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186. (2011) Ticket_2182

Lors de la maraude nous avons ramassé une dame d'une soixantaine d'année ancienne instit qui à ka suite de problèmes de santé à été longtps hospitalisée, a perdu son logement, est sortie de l'hopital pour aller vivre chez ses enfants, puis ses enfants partis en vacances elle s'est retrouvée dehors sans argent et sans appartement, c'était assez bouleversant de voir la détresse de cette femme qui avait une situation plutot correcte et du jour au lendemain n'avait plus rien.

187. (2011) Ticket_2261

C’était en fait la première fois que je passais du temps avec des gens qui vivent dans la rue (ou plus largement, des gens susceptibles de s’adresser au Samu Social).

188. (2020) Ticket_6

La garde au samu social a été un moment très émouvant pour moi et je tiens à remercier tous ceux qui m'ont permis de vivre cette expérience incroyable.

189. (2016) Ticket_951

J'ai été frappée à la fois par tout ce que le SAMU social peut apporter aux gens qui vivent dans la rue et en même temps le manque de moyen.

190. (2016) Ticket_962

Chez ces personnes qui vivent dans la rue, et celles qui y travaillent : car la beauté de la chose est là, dans ce qui nous rassemble, soignants (et j'y inclue le SAMU social) et soigné.

191. (2013) Ticket_1793

Un INR pour un patient sortant de l'hopital, deux fois par semaine, c'est déja vécu comme l'enfer sur terre. […] Le manque de place dans les centres d'hébergements sont des situations vécu comme difficile : soupe chaude et duvet, ce sera tout pour cette fois ci..

192. (2016) Ticket_904

Quand je suis arrivée au siège du SAMU SOCIAL, j'ai commencé par effectuer une double-écoute pour avoir une idée du profil des personnes qui cherchent un logement pour la nuit, dans quelles conditions elles vivent et quelles solutions nous avons à leur proposer. […] L'équipe du camion, en revanche, était très sympathique et je leur ai trouvé une vraie utilité : ce sont eux qui maintiennent le contact avec les personnes qui vivent dans la rue.

193. (2017) Ticket_646

Chacun a tout quitté sauf son vis-à-vis et l'enfant pour tenter de vivre une idée commune qui les fait dépendre davantage l'un de l'autre. Ne sont-ils pas en train de vivre l'amour poussé à l'extrême ? […] Sont-ils heureux de vivre ainsi leur amour ?

194. (2019) Ticket_158

C'était un jeune couple sénégalais qui vivait à la rue depuis plus de 6 mois: depuis leur immigration en France.

195. (2012) Ticket_1933

-Finalement expérience importante, non pas pour nos études médicales, mais pour une prise en compte de la réalité sociale dans laquelle nous vivons et à laquelle la plupart des étudiants ne font pas attention le reste du temps.

196. (2019) Ticket_202

Je me souviens aussi d'un appel téléphonique : une dame venait d'être expulsée du logement dans lequel elle vivait depuis 3 mois avec ses enfants de 15 et 8 ans scolarisés.

197. (2011) Ticket_2216

La seconde est un homme d'une cinquaine d'année alcoolisé un Master de Philosophie (de la Sorbonne) en poche qui vivait dans une cabine téléphonique...

198. (2011) Ticket_2220

J'ai été très surpris par le nombre de personne qui vivent dans la rue, par le nombre de foyers qui sont majoritairement inconnus de la population active et logée.

199. (2011) Ticket_2286

On ne mesure vraiment pas la chance que l'on a de vivre sous un toit.

200. (2019) Ticket_258

Je me souviens aussi d'un appel téléphonique : une dame venait de se faire expulser du logement dans lequel elle vivait depuis 3 mois avec ses enfants de 15 et 8 ans scolarisés.

201. (2017) Ticket_530

Ces gens vivent au jour le jour, heure par heure, la seule préoccupation parfois étant de savoir si le soir ils auront une place à un centre d'accueil pour SDF, quelque chose à manger, un matelas sur lequel dormi.

202. (2017) Ticket_774

Je vais avoir l'air candide en disant cela, mais je ne réalisais pas à quel point il est dur de vivre dans la rue.

203. (2017) Ticket_817

C'est un des points que j'ai aimé : avoir une nouvelle vision de ces personnes qui vivent dans la rue sous mon nez.

204. (2016) Ticket_851

En tant qu'externe aux urgences j'ai été amené à voir plusieurs sans abris , ce serait prétentieux de dire que je sais désormais dans quelles conditions ils vivent .

205. (2016) Ticket_914

Au final, j'ai beaucoup aimé cette expérience, je trouve ça très important d'avoir conscience de la misère sociale dans laquelle vivent tant de personnes quand on s'apprête à devenir médecin.

206. (2017) Ticket_657

Malheureusement ces personnes qui vivent aux pieds de nos immeubles font parties du quotidien et notre esprit les intègre au paysage. […] Comment pouvons-nous prétendre imaginer ce que vivent ces personnes ?

207. (2015) Ticket_1148

Elle nous permet aussi de nous mettre face à la dure réalité de la rue, de la vie que mène tous ces gens, ces familles qui galèrent tous les jours, qui ne vivent plus mais survivent.

208. (2014) Ticket_1470

En tout cas pour ces personnes devant vivre dans la rue chaque jour un éternel recommencement ou il faut se battre pour un lit.

209. (2012) Ticket_1995

J ai vraiment aimé la partie dans le camion, car c'est là qu'on va au contact des gens, parfois juste pour parler et leur demander comment ca va; on voit comment certains vivent regroupés entre eux et ne veulent pas se séparer, etd'autres acceptent d'être emmenés dans des centres d'hebergement pour la nuit.

210. (2012) Ticket_2051

En ça le Samu social est vraiment utile car il permet aux plus exclus de la société de se confier quant à leurs problèmes, et de leur apporter quelques vivres pour les faire tenir encore un peu plus longtemps.

211. (2012) Ticket_2060

J'ai eu l'occasion de côtoyer des personnes qui vivent dans une grande précarité, certaines s'accrochant au lien social, ayant encore des projets et d'autres totalement isolées, n'ayant plus la force ou l'envie de communiquer.

212. (2011) Ticket_2156

beaucoup de rencontre, qui pour quelques une, on été très touchantes: rencontre et dialogue ouvert avec les personnes; on se rend compte de la difficulté de leur situation, la difficulté d'en sortir également, ainsi que la pénibilité de vivre chaque jour dans l'angoisse de ne pas trouver un endroit ou dormir....

213. (2019) Ticket_259

Ne pas pouvoir aider les personnes vulnérables à cause de tout ce qu'elles ont pu vivre est assez remuant.

214. (2018) Ticket_312

Certains étaient dans un état tel qu'ils ne voulaient pas bouger de leur emplacement sous la pluie sur une plaque chauffante, ou sous un pont, et la seule chose qu'on a pu faire pour les aider a été de les couvrir et de les aider à avaler un peu de soupe chaude pour les réchauffer Je considère que c'était vraiment une expérience très importante, qui m'a permis de me rendre compte de ce qu'est vraiment la vie dans la rue, et par conséquent la chance qu'on peut avoir de vivre comme on le fait

215. (2018) Ticket_342

L'expérience sociale en soi ne m'a rien fait ressentir d'inhabituel ou de particulier, pour qu'un peu on se balade dans Paris et qu'on prenne le métro, on est déjà bien habitué à fréquenter et parler avec des gens en situation de détresse sociale et la contribution des maraudes au SAMU sociale m'a paru très peu significative (comme dit plus haut les gens sont hébergés quelques heures à peine, sans réel confort, puis reparte dehors pour plusieurs jours/semaines) hormis éventuellement les duvets et vivre donnés.

216. (2017) Ticket_591

Se rappeler de la misère sociale et de la réalité du quotidien que vivent tant de personnes qu'on croise dans la rue...

217. (2017) Ticket_724

du coup il n y a pas eu beaucoup de contact avec les personnes dans le besoin, je n ai pas pu discuter avec eux pour en savoir plus sur leur vécu, sur leur demande.

218. (2016) Ticket_1074

Après cette dernière semaine, une des plus froides de l'année, marquant l'entrée dans l'hiver cette année où les saisons ne se reconnaissent même plus, où quelques pensées à ceux qui tentent de survivre dans ce froid dans les rues de Paris, après ces regards souvent timides, parfois honteux de ne rien donner, parfois coupables malgré un petit geste, tournés vers ces personnes qui vivent dans la rue, ceux que l'on croit si différents de "nous", comme si une frontière nous séparait, ceux "en marge" de la société? Mais si l'on prend bien le temps d'y repenser, de discuter avec les acteurs sur le terrain et avec ceux qui vivent dans ces rues, le regard devient pas à pas différent. […] La mère et ses enfants vivent en fait à Rennes, dans un logement social, et étaient venus à Paris pour venir chercher la grand-mère qui avait fait tout un périple depuis la Roumanie pour venir jusqu'ici.

219. (2016) Ticket_1098

Pour terminer, j'espère que le partenariat avec le SAMU social continuera encore longtemps pour les autres étudiants, parce que c'est une expérience différente du quotidien qui vaut la peine d'être vécue !

220. (2015) Ticket_1127

Merci de m'avoir donné l'occasion de vivre cette expérience unique.

221. (2015) Ticket_1218

Malgré une petite appréhension face à un milieu que je n'ai jamais fréquenté du tout (en dehors de quelques patients aux urgences), j'ai trouvé cette garde très facile à vivre.

222. (2013) Ticket_1614

En général il perdait son emploi après quelques mois car le rythme était trop dur à suivre avec le fait de vivre dans la rue et il n'arrivait pas à sortir de ce "cercle vicieux".

223. (2013) Ticket_1775

J'ai beaucoup aimé le principe de la maraude, consistant à aller à la rencontre directe des plus démunis, ceux qui vivent dans la rue, dans ces rues que je fréquente aussi tous les jours, mais que je ne connais pas comme eux les connaissent, ces rues.

224. (2012) Ticket_1872

Au final on se retrouve dans le froid à claquer des dents en face de personnes qui elles y vivent et y dorment, dans ce froid, alors que nous on retrouve notre lit le lendemain.

225. (2012) Ticket_1900

J'ai réalisé tant la diversité des chemins qui mènent à la rue que celle des situations sociales des personnes qui y vivent.

226. (2012) Ticket_1956

En fait les vivres et les affaires disponibles chaque soir ne sont pas systématiquement données, et ne sont pas forcément non plus données aux gens qui ne pourront pas avoir de logement pour la nuit.

227. (2016) Ticket_846

Comme quoi, ils ont une famille, une vie, et une fierté pour ne pas vivre au crochet de leurs proches...

228. (2019) Ticket_86

J'ai surtout été touché par la condition des femmes (jeunes) qui vivaient dans la rue, elles n'ont pas de première nécessité (sous vêtements, protections hygiéniques) on leur a donc proposé quelques paires de chaussettes et de culottes.

229. (2016) Ticket_995

De la maraude, j'ai surtout retenu un homme qui vivait depuis 10 ans en bas d'un immeuble, caché derrière des buissons, et qui nous expliquait qu'il partait tous les jours à 7h du matin et ne rentrait que tard le soir pour ne pas importuner les habitants de l'immeuble par sa présence !

230. (2016) Ticket_1001

J'ai partagé la nuit avec des hommes et des femmes que je ne reverrai probablement jamais, pas une seule seconde je ne serai capable de comprendre ce qu'ils vivent, moi qui suis rentrée tranquillement dormir dans mon lit à 4H, mais j'ai appris à prêter attention à ces vies qui sont là dans la rue et que j'évitais le plus souvent dans le métro et dans les gares.

231. (2016) Ticket_1080

Cette garde est très utile pour se rendre compte de ce que vivent les gens auxquels on ne fait pas attention lorsqu'on passe à coté d'eux habituellement.

232. (2015) Ticket_1252

Une chose m'a également étonné c'est que ces personnes employaient assez fréquemment certaines tournures positives : "je suis heureux", " je suis plus heureux qu'avant", "cette façon de vivre me va", comme si leur situation leur convenait.

233. (2014) Ticket_1447

Il me parait important en effet qu'outre l'aide matérielle apportée, une véritable discussion s'engage minimisant ainsi l'exclusion de la personne, qu'il s'agisse de la situation actuelle vécue ou bien même de sujets de conversation divers.

234. (2012) Ticket_1985

La double écoute nous sensibilise aux problématiques quotidiennes des gens dans le besoin, et par exemple les couples qui vivent dans la rue sont souvent séparés par manque de place dans les différents foyers...

235. (2011) Ticket_2187

Pour finir, ce fut une très bonne experience et meme si la plupart d'entre nous ne travaillera jamais au Samu Social je pense que cest bien de l'avoir vécu au moins une fois dans sa vie.

236. (2011) Ticket_2243

Rendre à ce point concrète la situation de détresse - ou d'a-normalité, car il n'y a pas toujours de vécu négatif de la rue - des errants, c'est acquérir une base à partir de laquelle le travail de médecin peu se construire.

237. (2011) Ticket_2248

Nous savons tous qu'il y a des gens qui dorment et vivent dans la rue, on en voit tous les jours et cela fait malheureusement presque parti du quotidien...

238. (2018) Ticket_489

Enfin, je remercie la faculté de m'avoir permis de vivre une telle expérience que je recommande fortement aux prochaines promotions.

239. (2017) Ticket_519

Je trouve que les équipes font un travail formidable et je suis contente d'avoir pu vivre une nuit avec le Samu social de Paris.

240. (2017) Ticket_777

L'appel qui m'a marqué fut celle d'un homme qui vivait à la rue depuis plusieurs mois et qui avaient envie de dormir au chaud cette nuit.

241. (2016) Ticket_882

Ils vivaient dans la rue depuis plusieurs mois voir années et appelaient tous les jours le 115 pour avoir une place dans un foyer.

242. (2016) Ticket_997

Tout le monde n'a pas envie d'avoir un contact physique avec des SDFs, ni de parler avec eux, et personnellement je l'ai très mal vécu...

243. (2016) Ticket_1036

Cela reste une expérience que je recommande, il faut le vivre pour le comprendre et les équipes sont vraiment admirables.

244. (2015) Ticket_1289

Elle nous explique qu'elle et ses frères et sœurs ne vont pas à l'école, qu'ils ne se lavent jamais et qu'ils peinent à manger depuis l'expulsion de l'hôtel ou ils vivaient.

245. (2015) Ticket_1314

Par ailleurs, certaines personnes semblaient en bonne voie de "resocialisation", mais d'autres semblent vraiment vivre au jour le jour, ce qui me pousse à me dire que ces personnes se retrouvent être des "abonnés" au samu social, chose qui ne devrait pas arriver, un peu comme si un patient se retrouvait hospitalisé pendant plusieurs mois aux urgences...

246. (2013) Ticket_1620

La dernière personne dont nous nous sommes occupé avait un an de moins que moi et vivait dans la rue en étant seropositive.

247. (2020) Ticket_2

Pour résumé, j’ai vraiment apprécié cette garde où j’ai pu me rendre plus compte des difficultés des personnes qui étaient sans logement et surtout de leurs situations toutes très différentes, et à quel point il était important de ne pas faire de généralités parmi les personnes et surtout pas parce qu’ils vivent dehors.

248. (2017) Ticket_779

Ni sur leurs éventuels problèmes de santé et la difficulté de vivre avec en étant dans la rue.

249. (2017) Ticket_816

J'avais la chance d'avoir une super équipe et je suis vraiment impressionnée de ce qu'ils font tous les jours pour les gens qui vivent dans des conditions les plus difficiles et si ce n'est que de passer un petit moment avec eux.

250. (2015) Ticket_1115

Il refuse de tomber dans la délinquance mais ne se voit pas pouvoir continuer à vivre dans la rue une semaine de plus. […] C'est sous un jour nouveau que j'ai pu aborder le monde de la rue, et c'est fort de ce vécu que j'espère pouvoir un jour pratiquer une médecine plus humaine et compréhensive à l'égard de ces patients si particuliers que sont les sans-abris

251. (2015) Ticket_1230

Je trouvais qu'il avait beaucoup de courage, d'essayer de vivre dignement et de continuer ses études malgré son statut de sans papier lui interdisant de prendre un emploi afin de s'intégrer véritablement dans notre société.

252. (2014) Ticket_1510

Tout le temps que j'avais vécu, cet homme l'avait passé sans avoir de domicile.

253. (2019) Ticket_162

Je ne m'attendais pas à ce qu'il fasse aussi froid (même avec sweat shirt et parka) et j'ai alors pensé aux SDF qui eux vivent ça toutes les nuits...

254. (2017) Ticket_494

C'est aussi ce qui en fait une expérience enrichissante que je ne regrette pas d'avoir vécu.

255. (2019) Ticket_121

Elle vivait, initialement, dans une ville se situant au sud de la France avec son mari mais, depuis 3 jours, elle se trouvait à Paris en étant sans logement et seulement avec ses deux enfants. […] Cela m’a fait rappelé des expériences similaires que j’avais pu vivre durant mes 5 années d’exercices professionnelles en tant sage-femme échographiste spécialisé en gynécologie-obstétrique et en médecine fœtal.

256. (2013) Ticket_1728

Je garde l'impression angoissante que revenir à une "vie normale" après avoir vécu dans la rue est presque utopique (ce qui est clairement confirmé par les équipes du samu quand on en discute avec elles

257. (2019) Ticket_76

Sur mon ressenti personnel, j'ai détesté cette garde : j'ai été confronté à un système dépassé, à bout de souffle, en tout point semblable à ce que nous, externes, vivons tous les jours en stage à l’hôpital public, à l'image de la colère qui gronde dans les services d'urgence français, avec une hiérarchie et un gouvernement insensible, incapable de proposer des solutions sur le long terme.

258. (2019) Ticket_77

Sur mon ressenti personnel, j'ai détesté cette garde : j'ai été confronté à un système dépassé, à bout de souffle, en tout point semblable à ce que nous, externes, vivons tous les jours en stage à l’hôpital public, à l'image de la colère qui gronde dans les services d'urgence français, avec une hiérarchie et un gouvernement insensible, incapable de proposer des solutions sur le long terme.

259. (2017) Ticket_778

En conclusion cette expérience est enrichissante et cela me paraît être une bonne chose que tous les étudiants la vivent une fois.

260. (2019) Ticket_78

Sur mon ressenti personnel, j'ai détesté cette garde : j'ai été confronté à un système dépassé, à bout de souffle, en tout point semblable à ce que nous, externes, vivons tous les jours en stage à l’hôpital public, à l'image de la colère qui gronde dans les services d'urgence français, avec une hiérarchie et un gouvernement insensible, incapable de proposer des solutions sur le long terme.

261. (2019) Ticket_79

Sur mon ressenti personnel, j'ai détesté cette garde : j'ai été confronté à un système dépassé, à bout de souffle, en tout point semblable à ce que nous, externes, vivons tous les jours en stage à l’hôpital public, à l'image de la colère qui gronde dans les services d'urgence français, avec une hiérarchie et un gouvernement insensible, incapable de proposer des solutions sur le long terme.

262. (2019) Ticket_80

Sur mon ressenti personnel, j'ai détesté cette garde : j'ai été confronté à un système dépassé, à bout de souffle, en tout point semblable à ce que nous, externes, vivons tous les jours en stage à l’hôpital public, à l'image de la colère qui gronde dans les services d'urgence français, avec une hiérarchie et un gouvernement insensible, incapable de proposer des solutions sur le long terme.

263. (2019) Ticket_81

Sur mon ressenti personnel, j'ai détesté cette garde : j'ai été confronté à un système dépassé, à bout de souffle, en tout point semblable à ce que nous externes vivons tous les jours en stage à l'hopital public, à l'image de la colère qui gronde dans les services d'urgence français, avec une hiérarchie et un gouverment insensible, incapable de proposer des solutions sur le long terme.

264. (2019) Ticket_82

Sur mon ressenti personnel, j'ai détesté cette garde : j'ai été confronté à un système dépassé, à bout de souffle, en tout point semblable à ce que nous externes vivons tous les jours en stage à l'hopital public, à l'image de la colère qui gronde dans les services d'urgence français, avec une hiérarchie et un gouverment insensible, incapable de proposer des solutions sur le long terme.

265. (2014) Ticket_1531

Expérience très intéressante, mais de ce que j'ai vécu, je pense que cette garde au samu social devrait avoir quelques modifications : - privilégier des horaires différents : une matinée ou une après midi car c'est à ses heures la que les personnes appellent pour la première fois ---> c'est ce contact qui est pour moi intéressant, ce sont leurs histoires; et les mots à employer

266. (2013) Ticket_1655

Cet exemple me permet d'évoquer le besoin d'écoute et de soutien des gens qui vivent à la rue mais tous ne sont pas aussi avenants, la patience des équipes est tout à fait remarquable.

267. (2013) Ticket_1817

Il nous explique qu'il est venue dans le 14eme pour l'enterrement d'un de ses meilleurs amis, un ancien militaire comme lui avec qui il vivait dans la rue qui à 54 ans a été retrouvé mort de froid la semaine dernière.

268. (2012) Ticket_2088

Cette garde permet de comprendre quelle est sa vision de la vie en générale, ses centres d'intérêt et ses activités quotidiennes, quel est son ressenti par rapport à sa situation et son regard sur les gens qui ne vivent pas dans la rue.

269. (2011) Ticket_2174

Cette garde au SAMU social a été une très bonne expérience, très enrichissante, qui permet de prendre conscience de certaines réalités (oui, des gens vivent dans la rue, oui ce sont des gens "normaux", non ils ne sont pas forcément dangereux/agressifs/alcoolisés), de voir à quel point le quotidien de ces gens est une lutte pour la survie.

270. (2017) Ticket_497

Le chauffeur m'avait bien dit que je vivais ma nuit comme je le voulais , donc pas de pression ce qui était vraiment pas mal .

271. (2017) Ticket_780

Certains vivent dans la rue depuis des années, dans un état de grande exclusion.

272. (2013) Ticket_1611

- La première partie de la nuit en maraude stricto sensu, au hasard de notre rencontre avec ces personnes qui vivent dans la rue et qui ont tant de choses à vous raconter sur leur vie, leur difficulté, la problématique de l'alcoolisation, de l'abandon, du vol surtout du peu de choses qu'ils possèdent en particulier leur papier d'identité, a été très enrichissante.

273. (2014) Ticket_1393

L'équipe était très accueillante et j'ai eu l'impression de vivre une expérience vraiment enrichissante.

274. (2014) Ticket_1497

Nous avons tous conscience qu'il y a des gens qui vivent dans la rue, mais cette garde nous fait voir la réalité en face : personnes qui travaillent mais ne gagnent pas assez pour se loger, jeunes en rupture familiale, divorce sans relogement....

275. (2018) Ticket_328

Cela va m’aider à mieux appréhender les difficultés et besoins auxquels font face les patients sans abris que je reçois aux urgences par exemple (même si ma représentation reste à des années lumières de ce qu’ils peuvent vivre).

276. (2015) Ticket_1305

Au total, expérience très positive pour moi j'étais vraiment contente d'avoir vécu ça,

277. (2013) Ticket_1796

Les médias nous montrent la violence, les armes, les morts, qui bien sur existent mais les sans domiciles, les réfugiés, les exilés, les familles qui vivent dans la rue, on n'en parle pas assez, et surtout on s'en fait une fausse idée.

278. (2012) Ticket_1917

La garde au Samu Social est une expérience que tout étudiant en médecine -et même dans les filières paramédicales- doit vivre.

279. (2017) Ticket_589

Les parents se disent exténués, la mère particulièrement affectée, perte de raison de vivre.

280. (2016) Ticket_977

J'avais plusieurs amis qui avaient adoré cette expérience, j'en attendait peut-être un peu trop et du coup j'ai été légèrement déçu, mais je recommande tout de même à tous de vivre cette expérience

281. (2014) Ticket_1483

Dans la soirée, nous rencontrerons plein de gens au vécu différent.

282. (2019) Ticket_157

Cela reste une expérience, et cela permet d'essayer de concevoir les choses lorsqu'on ne les a pas vécus.

283. (2012) Ticket_2044

Depuis que j'ai fait cette garde, quand je recroise les personnes sans abri qui vivent près de chez moi, je les appelle dans ma tête par leur prénom, car à présent je les connais, et je repense au bonjour qu'ils nous ont accordé quand on s'approchait d'eux dans le camion.

284. (2017) Ticket_821

On commence par les signalements, 3/4 sont présents aux lieux indiqués, stupéfaite par la diversité des rencontres, toutes touchantes à leur manière et qui bouleversent les a priori sur les "clauchard", il y a de tout, plus de femmes que ce que l'on imagine, des jeunes, des immigrés, des français pure souche, des gens qui vivent volontairement à la rue, des handicapés...

285. (2019) Ticket_151

Parce que oui, j'ai pris conscience que même les enfants faisaient partis de ces personnes qui (sur)vivent dans la rue, et je trouve ceci profondément révoltant, injuste, et intolérable.

286. (2015) Ticket_1146

Je pense que c'est très important de vivre cette expérience.

287. (2017) Ticket_815

On en apprend beaucoup sur le relationnel, comment mieux parler aux gens, se comporter, aller vers l'autre, c'est une expérience riche que tout étudiant en médecine doit vraiment vivre.

288. (2012) Ticket_2105

Lui il travaille dans la restauration, il a son gamin chez ses parents, et tout ce qu’il souhaite pour 2012 c’est un logis pour vivre avec lui.

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