours par les équipes qui les connaissent bien, les appellent par leur prénoms...
Ce jeune homme sans affaire qui découvre le froid européen a du dormir seulement 5h dans un dortoir de 100 personnes, pour être rejeté à la rue le matin à 6h.
C'est une expérience très enrichissante qui m'a permis de me rendre mieux compte des situations de vie très difficiles de certaines personnes et de découvrir tous les moyens mis en oeuvres pour les aider.
J'ai découvert comment les gens étaient aidés, savoir ça me soulageait un peu.
Avant la maraude pendant la présentation et la double écoute j’ai aussi bien aimé découvrir les structures d’accueil qui existent ou des choses aussi basiques que trouver une douche gratuite ou des machines à laver, auxquelles on ne pense pas forcément Les points à améliorer seraient : -Du côté de la fac :pourquoi ne pas avancer cette garde en 2ème ou 3ème année car elle se rajoute à notre planning déjà chargé de gardes d’urgences réa ?
J'ai découvert des personnes passionnées par leur métier, et qui sont parvenues à me transmettre cette passion.
On découvre également le métier de travailleur social, un travail si mal payé faisant appel à des valeurs pourtant si essentielles comme la générosité, la dignité et le respect.
Et plus tard au cours de la soirée, j'ai découvert ces gens, pour beaucoup des femmes en situations irrégulières qui souriaient en montant dans le camion et en me disant qu'elles ne m'avaient jamais vu : étais-je nouvelle ?
La maraude était également intéressante pour découvrir les centres d'accueil et les dialogues des personnes et des familles avec l'équipe du SAMU social, cependant il ne me semble pas intéressant de participer à la maraude toute la nuit puisque seules quelques interventions suffisent à comprendre le rôle du SAMU social et son interaction avec les personnes demandeuses de logement.
Les enfants découvrent la chambre, ils ont faim : un chocolat chaud et des petits gâteaux leur sont servis.
Pouvoir découvrir l'environnement de ces personnes défavorisées est nécessaire pour les comprendre.
C'était la première fois que je découvrais le Samu Social et j'ai trouvé cette expérience très enrichissante.
Après la découverte de l'urgence médicale dans les services de SAU ou de SMUR, l'occasion de découvrir l'urgence sociale parfois bien mieux ressentie que le besoin médical par les populations.
La garde au SAMU SOCIAL est une exérience humaine sans égal, et doit être poursuivie le plus longtemps possible pour faire découvrir aux étudiants les milieux défavorisés et un côté de la ville de Paris que l'on ne connaît pas.
Cette garde m'a permis de découvrir un monde que je ne connaissais absolument pas, avec une grande solidarité entre sans-abris (on a vu 2 hommes qui étaient ensembles dans la rue depuis plus de 10 ans et qui partageaient tout; l'un avait appelé les secours quand l'autre avait fait un AVC, puis était allé le voir à l'hôpital et avait eu des difficultés à la trouver car il ne connaissait pas son nom de famille).
J'ai découvert une autre facette de Paris et cette nuit a vraiment transformé mon regard sur les sans-abris que je croise depuis et sur ma manière d'interagir avec eux.
On en découvre énormément en l'écoutant au téléphone.
Expérience très humaine, qui m'a fait découvrir un milieu que j'avoue éviter.
Expérience très enrichissante, avec une équipe géniale, cette nuit m'a permis de découvrir le monde de la rue dont je connaissais l'existence sans vraiment pouvoir l'imaginer et le comprendre, dans sa diversité de profils qui y habitent, depuis peu, temporairement ou de manière prolongé depuis un certain temps.
La France est sûrement pour eux le "rêve américain" ; mais quel cauchemar découvrent-ils en arrivant? […] Au centre d'hébergement j'ai découvert un endroit chaleureux.
C'était un moment vraiment enrichissant dont je me souviendrai, car il fait ouvrir les yeux sur les choses simples de la vie que chacun de nous peut réaliser chaque jour pour aider un peu plus ces personnes, que j'ai aussi appris à découvrir : certaines sont violentes tellement la détresse les a atteints, il est alors difficile de les aider, mais d'autres sont, malgré tous ces malheurs qui leur sont arrivés, tellement attachants, ils ne demandent qu'à parler, ils ont pleins de choses à raconter, ils sont gentils, ils nous aident à ouvrir les yeux sur les choses importantes dans la vie.
C'était la première fois que je découvrais ce métier, je n'avais aucune idée de quel était le travail du SAMU social mais j'étais curieuse.
De plus cela m'a permis de découvrir le 115 ainsi que leurs façons d'attribuer un hébergement (selon la constitution de la famille par exemple).
J'ai ainsi pu découvrir le centre Romain Rolland dont j'ignorais même l'existence avant.
Ma deuxième surprise fut quand je découvris notre camion qui nous guiderait dans les ruelles du 11° arrondissement. 5 pauvres places, 2 burritos, 2 thermos, 10 verres et quelques gâteaux seront nos seules réserves pour réchauffer le coeur de la nuit.
D'ailleurs, nous avons quasiment pendant cette nuit découvert que des nouvelles personnes plus ou moins hostiles.
L'équipe de nuit m'a également fait découvrir les différents lieux d'hébergement de ces personnes sans logement, comme l'établissement ROMAIN ROLLAND, dans quelles conditions est ce qu'ils sont accueillis, pris en charge.
J'ai découvert beaucoup d'amour, j'ai appris qu'on pouvait tisser des liens forts avec des gens alors qu'ils croisent qu'un bref moment nos vies.
Elle nous permet de rencontrer des personnes et de découvrir leurs histoires diverses et variées, toutes différentes.
Au départ, je ne voulais pas du tout assister à cette garde, par manque de motivation, finalement une fois sur place, j'ai appris à découvrir un autre monde, pas celui que je vois tous les jours en sortant du métro.
J'ai découvert pour la première fois le monde du SAMU social à l'occasion de ma première maraude.
J'ai découvert pour la première fois le monde du SAMU social à l'occasion de ma première maraude.
Le point positif est que j'ai pu découvrir les missions du SAMU Social.
Je ne savais pas du tout à quoi m'attendre, et c'est un univers totalement nouveau que j'ai découvert aussi bien dans le quotidien des SDF que dans l'aide qu'apporte le Samu Social.
Pour cette nuit, il faut avoir envie de découvrir le monde des travailleurs sociaux, parler, écouter et poser des questions (sans ça, cette nuit n'a aucun intérêt).
Cette dernière m'a fait découvrir que l'équipe qui maraude forme de véritables liens avec les personnes démunies en les aidant de manière itératives ou même dès le premier contact parfois.
Equipe extrêmement sympathique qui m'a fait découvrir les maraudes pour la première fois !
En tant qu’observateur j’ai pu découvrir l’utilité du SAMU social de paris que je ne connaissais qu’au travers des campagnes de prévention du 115 lors des plans grands froids.
Je n'ai pas découvert l'envers du décors.
Cette maraude m'a fait découvrir des personnes pleines d'humanité, avec des tas de choses à raconter : leurs voyages, leurs origines, leurs souvenirs d'un temps passé.
Je ne sais trop qu'en penser, après tout je n'ai découvert qu'une facette du samu social, l'écoute et la maraude mais il y aura encore des gens dans la rue, des (plus ou moins grands) isolés à qui le contact d'une maraude peut faire du bien et il serait dommage de voir cette activité s'essouffler.
La garde au Samu social est une expérience intéressante qui m a permis de découvrir le rôle de cette structure, tout en étant sur le terrain .
J'ai adoré découvrir le SAMU Social, car je n'avais jamais fait de maraudes pour l'instant, et j'aime aider des personnes fragiles (je suis responsable bénévole de 2 épiceries solidaires "par et pour étudiants" cette année).
J'ai découvert qu'en plus de leurs rôles d'écoute, d'aide et d'orientation, il permet de maintenir un vrai lien avec les personnes isolées et éviter leur retrait de la vie sociale.
En somme, je retiendrai de cette nuit une expérience enrichissante, même si je ne m'y suis pas découvert une passion pour le social.
On découvre les autres facettes de Paris, le monde des sans-abris, sa dureté.
Cette expérience m'a permis de découvrir rapidement les missions du samu social.
Ma nuit au Samu social a été une occasion de découvrir les maraudes et les appels au 115.
Je découvre avec lui qu'il n'a le droit qu'à une seule nuit ici.
Certes sur le plan humain, et social c'était intéressant de découvrir le travail du samu social (qui m'était complètement inconnu), cette notion d'urgence qui n'est pas la même qu'au sens médical du terme, mais au niveau médical justement, je n'ai pas vu tant de choses que ça...
Au décours de la maraude, on découvre un homme avec une grande barbe blanche assis sur le seuil d'un immeuble entrain de lire des journaux d'actualité.
En particulier je pensais que l'action menée était à plus long terme; j'ai été tristement surprise de découvrir que les personnes emmenées une nuit dans un centre d'accueil devront rappeler le 115 le lendemain matin pour tenter d'être de nouveau hébergées le lendemain soir, et ce sans aucune garantie.
Elle m’a permis de prendre conscience de ce qu’était la vie dans la rue et de découvrir les structures qui interviennent dans cette urgence sociale avec ses points forts et ses limites.
mais faire une garde au Samu Social permet de voir la ville sous un autre angle et de découvrir un autre monde...
J'ai découvert l'univers des maraudes, et, eu un aperçu des personnes que l'on peut transporter.
Expérience intéressante sur le plan humain, permet de découvrir le Samu social pour certaines personnes comme moi qui n'en connaissaient pas l'existence ou d'en connaitre le mode de fonctionnement pour les autres.
Et puis cette garde m'a aussi permis de découvrir tout simplement le fonctionnement du SAMU social que, pour être honnête, je ne connaissais que de nom sans pour réellement savoir leur champ d'action etc.
J'ai aussi pu découvrir tout ce qui était mis en place pour les hébergements d'urgence, ce avec quoi je n'étais pas forcément familiarisée avant !
J'ai ensuite effectué 2h de double-écoute avec un opérateur, au cours desquelles j'ai pu découvrir le travail d'écoute, d'orientation et d'aide du SAMU social.
J'étais très curieuse de découvrir le fonctionnement et les actions du Samu Social, et je dois dire que cette garde a parfaitement répondu à mes attentes et interrogations.
Elle m'a permis de découvrir une autre forme de prise en charge que celle des urgences de l'hôpital.
Durant cette nuit j'ai pu découvrir l'association 115, avec son organisation et le dévouement de ses professionnels qui avec peu de moyens tentent de mettre à l'abri les personnes les plus vulnérables, et avoir un peu plus d'informations sur les différents problèmes que rencontrent les sans abris, malheureusement j'ai aussi encore une fois pu voir le mépris de certains professionnels de la santé et du social pour les étudiants en médecine, qui ne souhaitaient pas faire partager leur quotidien ni leur expérience.
J'ai également découvert le revers de la médaille, la négligence avec lequel les partenaires du Samu social pouvaient prendre en charge ceux qu'il leur amène.
Arrives là-bas, le centre Romain Rolland, surnommé RR ou la Rolls Roys du 115, je découvre un centre très acceuillant avec des gens calmes et detendus, de la convivialité, on se croirait presque dans un centre UCPA!
J'ai découvert le Samu social et je trouve que c'est une structure qui est humainement intelligente et bien adaptée au contexte (aux besoins, aux autres acteurs sociaux et aux moyens actuellement mis en place pour répondre aux besoins).
Nuit du 23 janvier 2016, je découvre le 115, le SAMU Social de Paris, ses locaux, son organisation, son réseau, ses belles équipes, et bien sûr ceux à qui elles peuvent apporter leur aide, leur soutien, leur bienveillance le temps d'une nuit.