Nuit très particulière au cours de laquelle nous suivons le 115. Garde qui commence par une double écoute

onnel du samu social est parfois assez proche de ces personnes qu’ils suivent depuis des années.

e aide sociale. À l'hôpital, nous n'avons pas forcement l'occasion de suivre les démarches sociales permettant d'aider au mieu

aider au mieux ces patients. J'ai trouvé ça très formateur de pouvoir suivre l'aspect social de la prise en charge. Ce qui m'a

Je regrette que le travail du SAMU SOCIAL soit ponctuel et ne suive pas les gens sur plus longtemps. La double écoute

ouvé très frustrant le fait de ne pas pouvoir obliger les gens à nous suivre pour les aider, quand ils avaient clairement beso

même lorsqu'ils souhaitaient de l'aide mais avaient trop peur de nous suivre , par peur qu'on leur donne des "traitements", qu'

u'un "sauvetage" des personnes en détresse pour la nuit. Un véritable suivi des personnes, une vraie connaissance des gens. U

double écoute était plutôt intéressante, elle permettait de voir quel suivi était fait des personnes sans domicile. En revanc

souvent dans les services de réanimation sans véritable idée de leur suivi après leur sortie. L'équipe était très accueillan

u courant de se différentes activités. J'étais en effet au courant du suivi et du soutient des personnes sans domicile fixe m

st-ce qu'ils faisaient pour continuer à se soigner, à bénéficier d'un suivi régulier.

charge un des hommes qui est a côté, l'habitué ne souhaitant pas nous suivre . Direction le Sud, et Montrouge, où l'équipe du S

téressante, on ne loge pas seulement le sans abris pour 1 nuit, on le suit et on l'aide pour la suite

act bon avec les personnes en difficulté, ce fut très agréable de les suivre .

appris des choses, notamment le fait qu'il y a des personnes qui sont suivies au long cours par le samu social alors que je pen

cial, les points positifs était la bonne intégration dans l'équipe le suivie de tout les rôles de l'association et la découver

ichissant. Cependant lors de cette garde, on a un peu l'impression de suivre sans participer. Bien sûr c'est compréhensible ét

ante, je ne pensais pas que le SAMU SOCIAL avait aussi une mission de suivi à long terme des personnes en plus des urgences.

ont des personnes aimees, connues par le samu social pour la plupart, suivies et non des gens anonymes qui occupent les trottoi

des sans abris. C'était une expérience humaine formidable, nous avons suivi un SDF de la rue j'usqu'à un centre sociale, nous

ations PASS, petite éducation sur la pathologie, la nécessité de bien suivre son traitement et les moyens de consulter. Discus

ssante. On ne se rend pas forcément compte de l'importance qu'aura le suivi social et l'accompagnement des patients à la sort

nonymat relatif puisque chaque personne appelant le SAMU est fiché et suivi aussi longtemps que nécessaire. L'accompagnement

du centre d'écoute 115 pour la répartition des logements ainsi que le suivi des personnes faisant la demande d'un hébergement

ienveillance et la gentillesse de l'équipe est un véritable exemple à suivre dans la prise en charge des malades et des person

samu social et les dispositifs d'aide mit en place. L'equipe que j'ai suivis etait super a tout les points de vue avec une amb

de rapatrier les sdf dans des centres d'accueil afin qu'ils aient un suivi social et médical.

ui sort ces gens de la rue, et c'est difficile de se rendre compte le suivi qu'ils ont par la suite, avec les assistantes soc

ent "tout perdu" rapidement. L'autre élément qui m'a frappé, c'est le suivi qui est apporté au sein du Samu Social. Il est im

le nombre d'appel très important, les problèmes des gens sont connus, suivis , et ils reçoivent réellement une écoute attentive

de la sécurité physique mais aussi sur le plan de la santé puisque le suivi médical, obtenir des médicaments ou même consulte

tinuer la maraude. De ce fait, je me demandais si les équipes étaient suivies , du fait de leur dure activité....

es écouter, leur parler, participe à créer un lien qui leur permet de suivre régulièrement leur état de santé mental et physiq

les appels étaient transférés vers des travailleurs sociaux et je ne Suivais pas le reste de la conversation. En résumé, je n'

t des hébergements ponctuels, il nous manque l'abord plus prolongé de suivi des sans-abris. On a l'impression qu'il manque d'

personnes dans le besoin mais de constater qu'il y avait un véritable suivi et une complicité qui s'instaurait entre les équi

personnes qui pourraient avoir besoin d'aide afin de leur proposer un suivi social pour ne pas qu'elles soient seules. J'ai é

bien qu'elle soit passée très rapidement. L'assistante sociale que je suivais m'a parlé des difficultés de ce travail, des prob

e. En particulier, quand un sdf en hypothermie grave a refusé de nous suivre pour aller à l'hôpital, et qu'il a fallu que les

Social est une machine bien rodée, que ce soit en ce qui concerne le suivi des personnes connues du service ou celles qui en

l répond le SAMU Social, est celui d'être entouré, que ce soit par le suivi au sein du service, ou bien par les personnes ren

l pour un jeune. Bonne organisation de la garde avec la double écoute suivie de la maraude, la succession des deux permettant

LHSS de l'hospice saint Michel. Ce fut une bonne expérience, j'ai pu suivre l'infirmière de nuit pendant le tour où elle donn

e. J'ai beaucoup aimé faire la double écoute ainsi que la maraude, et suivre un signalement du début au téléphone jusqu'au ter

, mais que c'est plutôt une prise de contact pour tenter d'établir un suivi sur du long terme. C'était une expérience très in

banie et qui cherchait l'asile. C'est un peu frustrant de pas pouvoir suivre l'évolution des personnes qu'on aide, mais c'est

e l'APHP, et le fait qu'il "baisse sa garde" avec l'infirmière que je suivais qui était très douce avec lui. C'était une super

impression d'aider à régler le problème de fond, mais il y a aussi un suivi au long terme avec des dossiers informatisés pour

la prise en charge des patients en situation précaire, et comment un suivi et une prise en charge doit s'organiser en dehors

du camion. Étonnamment, la plupart des personnes que l'équipe que je suivait a recueillie leur était connue. Des 'habitués', e

ces humaines remarquables des professionnels que j'ai eu la chance de suivre la nuit dernière. Ces derniers ont eu la gentille

riable mais j'ai pu constater qu'un bon nombre de gens de la rue sont suivis de près sur les plans sociale et médicale, qu'ils

nuit. j’ai pu en examiner quelques un qui n’avaient pas l’air d’être suivi médicalement. C’était une très belle expérience p

re de ces maraudes, ainsi que celui des écoutants du 115 : veiller au suivi régulier, patient et persévérant, social et sanit

tidien. J'ai eu l'occasion de parler avec une des personnes qui a été suivi par Claus Drexel pour son film-documentaire "Au b

apportés aux personnes isolées aussi bien qu'aux familles, nous avons suivi les divers signalements pour amener quelques pers

a continuité de cette action lorsque l'équipe parlait de SDFs qu'elle suivait depuis plusieurs longues années, toujours soucieu

ger ne parlant pas français, en passant par le diabétique qui peine à suivre son traitement et donc à équilibrer ses glycémies

nnes que l'équipe connait depuis longtemps, et ce rôle d'écoute et de suivi m'a paru fondamental. Ce qui est dommage est que

rganisation en amont nécessaire à l'organisation de ces descentes, le suivi aussi qui était très important (notamment lors du

s personnes dans leurs démarches administratives et où il y a un réel suivi des gens. L'équipe de maraude était vraiment symp

oit en stage (surtout aux urgences) ne sont pas forcément informés ou suivis , et on peut les aider à entrer dans la boucle, mê

e que ça n'était pas juste de l'aide pour une nuit, mais un véritable suivi de ces personnes, qu'ils reviennent voir régulièr

. Lors du débriefing, jai pu apprécier le fait qu'il y ait un certain suivi dès personnes prises en charge. Lors de la maraud

ement Romain Rolland, mais l'homme en question ne souhaitait pas nous suivre puisqu'il attendait un véhicule de la croix rouge

pendant une trentaine de minutes nous l'avons enfin convaincu de nous suivre pour pouvoir passer la nuit au chaud. Une fois ar

édecin généraliste sont en demande dans les centres d'hébergement. Un suivi régulier des SDF éviterait les complications et l

les identifient. Ils connaissent aussi chaque repère d'un quartier et suivent certains SDF depuis des années. Une garde au SAMU

uble écoute au 115, était une bonne mise en condition pour la garde à suivre , qui permettait de se familiariser avec les modes

s les alternatives possibles à leur proposer à chaque fois). S'en est suivie une garde où nous avons uniquement été à la renco

; et on lui a donné l'adresse d'un centre qui pouvait lui procurer un suivi social. Elle était tellement contente qu'elle en

conseils sont souvent perdus au matin une fois la nuit passée car un suivi individuel est difficile pour de multiples raison

stribution de repas, accueil de jour et lits infirmiers permettent un suivi de ces personnes et semblent leur apporter des so

solement social, alcool, maladies et troubles psychiatriques très peu suivis et en rupture de traitement, vol des papiers d'id

u centre d'écoute que durant la maraude. J'ai eu la chance de pouvoir suivre un usager du début à la fin : être à la double éc

musique en particulier pendant le trajet. Les quatre minutes qui ont suivis étaient juste magiques. Une fois la musique début

être, et très reconnaissante de cette opportunité qu'on m'offrait de suivre les équipes du SAMU social. J'ai été reçue avec l

qu’il y aurait une équipe d’au moins 30-40 écoutants. Marie, que j’ai suivie lors des doubles appels, m’a expliqué que le syst

comme mot de fin je voudrais dire un grand merci à l’équipe que j’ai suivie lors ma nuit car ses membres ont vraiment eu la p

red, Lucie et Haffida ! Merci aussi à la très gentille Marie que j’ai suivi lors des doubles appels !

t rapide pourrait leur éviter de nombreuses questions et permettre de suivre les échanges plus facilement. Merci pour cette ex

rande surprise, que les personnes appelant le 115, bénéficiaient d'un suivi social à travers l'historique des différents cent

La double écoute du 115 fut très intéressante. La personne que je suivais m'a expliqué clairement les différents appels que

moyens et d'éducation thérapeutique ne permettent pas d'entretenir un suivi médical régulier. Les efforts fournis par le SSP

une femme qui a commencé que 5 jours avant donc débutante et donc qui suivait le protocole et qui me l'expliquait au fur et à m

tudes, lorsqu'on a par exemple un patient sans abri. Cependant, on ne suit pas ce patient dans ses démarches et on ne sait p

speech d'introduction sur l'organisation du SS et le déroulement d'un suivi d'appel. Nous sommes partis avec le camion vers 2

Ses parents se sont convertis récemment à l'islam. Mr. G refusant de suivre cette conversion est chassé par sa famille alors

permis de prendre contacte avec le fonctionnement du 115. Il s'en est suivit une permanence téléphonique ou j'ai pu prendre co

La double écoute a été une expérience tres marquante. En effet, le suivi des appelants, leur histoire ainsi que l’historiq

survivent. Ce sont des gens qui ont besoin d'avantage de soins et de suivi et qui vont forcement croiser notre chemin (au mo

'âme apaisée comme un corps après l'effort, un de ces états d'âme qui suivent les situations riches d’expériences et d'émotion

nt dynamiques et sympathiques, ce qui m'a permit de me sentir tout de suit à l'aise et de pouvoir, malgré la fatigue, appréc

que j'accompagnais). J'ai pu observer également qu'il y avait un vrai suivi des personnes et ce, dès le premier appel, avec l

r social et du chauffeur. En particulier j'ai eu la chance de pouvoir suivre la démarche d'aide d'un usager (en double écoute

men d'un patient, toujours en ayant en tête la prise en charge qui va suivre . C'est autant de conseils que j'ai entendu donner

perdait son emploi après quelques mois car le rythme était trop dur à suivre avec le fait de vivre dans la rue et il n'arrivai

te par leurs parents, les personnes avec une pathologie chronique qui suivent un traitement mais ne se nourissent pas à côté, c

assistante sociale... j'aurais aimé assister à un tel entretien pour suivre le reste de "la prise en charge" et voir jusqu'où

a une soeur en maison de retraite qui ne peut pas l'accueillir et un suivi par une assistante sociale de l'hôpital. Lorsque

e d'informations au préalable fournies sur les différentes formations suivies par les métiers qui constituent l'équipe (notamme

une solution pérenne ait pu être mise en place pour eux. Lorsque j'ai suivi l'équipe mobile, que j'ai trouvée très dynamique

Est-ce qu'ils ont vraiment respecté la periode de decontamination et suivi leur traitement?

t charmant, j'ai été extrêmement bien accueillie, et ceux que j'ai pu suivre mon montré une véritable volonté de me présenter

re d'hébergement, leur repas, leur besoin... tout est connu. Tout est suivi . Et la solidarité des français: proposition d'héb

l'usager qui appelait, les différentes solutions à lui proposer, son suivi . 2ème étape : le briefing. La rencontre de toutes

e avec beaucoup d'expérience, il n'y eu aucun soucis (il suffisait de suivre les consignes). Dommage que cette institution man

ques en rupture de traitement et comment faire pour les aider pour un suivi pour le futur. Pour résumé, j’ai vraiment appréci

(la raison de l'appel) de lui trouver un abri, un lit, pour la nuit. Suit le briefing. Ce qui en ressort est le manque de p

écoute du 115. La double écoute est très utile pour la maraude qui va suivre , elle permet de se rendre compte du nombre de per

ne pas aller en stage le lendemain. Je connaissais déjà ce monde, me suit déjà engagé par le passé. J'ai eu envie de faire

gée concernant la maraude. Je pense que c'est lié à l'équipe que j'ai suivis ce soir la. En effet ils ne communiquaient pas, n