étonnement joyeuse, d’échange, de discussions en diverses langues, de
visite
de Paris et de connaissance des habitants de ses
ueillante du SAMU social. C’est toute une organisation de soutien, de
visite
, de transport, de centres de logements et médicau
rganismes et le fonctionnement des hebergements . De plus recevoir la
visite
du premier ministre etait une bonne surprise.
personnes principalement immigrées dont de nombreuses femmes seules.
Visite
des foyers d'hébergement. Assistance d'une person
personnel est tres agreable, nous explique le fonctionnement du 115.
Visite
du centre d'hebergement d'urgence appreciee
nouait avec la personne dans le besoin. On sentait que rien que notre
visite
et notre sourire leur apportaient de la joie.
s travailleurs sociaux. J'ai trouvé particulièrement enrichissante la
visite
des centres d'hébergement lors de la maraude. L'a
tre d'hébergement afin qu'ils soient au chaud et qu'ils s'alimentent.
Visite
du centre Romain Rolland avec le travailleur soci
quipes pour trouver un abris aux personnes à la rue. Par ailleurs, la
visite
du centre de Montrouge nous permet de nous rendre
tte jusqu'aux foyers. Le seul point positif que je retiendrai sera la
visite
de ces foyers (3 en tout), où j'ai été très bien
dans un camion de maraude pure dans le 16ème arrdt, c'était une bonne
visite
des rues du 16ème mais nous n'avons pas vu beauco
quitte à dépenser 200 euros par jour... c'était plutôt dépaysant! La
visite
de Montrouge m'a permis de voir que les gens peuv
'intégrer très rapidement, en m'expliquant bien le rôle de chacun. La
visite
du centre Romain Roland m'a permis de bien compre
'intégrer très rapidement, en m'expliquant bien le rôle de chacun. La
visite
du centre Romain Roland m'a permis de bien compre
aux mais avec une connotation de détresse sociale assez marquante. Le
visite
des centres d'hébergements permet de mieux compre
s aspects du 115 (écoute téléphonique, briefing des équipes, maraude,
visite
d'un centre d’accueil pendant la nuit). La maraud
nt A jusqu'à un point B.... Pour la "maraude", j'appellerais cela une
visite
guidée de paris. Et quand enfin nous sommes tombé
’un qui dort dans la rue... Nous avons commencé la maraude en rendant
visite
aux usagers récurrents, c'était touchant de voir
endre compte du fonctionnement du samu social: signalements, maraude,
visite
des centres d'hébergement. C'est intéressant mais
rrisson qu'aucun logement n'etait disponible pour les accueillir . La
visite
des centres d'hebergement ete agreable il y avait
u tout simplement besoin d'interaction, de discuter avec des gens. La
visite
d'un logement a été formateur car cela m'a vraime
n'avons trouvé aucun dès signalement du coup la maraude a consisté à
visite
Paris en camion la nuit, c'est joli mais étant ob
et de leur proposer de l'aide ainsi que d'ecouter leur histoire. J'ai
visite
le centre de Montrouge et discute avec quelques p
de la travailleuse social du standard, de l'équipe du camion et de la
visite
de deux centres d'hébergement. L'équipe de maraud
c les sans-abris, mais aussi l'écoute du 115 en début de soirée et la
visite
d'un des centres d'hébergement du samu social...
ehors, les adresses d’assistants social, les bons pour des repas, une
visite
chez le médecin, les discussions sur l’avenir...
au SAMU social a été pour moi un véritable choc. Notamment lors de la
visite
de "la boulangerie" : Un centre d'hébergement qui
plus souvent isolées de tout lien social. J'ai été surpris lors de la
visite
d'un logement social qui était considéré comme un
ché, on se prend alors à penser que c'est un tout autre pays que l'on
visite
, fait de contrastes gênants. Derrière l'apparence
vis-à-vis des personnes de l'équipe et des personnes rencontrées. La
visite
du centre de Montrouge a été un plus pour moi afi
ne maraude. Nous menons plusieurs actions dont les principales sont :
visite
dans des hôtels sociaux/bidonvilles pour sensibil
retour au foyer de Montrouge pour déposer 6 personnes, et au passage,
visite
du foyer. Ce qui m'a le plus marqué est l'isoleme
er des SDF "habitué" du service. Beaucoup de rires et de sourires. La
visite
du foyer de Montrouge (qui je pense est un "bon"
s antécédents médicaux importants. Visiblement, c'était pour elle une
visite
indésirable, ce que l'on a pu ressentir à l'insta
RESPECT". Certains, deviennent des habitués, et nous leur rendons j
visite
simplement pour prendre de leur nouvelles, savoir
ns un des centres du samu social, que l'on m'a fait visiter. Bref une
visite
de paris by night pas comme les autres, c'était b
raiment bon; ils nous attendaient ,étaient contents de recevoir cette
visite
alors que je m'attendais plus à de la distance vo
, ils en ont, des choses à raconter. Je suis resté époustouflé par la
visite
que l'on a rendue à un petit monsieur de 81 ans,
e dans les foyers de Paris, ville lumière... 23h- direction le foyer,
visite
du foyer. Un batiment pour les hommes, un autre p
dame avec des problème de santé, j’ai vu l’accueil dans un centre, la
visite
avec l’infirmière et le choix d’aller aux urgence
eux bien que j'aurais aimé passer plus de temps avec quelques uns. La
visite
du centre à Montrouge, de l'hôpital à Ivry m'a pe
fants qui avaient été placés dans des foyers. Pour gagner un droit de
visite
, il lui fallait se désintoxiquer de l'alcool, mai
té se dégradait. Elle nous parla de ses douleurs, de ses maux, de ses
visites
à l'hôpital, et de son suivi par les médecins. No
de m'apercevoir des failles réelles du système (refus d'hébergement,
visite
de certaines personnes parfois très expéditive..)
ent dans la rue. Si je dois retenir un moment de cette nuit, c'est la
visite
à deux "habitués" qui se sont installés sous un p
u travailler mon UE1 et n'aurait pas passé ma soirée en mode taxi qui
visite
le 16e avec une équipe tellement inactive qu'elle
expériences. Et puis le camion, c'est vraiment toute une ambiance! -
Visite
de plusieurs des hébergements de nuit - L'équipe
à long terme, avec un réel processus de réinsertion. Ce n'est pas une
visite
avec une assistance sociale proposée dans les foy
plus ou moins à cette description (dont deux étaient des habitués des
visites
du SAMU), mais nous avons eu affaire à une famill
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