ne sont pas négligeables. Selon moi, un réseau d'accompagnement pour
sortir
du cercle vicieux de la rue devrait être privilig
hissante : le contact avec des personnes Sans Domicile Fixe permet de
sortir
des stéréotypes que nous avons sur ces personnes.
, ainsi qu'à des populations migrantes qui ont vraiment la volonté de
sortir
de la rue. Seulement, on ressent fortement le man
laquelle se trouve ces personnes et de la dificulté qu'elles ont à ce
sortir
de leur situation. J'avais déjà malgré tout une i
cile du côté des équipes du 115 c'est qu'on reste impuissant pour les
sortir
véritablement de leur problèmes. On peut leur app
si. Voir un tel niveau de misère et la plupart du temps dont on ne se
sort
pas. J'ai été triste de me rendre compte que l'al
l'alcool étant omniprésent il était presque illusoire de vouloir les
sortir
de la, et qu'une soupe, un café ou une nuit dans
ante. Cependant je pense que cela doit etre facultatif. En effet cela
sort
un petit u cadre de la medecine. De plus je conna
u Samu Social, et cette aide a donné à tous l'envie et l'espoir de se
sortir
de cette situation, parfois très compliquée. C'es
vivre dans la rue, et peu de choses sont faîtes pour tenter de les en
sortir
définitivement et pas seulement pour une soirée.
le camion, il est venu... Au final, une très bonne expérience. Faire
sortir
les étudiants en Médecine de leur fac et de leurs
e système. Après 6 mois de rééducation post-chute, l'hôpital l'a fait
sortir
pour des soins à domicile, elle n'a plus de domic
partement pour loyers impayés. Mais pourtant on l'a laisse quand même
sortir
, étant donné qu'elle ne nécessitait plus de soins
oir des sans abris très jeunes (< 25 ans) et qui ont envie de s'en
sortir
mais qui n'y arrivent pas.
cueillie. J'ai compris le gros travail du SAMU social pour essayer de
sortir
les gens de la rue, c'est une bonne chose que les
coup de pouce, l'hébergement, pour continuer leurs démarches et s'en
sortir
, et ceux où l'on peut entendre leur lassitude et
ème et ses habitudes depuis des années sans réelle conviction de s'en
sortir
. La partie de nuit dans le camion permet de rompr
"C'est moi qui ai fait cela". Ce n'est pas quelqu'un d'autre qui l'a
sorti
de la rue, mais lui-même qui s'en est sorti, en s
quelqu'un d'autre qui l'a sorti de la rue, mais lui-même qui s'en est
sorti
, en s'appuyant sur les béquilles qu'on lui tendai
ce du travail des différents acteurs du domaine social pour tenter de
sortir
les personnes démunies de l'exclusion. Ce qui m'a
niquement celui qu on voit arriver alcoolisé aux urgences. de plus on
sort
du rapport patient-malade pour un rapport plus hu
Je ne partais pas avec une envie folle d'effectuer cette garde au
sortir
des partiels et juste avant les autres mais je fu
u'on lui avait diagnostiqué un diabète de type I et pourtant il était
sorti
contre-avis de l’hôpital dans lequel on proposait
l avant cette nuit. Je pense que sa mission est essentielle et aide à
sortir
certaines personnes de l'exclusion sociale. Ce qu
e chose, c'est sans doute que le SAMU social n'a pas pour vocation de
sortir
les gens de la misère, mais de leur proposer une
u parler avec les personnes. Les équipes fument sans arret, des qu'on
sort
du camion, pour une non fumeuse c'est pas toujour
le travailleur social a demandé le certificat de grossesse, l'homme a
sorti
des papiers avec notamment un test aux bêta hcg n
, en nous amenant à découvrir la vie des sans-abris cela nous force à
sortir
de notre zone de confort pour aller à la rencontr
assez de place dans les foyers notamment) et ce système ne permet de
sortir
les personnes de la rues.
ans un hébergement pour qu'il ne perde pas son travail et puisse s'en
sortir
au plus vite, le coordinateur ne voulait pas lui
l avant de pouvoir être aidé alors que la il a la possibilité de s'en
sortir
. Par ailleurs, j'ai été marqué par le peu de plac
ent) de trouver un repas et un logement, alors même que ces personnes
sortent
d'une période très difficile (fuite de leur pays
re je m'ennuyait un par car on ne me parlait pas trop. Mais lorsqu'on
sortait
du camion c'était très sympa de rencontrer des pe
rsonnes du SAMU SOCIAL font un très beau métier. Je suis pour ma part
sorti
de cette garde avec une envie plus grande d'aider
rapide et superficiel en une nuit, ce n'est pas une nuit au chaud qui
sort
ces gens de la rue, et c'est difficile de se rend
sont à l'écoute des autres et cherchent réellement à les aider, à les
sortir
de la rue. Cette garde a été très formatrice et j
e permet de bien comprendre le fonctionnement du SAMU social avant de
sortir
et d'avoir une vision globale de ce que l'on peut
laquelle se trouvent les "usagers", des difficultés qu'ils ont à s'en
sortir
. Cette nuit aura aussi été l'occasion pour moi de
ussi beaucoup touchée , c'était un jeune homme de 22 ans , à la rue ,
sorti
d'un foyer de province ,qui tous les soirs se bat
telle situation sans qu'il n'y ait de solution à lui proposer pour le
sortir
de cette vie . Beaucoup de personnes que l'ont ve
s'est occupé d'un monsieur SDF courageux avec le grand désir de s'en
sortir
. On a pris beaucoup de temps a parler avec lui, l
apeutique et la prise en charge de ces patients est délicate une fois
sortit
des structures hospitalière et ainsi réfléchir à
Il permet aussi de voir ou en sont les personnes dans leur volonté de
sortir
de la rue par l'acquisition de papier et aussi le
ment pour une seule nuit, que les démarches administratives pour s'en
sortir
prennent des mois et des mois, à quel point il es
iation pour aider les sdf. Ces personnes ont besoin de nous pour s'en
sortir
. Le froid qui m'a glacé cette nuit je ne l'oublie
in. Mais j'ai aussi vu à quel point il est difficile et long de faire
sortir
quelqu'un de la rue; cela prend plusieurs année,
garde au SAMU social était une expérience très enrichissante qui nous
sort
de notre confort et de la vision que nous pouvons
té, faire valoir leurs droits et les encourager à se battre pour s'en
sortir
. Malheureusement il n'y avait pas d'infirmiers av
plein mois de novembre ainsi que de la difficulté qu'elles ont à s'en
sortir
. Les hôtels proposés par le 115 sont souvent très
sation. Lors de ma garde, on a notamment pris en charge un usager qui
sortait
de l'hôpital contre avis médical et qui refusait
ar la suite de faire des démarches administratives pour essayer de le
sortir
de cette situation, voire même juste le faire acc
quait les éventuelles solution qu'il a devant lui pour l'aider à s'en
sortir
. Et moi, j'aidais à traduire en arabe ce qu'il lu
rance pour que son enfant ait la nationalité française. elle vient de
sortir
de l'hôpital, son enfant a seulement 3 jours et e
nous mettre dans le bain en découvrant les situations qui relèvent du
sort
du 115 et du SAMU Social (ce que je ne savais pas
ons, leurs problèmes quotidiens... En d'autres termes, j'ai pu un peu
sortir
de ma bulle... J'ai également découvert le travai
es d’accueil devraient ouvrir et aider encore plus les usagers à s’en
sortir
. Ce fut une très belle expérience pour ma part. M
uvrir que ces personnes ont tous leur histoire, souvent la volonté de
sortir
de la rue mais les démarches sociales sont longue
dre comment elles en était arrivé là, ce qu'elles faisaient pour s'en
sortir
car c'est quelque chose que nous ne faisons jamai
uve des places pour untel mais pas pour lui , qui fait tout pour s'en
sortir
,lui, pourtant . Tant pis, il aura la voute étoil
lise et son air déterminé , demain il devra se lever aux aurores pour
sortir
les poubelles du voisinage histoire de gagner un
ée au groupe. J'ai pu affronter des situations assez compliquées, qui
sortent
du cadre médical et qu'on ne rencontrera pas forc
, pourquoi certains baissent les bras alors que d’autres veulent s’en
sortir
: tant de réflexions qu’une seule nuit au samu so
e des maraudeurs est vraiment essentiel pour aider les usagers à s'en
sortir
, à ne pas être totalement isolé. Leur démarche es
des gens qui n'ont pas eu de chances et qui souhaitent vraiment s'en
sortir
. Et parfois j'ai été choqué de l'agressivité de c
cuter avec nous... Nous raconter comment est-ce qu'ils font pour s'en
sortir
, quelles sont leurs astuces. Je remercie surtout
des gens qui travaillent ou qui font tout ce qu'il peuvent pour s'en
sortir
mais qui ne peuvent pas se loger ni subvenir à le
use des évènements dans son pays, et qui est venu en France pour s'en
sortir
, seul, sans aucune connaissance de la langue et n
ces personnes. Je garde le sentiment qu'il est presque impossible de
sortir
quelqu'un de la rue, mais je me rends bien compte
dans l'urgence, cela ne permet malheureusement pas aux sans abris de
sortir
de la rue à terme. Je n'aurais pas le courage d'e
s de 0, et j’avais du mal à supporter la température, alors que je ne
sortais
du camion que pour quelques minutes...
r dormir, certains profitant du système sans vraiment chercher à s'en
sortir
, et d'autres qui appelaient seulement pour donner
aitements", qu'on leur vole leurs affaires ou qu'ils ne puissent plus
sortir
d'un centre. La prise en charge qui m'a le plus t
raste est particulièrement saisisant , entre les jeunes parisiens qui
sortent
s'amuser, et les sdf , seuls, dans le froid, et i
e vue physique et de les encourager à entreprendre des démarches pour
sortir
de cette marginalisation. Le serment d'Hippocrate
est assez courante : la brûlure à cause de l'air chaud des métros qui
sortent
par les grilles posées sur le sol des rues. Quand
sa famille pour l'accueillir ? un ami ? comment va t'il pouvoir s'en
sortir
? va t'il finir sa vie dans la rue ? est ce que j
malgré tous les maux qui leur tombaient dessus, ils acceptaient leur
sort
, simplement. De plus, certains voulaient rester d
ui lui cachait la moitié du visage. Nous avons attendu qu'elle daigne
sortir
de sa cachette pour monter dans le camion directi
ide transitoire est insuffisante et bien peu sont ceux qui arrivent à
sortir
de "l'enfer" de la rue... Sans parler de la polit
ur ces personnes, pour les aider dans les démarches à faire pour s'en
sortir
et pour parfois leur trouver un endroit où dormir
repas. Une soiree de partage, que je ne suis pas prête d'oublier. Je
sors
grandie de cette courte expérience, avec une visi
s font partie malheureusement d'une grande minorité qui souhaite s'en
sortir
. Cette expérience me semble importante pour un fu
ivi de ces personnes et semblent leur apporter des solutions pour les
sortir
de leur situation précaire et permettent de se pr
le trentenaire cumulant petits boulots payés au black pour essayer de
sortir
la tête de l'eau. Notre maraude n'a eu aucun sign
e de douloureux pour lui. Il avait réellement une détermination de se
sortir
de cette situation qui était très poignant. A not
lus qu'il s'agit d'une garde obligatoire de laquelle on aimerait bien
sortir
vivant et le fait de devoir rentrer à 5h du matin
du 115 me semblent dans une situation trop précaire pour pouvoir s'en
sortir
par eux mêmes. J'ai été déçue de voir a quel poin
personnes placées pour essayer de leur donner des solutions pour s'en
sortir
. L'infirmier m'a fait visiter les lieux du centre
ils méritent donc qu'on leur donne au moins une petite chance de s'en
sortir
en leur tendant la main, en les guidant, en les s
rniers l’ont finalement convaincu d’y aller. Il était de Toulouse. Il
sortait
de 6 ans d’incarcération et avait quitté la régio
l'idée que ce combat est perdu d'avance : en effet qui s'intéresse au
sort
des SDF? (surtout lorsqu'ils sont en errance depu
ce suivi au long cours, on assiste parfois à des miracles où certains
sortent
de la rue. Bref, une super expérience douce-amère
liberté, de non-volonté de travailler, et que lorsque l’on veut s’en
sortir
, on s’en sort ; la réalité s’avère tout autre, la
-volonté de travailler, et que lorsque l’on veut s’en sortir, on s’en
sort
; la réalité s’avère tout autre, la grande majori
ossible de discerner dans la voix des gens l'angoisse de connaître le
sort
qui va les attendre la nuit: pouvoir dormir dans
is imaginer. Étonnée par la diversité des personnes, certaines qui ne
sortiront
pas de la rue (plus l'envie de parler, plus d’hyg
iples fixées, trachéotomie, la liste est non exhaustive. Mais il s'en
sort
, diminué, avec une canne pour marcher, mais il s'
Mais il s'en sort, diminué, avec une canne pour marcher, mais il s'en
sort
... Depuis 1 ans dans les rues de Paris, il atten
minutes, l’équipe a réussit de le persuader de faire des efforts pour
sortir
de cette situation, aller à la recherche d'aide (
reprendre sa vie en main. Je dirai qu'ils lui ont donné du courage de
sortir
de son isolement et d'aller en avant. -Par ailleu
les droits et les démarches possibles pour que les sdf puissent s'en
sortir
, grâce aux travailleurs sociaux avec qui nous avo
chez lui et avait du arrêté ses études mais qui semblait vouloir s'en
sortir
, reprendre ses études, trouver un travail... L'éq
les missions du samu social: principalement celle d'aider les gens à
sortir
de leur précarité (par exemple: ils ne distribuen
ptent alors un échange avec nous. A un moment de la nuit, nous étions
sortis
du camion pour parler à une sans-abri sur une pla
sibilité de rencontrer médecin et assistante sociale. Comment va s’en
sortir
Robert monté à l’arrière du camion et qui aurait