Expérience personnel que je ne souhaite pas décrire en y ajoutant mon nom, merci quand mê

une solidarité entre ces personnes désocialisées, et que certains ne souhaitaient pas qu'on les emmènent au chaud en centre.

ble ecoute n'était pas formatrice, les coordinateurs téléphoniques ne souhaitaient pas s'occuper de moi. La nuit au sein de l'équipe

regard difficile mais réaliste sur certaines personnes qui paradoxale souhaitent pas tant que ça être aidées par méfiance peut-êtr

en revanche est un jeune qui a été signalé par des passant et qui ne souhaite pas être pris en charge. Au final, ce fut une exp

ement un peu de réconfort et d'humanisme. Ces personnes sans domicile souhaitent parfois ne plus être ignorées du Monde qui les en

abris dans des centres d'hébergement et juste parlé avec d'autres qui souhaitaient rester dans la rue. Celle qui m'a marquée a été u

ris : nous avons donné des couvertures, soupes et cafés à ceux qui le souhaitaient et nous leur avons proposé des cents d'herbergeme

précaire. Ils ne sont pas l'hospice, il faut que la personne démunie souhaite à la base modifier son rythme de vie.

u faire cette garde, j'espère que le partenariat sera maintenu car je souhaite à tous les étudiants de faire cette nuit d'observ

oir uniquement eut accès à la partie urgences du SAMU social, j'aurai souhaité aussi voir la partie du SAMU social qui gère la r

sur la route. J’ai vraiment été frappés par le nombre de personne qui souhaiterai de l’aide mais que nous ne pouvons pas aider, qui

nne qui souhaiterai de l’aide mais que nous ne pouvons pas aider, qui souhaite un logement, un endroit à l’abris mais les centre

nt déjà et il a préféré rester dehors pour la nuit car je cite "Il ne souhaiterai même pas à son pire ennemi de dormir dans cette c

te nuit au SAMU SOCIAL ne fût pas aussi enrichissante que je l'aurais souhaité . L'équipe était aimable et à notre écoute mais le

ité pour refaire ses pansements et nous l'avons laissé là bas, car il souhaitait passer la nuit au chaud, afin d'éviter la pluie.

pluie. Solution d'une nuit seulement, car le lendemain -- et si il le souhaite à nouveau -- il devra appeler dès 7h pour trouver

s de structures d'accueil. C'est, à mon sens, très important quand on souhaite aider son prochain. La maraude était vraiment un

re compte que tous les sdf ne sont pas violents et alcoolisés, qu'ils souhaitent juste de temps en temps discuter et boire un peti

ers le personnel du Samu social et du centre, tous remercient et nous souhaitent bon courage pour la nuit alors que c'est plus à n

ire. D'un autre coté il y a ces personnes qui sont à la rue et qui ne souhaitent pas d'aide si ce n'est peut etre de quoi manger.

ient limitées par l'imprégnation alcoolique des sujets et peu des SDF souhaitaient aller dans les foyers proposés. Pas de debriefing

es personnes dans le besoin qui veulent réellement s’en sortir ou qui souhaitent juste avoir un repas et dormir au chaud le temps

C’est bien dommage que l’on ne puisse pas accueillir tous ceux qui le souhaitent .

hiatrique ou pas) et sont soit généralement dans la rue depuis peu et souhaitent un hébergement, soit sont généralement dans la ru

à propos de son ami, qui n'est "pas bien". Celui-ci, en hypothermie, souhaite aller à l'hôpital. Étant amputé des deux pieds, i

u de signalements, quelques discussions avec des habitués mais qui ne souhaitaient pas d'hébergement.

été marquée par la gentillesse des personnes qui appellent (qui nous souhaitaient tous une bonne année) et surtout par l'automatism

une béquille. Ce jeune homme avait dû arrêter ses études post-bac et souhaitait les reprendre mais avait besoin de soutien pour c

uipe n'est pas toujours facile mais je l'ai été sans difficulté et je souhaite remercier ceux qui m'ont accueilli, je pense que

uasiment tous un courage et une force de caractère exceptionnels. Ils souhaitaient tous garder leur dignité, expliquant en partie le

ls. Nous avons donc pu loger pour la nuit à peu près tous ceux qui le souhaitaient . Par exemple, une de nos rencontres a été avec un

s à qui nous avons fournis des repas et boissons chaudes, mais qui ne souhaitaient pas d’hébergement pour la nuit (pour des raisons

rés, mais le plus souvent des gens qui n'ont pas eu de chances et qui souhaitent vraiment s'en sortir. Et parfois j'ai été choqué

Nous recueillons les appels des SDF qui souhaitent être hébergés en centre pour la nuit car il fait

ibérer les chambres à 10 ou 11h. J'ai été étonnée de voir que tous ne souhaitaient pas toujours rejoindre un centre d'hébergement po

c'est une autre histoire. On reçoit un signalement d'un homme qui ne souhaite pas d'hébergement pour la nuit, mais juste que le

n. Néanmoins, j'ai rencontré au cours de cette nuit un SDF qui aurait souhaité pouvoir aller dormir dans un centre mais cela lui

rnée notifiaient des familles avec bébé de moins de quelques mois qui souhaitaient un logement sans recevoir les places réservées po

nt d'acceuil. Je respecte beaucoup cette mission et ce travail, et je souhaite plein de courage à toute l'équipe.

aider, quand ils avaient clairement besoin d'aide, ou même lorsqu'ils souhaitaient de l'aide mais avaient trop peur de nous suivre,

a fatigue et je n'ai pas profité autant de mes gardes que je l'aurais souhaité .

agers. Ils sont juste là pour aider, et seulement si les personnes le souhaitent . J'ai découvert qu'il y avait une grande disparit

n du samu social qui ne peut pas répondre à autant de demandes qui le souhaiteraient . Nous sommes ensuite partis en maraude, après le

Il faudrait l'écourter, jusqu'à minuit par exemple, pour ceux qui le souhaitent .

ue leur dernier rempart contre l'isolement, la faim et la maladie. Je souhaite également mentionner les conditions idéales dans

ré, et tout de suite intégrée au sein de mon équipe de maraude que je souhaite remercier. Nous avons la chance, selon moi, de bé

rouvée à la rassurer, à sourire sans arrêt. La seule chose que je lui souhaitais cette nuit là, c'est qu'elle dorme d'une traite e

s ces personnes font partie malheureusement d'une grande minorité qui souhaite s'en sortir. Cette expérience me semble important

ons rencontré plusieurs personnes dans la rue, d'ailleurs certains ne souhaitaient pas être amené en centre malgré le froid. Nous so

rqué lors de ma garde c'est peut-être les sans domiciles fixes qui ne souhaitaient pas d'aide de la part du Samu Social ou seulement

repartons faire un tour dans Paris pour proposer aux personnes qui le souhaitent , une couverture, une soupe, un café ou une oreill

garde au Samu Social. C'est une expérience très humaine à laquelle je souhaitais vraiment participer. Cela m'a fait "très plaisir"

sans habits réellement adaptés) ne cherche pas forcément d'aide et ne souhaite pas forcément parler au personnel du samu social.

quelques vêtements. J'ai été surprise de voir qu'aucune personne n'a souhaité aller dans un refuge pour la nuit. J'ai trouvé ce

? Une seule certitude, si je me retrouvais dans pareille situation je souhaiterais ardemment que l’on me mette une balle dans la nuq

découverte pour moi ; cependant j 'en garde un très bon souvenir, et souhaite souligner notamment une situation qui m 'a partic

ée par l'attente interminable, nous insulte et nous finissons par lui souhaiter une bonne soirée et raccrocher. Puis, un russe no

nt lequel j'ai effectuer beaucoup de garde dans mon service. J'aurais souhaiter pouvoir faire cette garde à un autre moment car j

nnels de la santé et du social pour les étudiants en médecine, qui ne souhaitaient pas faire partager leur quotidien ni leur expérie

us sommes là uniquement par obligation, de plus ces professionnels ne souhaitent probablement pas avoir d'étudiants tous les jours

e sujet et j'admire le phlegme de l'équipe face à cette situation. Je souhaite bon courage à toute l'équipe du SAMU Social. Votr

a pu aider de nombreux personnes dans le besoin. Certaines personnes souhaitaient dormir au chaud et d'autres avaient envie de boir

ns emmené que 2 personnes dans des centres d'hébergement, beaucoup ne souhaitaient pas y aller (et les places étaient rares par aill

médiatement vomis. Il souffrait du ventre (depuis environ 3 jours) et souhaitait qu'on le transporte à l'hôpital. L'infirmière a p

aliste de la psychologie, ou de la psychiatrie, mais la femme n'a pas souhaité quitter son véhicule... Nous l'avons donc laissé

n premier appel. Il venait de se fait virer du squat où il logeait et souhaitait trouver un logement pour continuer de s"entreteni

rvée dans l'établissement Romain Rolland, mais l'homme en question ne souhaitait pas nous suivre puisqu'il attendait un véhicule d

ureux. Peut-être serait-il possible de permettre aux étudiants qui le souhaitent de venir faire des maraudes via un partenariat en

oup de fil plus tard une place est trouvée, malheureusement madame ne souhaite pas retourner dans ce centre et préfère encore re

rsonnes tout au long de la nuit, bien que la moitié seulement n'aient souhaité aller dans des centres pour la nuit : le fait de

s propres moyens de l'étudiant, soit par la maraude) pour ceux qui le souhaitent , faute de quoi c'est extrêmement pesant... (1h30

fois qu'on s'arrêtait pour leur en donner, on leur proposait, s'il le souhaitait et sous réserve de places, une place d'hébergemen

rté que j'ai eu, c'est d'avoir amener un jeune homme de 25 ans qui ne souhaitait pas de notre aide et disait ne plus avoir confian

d'anthropologie dont le salaire ne permet rien, a la personne qui ne souhaite pas nous suivre pour X raison...) et tous, étaien

culier. Aucune femme ne devrait rester sans protection dehors si elle souhaite s'abriter. Je pensais à mon sujet ne pas avoir d'

contre un voleur, un violeur, la maladie, le froid, la faim ? Je leur souhaite beaucoup de courage et je les remercie de nous ac

veau de la jambe dont Sophie s'était occupée il y a 2 semaines, et il souhaitait qu'elle regarde à nouveau, et refasse le pansemen

irs, elle semblait être dans une situation de séparation familiale et souhaitait garder la discrétion à ce sujet. Cet appel nous a

ns la restauration, il a son gamin chez ses parents, et tout ce qu’il souhaite pour 2012 c’est un logis pour vivre avec lui. Seu

tribuer les rares pulls que nous avons et accompagner les gens qui le souhaitent dans des foyers si toutefois il y a des places. L