nt un peu dure: avec la double écoute on entend des familles entières
vivant
dans la rue ( souvent avec des enfants en bas âge
on pour ces personnes démunies. Ca nous donne une vision des patients
vivants
dans des conditions précaires. Néanmoins cette ga
thique, connaissaient, malheureusement, bien trop certaines personnes
vivant
dans la rue... Le SAMU social (volontaires et sal
le initiative, mais ne règle pas le problème de fond de tous ces gens
vivant
au quotidien dans la rue, sans proposition autre
sée aux etudiants. Elle permet de changer de regard sur les personnes
vivant
dans la rue et de les appréhender de manière diff
nnel et professionnel. Elle donne un nouveau regard sur les personnes
vivant
dans la rue et efface les à priori. Le personnel
me patients (aux urgences, en salle..) des personnes sans domicile ou
vivant
dans des situations précaires : la situation étai
tile dans la mesure ou elle nous confronte à la réalité des personnes
vivants
dans la rue et les difficultés auxquelles elle do
ermis de voir et de comprendre l'approche d'une personne en détresse,
vivant
dans la rue. Le chauffeur m'a expliqué et raconté
it enrichissante et a permis de faire changer la vision des personnes
vivants
dans la rue. Cependant j'ai été déçu car l'aide q
Elle permet de prendre conscience des conditions de vie de personnes
vivant
dans la rue, de se rendre compte des personnes co
en situations de précarité. Équipe très humaine auprès des individus
vivant
dans la rue. Un peu surprise de devoir orienter l
Si cette garde a bien un intérêt, c'est de rencontrer les personnes
vivant
dans la rue, personnes que l'on croise régulièrem
découvrir les dispositifs mis en place pour venir en aide au personne
vivant
dans la rue ainsi que la difficulté du 115 pour l
s d'accueil "la boulangerie" qui semble très peu adapté aux personnes
vivant
dans la rue au point que certaines de ces personn
J'ai été particulièrement frappé par le cas d'une mineure enceinte,
vivant
dans la rue avec son compagnon et son petit frère
! Peut etre cela m'aidera à améliorer mon contact ac les patients sdf
vivant
ds la rue... En tout cas l'infirmiere et le chauf
En effet, il est important de se rendre compte du nombre de personnes
vivant
dans la rue au quotidien et de l'aide précieuse q
rendre conscience du nombre important de personne seule et de famille
vivant
à la rue et essayant chaque jour de trouver un en
été marqué plus particulièrement par 2 choses : beaucoup de personnes
vivant
dans la rue avaient auparavant une vie similaire
du SAMU sociale apporte beaucoup aux sans abris. Certaines personnes
vivant
dans la rue attendent beaucoup d'eux, nous en avo
risie. Je n'avais jamais eu l'occasion de discuter avec des personnes
vivant
dans la rue, et je ne me rendais pas compte de to
5 étaient très différents et souvent loin du cliché du SDF alcoolique
vivant
dans la rue depuis plusieurs années. Enfin on peu
social m'a fait comprendre quelles sont les difficultés des personnes
vivant
dans la rue : le froid, la faim, le manque de pla
un qui m'a particulièrement marquée : Diego . Il s'agit d'un monsieur
vivant
dans la rue depuis plus de 20 ans, qui s'est retr
dans le besoin. Je pense qu'après cette nuit, ma vision des personnes
vivants
dans la rue aura évolué. Et je tiens à souligner
Bon apprentissage des conditions de vie de ces personnes
vivant
dans la rue, soumis à des soins médicaux trop peu
s jamais être intrusifs, et de leur capacité a transmettre à des gens
vivant
dans des situations précaires le respect qu'ils l
de réaliser la détresse profonde dans laquelle sont plongés les gens
vivant
dans la rue et le travail formidable que réalisen
e vie sont il me semble très rudes! Une autre rencontre avec un homme
vivant
dans une cabine téléphonique, seul, refusant l'ai
aucoup apprécié le comportement qu'elle avait vis à vis des personnes
vivant
dans la rue, un respect de leur choix de vie et d
aucoup apprécié le comportement qu'elle avait vis à vis des personnes
vivant
dans la rue, un respect de leur choix de vie et d
araude (avec une équipe magnifique !) J'ai remarqué que les individus
vivant
dans la rue, malgré que ma tête leur était nouvel
t des différentes pathologies psychiatriques retrouvées chez les gens
vivants
dans la rue. A 21 H, nous avons commencé la marau
facile de se placer à la distance adéquate par rapport aux personnes
vivant
dans la rue, être proche et à l'écoute sans être
emiers signalement de la nuit ont été des femmes, le nombre de femmes
vivant
dans la rue étant frappant, puis un homme blessé
ment marquée au cours de ma garde fut la rencontre avec les personnes
vivant
dans la rue. Certaines demandaient ouvertement de
n avant le redémarrage des transports en commun pour les étudiants ne
vivant
pas à Paris. Une très bonne expérience.
s. J'ai pu assister à un entretien social d'une jeune fille de 20 ans
vivant
sans domicile fixe. Chaque soir, elle se débrouil
arde au samu social, notamment sur comment se comporter face aux gens
vivant
dans la rue. Pour cette première maraude je pense
heureux qu'il m'ait été donné de voir jusque là dans ma vie. Un homme
vivant
dans la rue certes mais un homme riche intellectu
immédiate, tout en étant les interlocuteurs privilégiés de personnes
vivant
dans la rue depuis plusieurs années. A mon sens,
Je n'avait pas tout à fait perçu avant cette garde que les personnes
vivant
dans le rue étaient aussi différentes, que c'étai
eu un appel, d une femme d'une trentaine d'année d'origine Africaine,
vivant
en France depuis l'age de ses 3 mois et n'ayant t
s assez angoissé à l'idée d'être en contact direct avec des personnes
vivant
dans la rue. J'ai été très agréablement surprise
raude. J'ai été marquée par le nombre d'appels de femmes avec enfants
vivant
dans la rue en plein mois de novembre ainsi que d
alise que le simple fait de s'arrêter et serrer la main aux personnes
vivants
dans la rue leur apporte déjà quelque chose; l'éq
rait fonctionnée). J ai également rencontré un jeune homme de 22 ans,
vivant
dans la rue et qui a retrouvé le sourire en me pa
vons pu déposer dans un centre pour la nuit. Les cas de ces personnes
vivant
dans la rue me brisent le coeur et il est indispe
ue. J'ai pu réaliser qu'il n'existe pas de "profil type" de personnes
vivant
dans la rue. Chaque rencontre était différente av
ce. Ce qui m'a le plus marqué a finalement été l'humanité de ces gens
vivant
dans nos rues. Loin d'être des ivrognes ou des fo
'a entouré et enseigné comment prendre en charge les hommes et femmes
vivants
dans la rue et pour cela je leur en suis très rec
nuit, du fait de rencontres presque exclusivement avec des personnes
vivant
dans la rue et étant en difficulté. On se rend ra
le m'a permis d'affronter ma crainte quant à l'approche des personnes
vivant
dans ltravaillequipe avec laquelle j'ai été dans
ment la première fois que j'ai écouté ainsi que parlé à des personnes
vivant
sur la rue. Le travail que font les équipes du sa
spect aux gens qui gardent une apparence propre et distinguée tout en
vivant
dans la rue. Et à ceux qui travaillent à temps pl
urgences, il m'est arrivé de nombreuses fois d'examiner des patients
vivants
dans la rue qui s'excusaient de leur condition, e
ment soûl et agressif nous insultant violemment, une femme alcoolique
vivant
dans le bois de Meudon, un jeune homme handicapé
que simple observateur. Ensuite on voit rapidement que les personnes
vivant
viennent beaucoup d'eux même vers nous, ils sont
ur cette garde qui nous rappelle que nous sommes tous humains et que,
vivant
dans une société, nous devons nous entraider.
effet, c’est la première fois que je communiquais avec des personnes
vivant
dehors, qui n’étaient pas sous alcool ou drogue e
t aux urgences, j'ai été amenée à rencontrer et soigner des personnes
vivant
dans la rue mais sans forcément prendre le temps
Cette expérience a été enrichissante. Aller au contact des gens
vivant
dans la rue, les écouter leur parler, tenter de t
but de sa création. Nous sommes donc allés à la rencontre d'individus
vivant
à la rue, individus auquel je ne prête d'ordinair
moyens dont dispose l'équipe mobile pour venir en aide aux personnes
vivant
dans la rue. (très peu de place est disponible en
e les protocoles. On a vu et intervenu auprès pas mal de gens démunis
vivant
dans des situations assez difficiles par ce froid
il s'agit d'une garde obligatoire de laquelle on aimerait bien sortir
vivant
et le fait de devoir rentrer à 5h du matin en pas
obtenu la nationalité française par union de sa mère avec un français
vivant
au Cameroun. Il est en France depuis 6 mois envir
e nous permet d'avoir un vrai contact avec les personnes défavorisées
vivant
dans la rue. Le travail du personnel du SamuSocia
main. J'ai été bousculée, choquée quand en parlant avec une personne
vivant
dans la rue depuis plus de dix ans, j'ai appris q
écemment, une dame jeune qui ne parlait que l'anglais, un autre homme
vivant
dans la rue depuis plusieurs années et victime de
de la maraude, j'ai pu me rendre compte de la diversité des personnes
vivant
dans la rue, ainsi que de leurs situations respec
a rue. Celle qui m'a marquée a été une petite dame de presque 70 ans,
vivant
dans la rue depuis des années et très courageuse.
autres SDF, certains dormaient et nous vérifiâmes qu'ils étaient bien
vivants
, nous les réveillâmes parfois, pour une tasse de
eux personnes : la première était un homme d'une cinquantaine d'année
vivant
seul sur le trottoir alors qu'il a des enfants av
ial ! On "connait" tous, on essaie de s'imaginer la pauvreté des gens
vivant
dans la rue, on la voit chaque jour au coin de to
icile psychologiquement parlant d'aller à l'encontre de ces personnes
vivant
dans la rue et de ne pas pouvoir leur proposer un
nels de grande qualité. La rencontre avec des personnes de différents
vivant
dans le grand dénuement de la rue a, j'en ai déjà
pensais à mon sujet ne pas avoir d'à-priori concernant ces personnes
vivant
dans la rue mais, je suis un peu honteux de l'avo
us retrouvons face à une minuscule facette de la misère des personnes
vivant
dans la rue, qui nous entourent au quotidien et s
e barrière qui se hisse aisément entre la population et les personnes
vivant
dans la rue. J'ai eu la chance de participer à un
norais complètement les possibilités de prise en charge des personnes
vivant
à la rue. On a l'habitude aux urgences de voir le
ssion c'est de sauvegarder l'humanité de ces personnes sans domicile,
vivant
en pleine rue et pourtant souvent ignorées de tou
ève également tous les préjugés que l'on peut avoir sur les personnes
vivant
dans la rue. J'ai aussi pu visiter le centre d'hé
oucher et dormir au chaud. Certains travailleurs connaissent des gens
vivant
dans la rue depuis des années: ils les appellent
mille, ainsi que celui d'un homme de 22 ans avec son fils et sa femme
vivant
dans une tente (ceci etait du fait de son age, id
ans le besoin. Les missions du SAMU Social sont d'aider les personnes
vivant
dans la rue et ayant des problèmes dans l'ordre d
ar ce que j'ai vu et ça m'a donné un nouveau regard sur les personnes
vivant
dans la rue. C'est une expérience à continuer et
t je pense que j'ai pu voir plusieurs profils différents de personnes
vivant
dans la rue et grâce à l'équipe j'ai passé une tr
eunes ont appelé le 115 pour venir en aide au "Père Pierrot" un homme
vivant
depuis 2 ans dans la rue, parlant de lui (Pere Pi
t de travers. Que c'était-il passé entre l'époque du pompier souriant
vivant
en Guadeloupe avec sa femme et son fils et celui
oser au grand public. Je me suis rendue compte du nombre de personnes
vivant
sans domicile à paris (bien plus important que ce
iser cette situation. Une rencontre m'a marqué; un monsieur de 45 ans
vivant
dans la rue depuis plusieurs années, qui connaiss
s de reprendre contact avec la réalité de la pauvreté dans la rue. En
vivant
à Paris, on est complètement habitués à voir des
Cette nuit au samu sociale a été une expérience très enrichissante.
Vivant
à Paris, je suis tous les jours confrontée dans l
âge, poursuivant des études supérieures mais n'ayant pas de logis et
vivant
des produits jetés des supermarchés. Je trouvais
sociale. Cela m'a permis de porter un autre regard sur ces personnes
vivant
en marge de la société : ce sont des personnes qu
isolées, femme seule avec jeune enfant, couple sans enfant, personne
vivant
sa première nuit dehors ou inversement. Je trouve
onfrontation à la réalité et d'interaction directe avec des personnes
vivant
dans la rue, je mentionnerais les points suivants
spect du fameux "droit au logement". Cependant le nombre de personnes
vivant
dans la rue étant toujours plus en expansion, et
e conscience qu’il y a une part non négligeable de personnes démunies
vivant
en exclusion dans des conditions inadaptées et ce
le 10e- mon regard sur la rue change. Je suis à l'affût de personnes "
vivant
dans la rue" . Et je réalise d'un coup qu'elles s