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29. (2018) Ticket_346

J’ai également trouvé intéressant de voir les dispositifs mis en œuvre pour aider les SDF, dont j’ignorais l'existence : bains douches publics, foyers d'hébergement, fonctionnement du 115, hébergements dans les hôtels, livrets d’adresses disponibles dans les mairies, etc.

30. (2020) Ticket_19

Il résulte quand même une frustration à la fin de cette garde : tant de gens à s'occuper et des moyens toujours insuffisants, un public parfois difficile à approcher, un sentiment d'impuissance.

31. (2019) Ticket_43

Je pense que cette nuit de maraude est nécessaire à tout élèves en médecine (et ailleurs aussi), elle nous fait voir un public que nous ne rencontrons pas à l'hôpital, elle nous fait aller sur le terrain, loin du confort aseptisé de l'hôpital.

32. (2013) Ticket_1683

On comprend vite les failles du système mais aussi ce qui le rend fort : le personnel qui s'investit énormément , les sommes engagées par les pouvoirs publics . […] Un autre exemple de la politique ne ciblant que les enjeux d'urgences est le nombre de chambre d'hôtel loues par les pouvoirs publics chaque nuit .

33. (2014) Ticket_1560

J'ai trouvé ma garde au samu social dans l'ensemble très intéressante, je trouve que c'est une très bonne idée pour les D2 et qu'il faudrait aussi le proposer au grand public.

34. (2011) Ticket_2176

C'est à mon sens un signe de détresse de ce service publique puisqu'il adopte une posture défaitiste.

35. (2013) Ticket_1591

J'espère que les autres équipes étaient plus productives que la mienne sinon c'est clairement de l'argent public jeté par la fenêtre et qu'on ferait mieux de donner aux associations.

36. (2013) Ticket_1796

Parce que le travail formidable qu'effectue le samu social au quotidien est en fait très peu connu du grand public.

37. (2019) Ticket_45

Pour conclure, je pense que j'avais besoin de cette expérience pour accueillir ce public en tant que professionnel de santé dans ma pratique future.

38. (2016) Ticket_1049

Au final, à mesure que la nuit avance, les personnes que l'on rencontre sont de plus en plus alcoolisés et les échanges perdent alors tout intérêt, c'est une sorte de discours de sourd entre des clochards en état d'ébriété sur la voie publique, et nous - un peu comme pendant les gardes aux urgences, mais en moins bien car il n'y a pas le côté médical (suture de plaie ou suivi médical de l'alcoolisation chronique).

39. (2013) Ticket_1600

On croise ainsi des publics différents: les "grands cassés" désocialisés, de jeunes sans papiers ayant fui leur pays en guerre, des femmes abusées, les habitués souvent résignés dont le samu social est le seul lien social, presque familial, qui leur reste etc.

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