sante me faisant prendre connaissance de la rudesse des nuits d'hiver
vécues
dans la rue et des difficultés inhérentes à la vi
nuit, dehors, dans le froid, et aller à la rencontre de ces gens qui
vivent
dehors tout le temps, est impressionnant. Cela a
ité face à la vie, à relativiser les choses quand on pense à ceux qui
vivent
dans une situation précaire, et à être reconnaiss
e, et à être reconnaissant de la "chance" que nous avons pour pouvoir
vivre
sous un toit, été comme hiver.
atifiant. Bouleversant parce que même si l'on doute que des personnes
vivent
dans une grande précarité, on s'en rend vraiment
a nous permet aussi de mieux connaître les conditions dans lesquelles
vivent
certains patients que l'on reçoit parfois aux urg
lan humain d'écouter comment certaines situations ont pu les amener a
vivre
dans la rue. Cela permet de comprendre aussi comm
La perte des repères et les conditions sanitaires dans lesquelles ils
vivent
, participent a cette mise a l'écart de la société
J'espère que cette expérience même si elle est difficile, pourra être
vécu
par d'autres étudiants en médecine.
asser la nuit au chaud dans cette période hivernale. La femme seule a
vécu
une histoire horrible. En Afrique, son mari et se
J'avais beaucoup d'appréhension pour cette garde, ayant déjà
vécu
de mauvaises expériences personnelles avec certai
u travail en France, ne serait ce que pour que leurs enfants puissent
vivre
normalement. En résumé c'était plutôt une bonne e
tente de l'avoir fait pour avoir pu me rendre compte que les gens qui
vivent
dans la rue ne sont pas toujours des gens dangere
al, et cette garde est très bien pour nous étudiants en médecine pour
vivre
au moins une fois cette expérience. Lors de la do
ment compte de la demande et des conditions précaires dans lesquelles
vivent
des milliers de personnes.
st riche d'émotion. Au début curieuse de découvrir une autre façon de
vivre
, émue par des rencontres diverses et variées dans
intéressante d'un point de vue social, de se rendre compte de ce que
vivent
les personnes qui vivent dehors. Certains se sont
de vue social, de se rendre compte de ce que vivent les personnes qui
vivent
dehors. Certains se sont forgés une "carapace" au
. Le froid qui m'a glacé cette nuit je ne l'oublierai jamais, comment
vivre
, dormir avec ce froid, comment ne pas perdre espo
de ses 3 mois et n'ayant toujours pas la nationalité française : elle
vivait
par le renouvellement annuel de son titre de séjo
elle vivait par le renouvellement annuel de son titre de séjour. Elle
vivait
avec son compagnon et avait 2 enfants ensemble. D
us permet de prendre conscience de ces hommes, femmes et familles qui
vivent
au quotidien dans la rue isolés. Par contre, je m
us, un aspect des actions sociales que nous n'avons pas l'occasion de
vivre
autrement. Cela complète parfaitement notre forma
s précaires, d'échanger avec eux,et de comprendre un peu mieux ce que
vivent
ces gens au quotidiens que nous rencontrons pour
r exemple, longuement parler de ces différentes expériences qu'elle a
vécues
au cours de ses treize années de vie dans la rue.
Nuit plutot calme quelques arrets pour distribuer boissons et
vivres
/couvertures. Quelques tansport vers les centres d
ur expérience. C'est bien de voir l'envers du décor et de voir ce que
vivent
les exclus de notre société...
finalement) à ceux qui ne semblent pas pouvoir faire autrement que de
vivre
en marge. On se rend également compte à quel poin
qué, c'est un homme d'environ 60 ans sur le Parvis de Notre-Dame, qui
vivait
depuis 20 ans en marge de la société ("la vie de
e, je n'aime pas l'argent" comme il disait). Cet homme qui a réussi a
vivre
dans ces conditions durant toutes ces années étai
èmes de Lamartine et même des sculpteurs dont le nom m'échappe. Et il
vivait
là, dans la rue, se nourrissant du spiritisme, de
quipes mobiles, sont tous supers sympas. Rencontrer les personnes qui
vivent
dans la rue, en dehors de l’hôpital, m’a permis d
difficultés dans leur cadre de vie est une réelle plus-value à notre
vécu
à l'hôpital. Il faut rendre hommage aux différent
llant au SAMU social connaissent la plupart des sdf et le lieu où ils
vivent
, ils sont vraiment impliqués, s'intéressent réell
s tels que SOS amitié. C'est une expérience que tout le monde devrait
vivre
pour nous ouvrir un peu les yeux.
a maraude m'a permis d'appréhender la relation avec les personnes qui
vivent
dans la rue d'une toute autre manière. J'ai été p
par l'histoire de deux hommes qui s'étaient rencontré dans la rue et
vivaient
ensemble dans une tente dans le 14eme arrondissem
ermis de comprendre le rôle et le fonctionnement du SAMU Social et de
vivre
l'expérience de leur travail quotidien. Aussi cet
vant dans la rue. Le chauffeur m'a expliqué et raconté ce qu'il avait
vécu
ces dernières années. J'aurai bien voulu faire d'
ces sans qu'on puisse réellement les comprendre ou imaginer ce qu'ils
vivent
. La garde est comme on se l'imagine, elle nous mo
isir, de pouvoir aider et de se sentir utile. Je ne l'ai vraiment pas
vécu
comme une garde obligatoire mais vraiment comme u
uette et on n'aurait jamais dit qu'elle était SDF mais plutôt qu'elle
vivait
dans le 16ième... Elle était à bout de force de s
ciété, elle avait peur de se faire dépouiller par les autres gens qui
vivent
dans la rue... Cette rencontre m'a beaucoup touch
civile. C’est assez dure psychologiquement quand soi-même nous avons
vécu
ou eu une personne de notre entourage qui a eu le
s difficile car il faut savoir prendre de la distance avec ce qu’on a
vécu
et les préjugés qu’on peut avoir. Le double écout
ont dans le besoin. Cela nous montre vraiment la misère dans laquelle
vivent
les personnes. Elles essaient de survivre tous le
Experience enrichissante, on comprend un peu mieux le calvaire que
vivent
les sans domiciles fixes, surtout pendant la péri
n très bon souvenir de cette nuit et je recommande vivement à tous de
vivre
une expérience comme celle ci !
chaque membre m'a raconté des expériences personnelles qu'ils avaient
vécu
au samusocial et j'ai eu des contacts avec des pa
vraiment touchés. Pour faire court, je ne m'attendais vraiment pas à
vivre
une expérience humaine aussi formatrice. Alors qu
ance soit considérée comme un « pays riche », nombre de ses habitants
vivent
des situations précaires et que de nombreux effor
pas toujours attention, en oubliant parfois que ces personnes ont un
vécu
, des sentiments, une fierté. Ce fut une belle exp
tes dans l'équipe. Personnellement, je savais que certaines personnes
vivent
dans une extrême précarité, mais participer à cet
prendre conscience que plus que de la précarité, certaines personnes
vivent
dans des conditions inhumaines. Parfois en famill
tudiant Erasmus j'ai profité de cette opportunité de la Paris VI pour
vivre
un experience different à Paris. C'est vraiment u
me rendais compte de la détresse sociale dans laquelle les personnes
vivaient
, ce dont je n'avais pas nécessairement eu conscie
l a été une bonne opportunité pour me sensibiliser à la situation que
vivent
beaucoup de personnes défavorisées. De plus, elle
riche, qui permet de voir un point de vu nouveau de tous ces gens qui
vivent
dans la rue. Il me semble que cette expérience es
une rencontre avec un jeune d'une vingtaine d'années qui depuis 3 ans
vivait
sans logis. Nous avons discuter simplement avec c
e sentent pas capable de la faire ou qui ont peut être un passé ou un
vécu
plus ou moins proche de celui des gens que nous a
t était une très belle expérience que je suis content et fier d'avoir
vécu
pendant cette année. Elle m'a permis d'aborder de
dont je n'aurais jamais soupçonné en les croisant en journée qu'elles
vivaient
dans la rue... Merci à toute l'équipe pour leur a
la rue... Merci à toute l'équipe pour leur accueil, pour m'avoir fait
vivre
cette expérience humaine moralement difficile mai
tait très sympa. J'ai été marqué par la famille d'europe de l'est qui
vivait
dans la rue et qui utilisait les enfants des autr
à cette chaude nuit d'été, j'ai pu avoir un aperçu de ce qu'était de
vivre
dans la précarité, de la difficulté de ce monde,
ntérêt pour nous, futurs médecins, de voir les conditions dans lequel
vivent
les sdf et comprendre la pléiade de personne que
de vue humain. Elle m'a permis de voir les conditions dans lesquelles
vivent
les SDF ainsi que d'avoir de vrais contacts avec
cial m'a donné l'occasion de prendre conscience dans quelle condition
vivent
certaines personnes et de s'en approcher pour les
al m'a permis de mieux me rendre compte de la précarité dans laquelle
vivent
de nombreuses personnes. Cela m'a aussi permis de
euvent être les conditions parfois très précaires dans lesquelles ils
vivent
. C'est une expérience qui vaut le coup d'être fai
que là. C'était une occasion de découvrir l'environnement dans lequel
vivent
des personnes que l'on rencontre parfois ponctuel
Cette garde permet la rencontre avec ces gens qui
vivent
dans les rues et qu'on ne connait dans le fond qu
stant présent et la chance de dormir une nuit au chaud. Cette joie de
vivre
avec si peu, ca donne des frissons. Très bonne in
ter plusieurs SDF d'entendre leurs histoires, leurs craintes et leurs
vécus
. Cette nuit m'a permis de me rappeler que ces san
'un milieu social favorisé j'avais conscience que certaines personnes
vivaient
dans des situations extrêmement précaires, cette
t difficile pour nous, inexpérimentés), mais elle vaut le coup d'être
vécue
. Merci beaucoup de nous l'avoir fait découvrir !
yer le monde de la rue, pour qu'on se rende compte dans quelle misère
vivent
de plus en plus de gens. Je tire mon chapeau à ce
aladie chronique peu soignée, isolement social, dépression, solitude,
vivre
au jour le jour sans projet d'avenir...
la pauvreté et de l’humanité plus vraie et intense des personnes qui
vivent
dans la rue. Cela nous fait pr être conscience de
ns difficiles, les liens tissés entre les équipes mais aussi ceux qui
vivent
dans la rue. Ça a été l'occasion de discuter avec
nts, rien pour se rendre compte du véritable profil des personnes qui
vivent
dans la rue. Une découverte des condition d'héber
oche de la médecine très différente de celle que l'on a l'habitude de
vivre
à l'hopital. La chose qui m'a le plus fascinée es
articulièrement à vous remercier de nous imposer cette garde car j'ai
vécu
une expérience humaine très forte que je ne regre
ditions difficiles dans le simple but de venir en aide a d'autres qui
vivent
des situations compliquees et dont parfois le seu
u samu social était une expérience très enrichissante. Les situations
vécues
cette nuit étaient complètement inédites et nouve
à l'hopital. Ici pas besoin d'examen complémentaire, juste du savoir
vivre
, de la compréhension et de l'écoute! La double éc
is assez touché de voir les conditions dans lesquelles les sans-abris
vivent
et admirable vis à vis des équipes du Samu social
u mois de février (par grand froid) pour prendre conscience de ce que
vivent
les personnes dans la rue. Je regrette néanmoins
nce de beaucoup de choses. Je me suis rendue compte que bien des gens
vivent
dans des conditions très difficiles, que l'on peu
ensemble les soucis de leur vie. Pourtant la femme aurait pu ne plus
vivre
dehors mais par amour pour son mari, elle préféra
d'une femme qui faisait part des difficultés d'un couple de roms qui
vivait
en bas de son immeuble, puis des appels de sans a
la rue depuis des années. Il faisait froid et on se rend à quel point
vivre
dehors est inhumain. Puis on réalise aussi le rôl
ial. C'est donc une très bonne manière d'imaginer la manière dont ils
vivent
en dehors de l'hôpital et comprendre leurs besoin
re le fait que j'ai découvert sous un autre angle la vie des gens qui
vivent
dans la rue, j'ai beaucoup appris des intervenant
hissante & je conseillerais à chacun, s'il en a l'opportunité, de
vivre
cette expérience. Mon regard a changé sur les SDF
se rendre compte de l'état dans lequel toutes ces personnes peuvent "
vivre
" dans la rue. J'ai tout particulièrement été émue
nfiance pour faire face à ces personnes. En somme, j'ai beaucoup aimé
vivre
cette expérience, non seulement pour le contact h
t. Je pense que cette garde a changé mon regard sur ces personnes qui
vivent
dans la rue et qu'il est nécessaire qu'elle fasse
es sans-abris, de discuter avec eux, voir dans quelles conditions ils
vivent
, et me rendre compte par les faits de la prise en
uée dans les années à venir. L'équipe montre par ailleurs une joie de
vivre
reflétant tout à fait la conscience qu'ils ont de
on a tendance a l'oublier, ont une histoire, et qui pour certains ont
vécu
dans les mêmes conditions que nous avant un événe
nnellement. On a plutôt l'impression d'être un distributeurs géant de
vivres
pour les personnes sans domiciles, dont les plus
sous ou un lieu pour dormir. D'autres sont contraintes de continuer à
vivre
dans la rue alors qu'elles ont retrouvé un travai
connaître leur ressenti... On apprend alors que chaque personne a un
vécu
différent, et l'exprime différemment. Ce qui néce
llées comme nous, étaient propres et ne donnaient pas l'impression de
vivre
dans la rue et de manquer de nourriture, de vêtem
uit, c'était une expérience exceptionnelle que tout un chacun devrait
vivre
une fois dans sa vie. Merci à toute l'équipe
OCIAL, ainsi que la confrontation avec la réalité sur le terrain, que
vivent
les personnes sans abris dans la rue. J'ai été su
, il montre la détresse psychologique majeure de cette femme qui doit
vivre
sa grossesse sans lieu de vie fixe, dans des cond
iration pour ces hommes et femmes qui se battent quotidiennement pour
vivre
et trouver une solution à leurs soucis et reparti
de permettent réellement d'avoir un aperçu du cauchemar quotidien que
vivent
les personnes sans logement et les problèmes prat
ir apporter un peu de chaleur humaines aux personnes qui au quotidien
vivent
dans la rue. Nous avons pu nous poser pendant une
rmet d'avoir un regard différent sur les personnes dans le besoin qui
vivent
dans la rue et s'inquiètent juste de pouvoir trou
lusieurs autres associatifs qui circulent la nuit pour distribuer des
vivres
aux sans-abris, c'étaient de très belles rencontr