es vis-à-vis des démunis, des sans-abris. Dans notre milieu, ou notre
société
, ces gens exclus de la société sont marginalisés
ans-abris. Dans notre milieu, ou notre société, ces gens exclus de la
société
sont marginalisés ignorés par une grande majorité
du SAMU social m'a fait ouvrir les yeux sur cette "section" de notre
société
. J'ai tout de même réalisé que le manque de moyen
protection des membres les plus fragiles et les plus exclus de notre
société
. L'équipe avec laquelle je suis parti en maraude
ilière qui semblait désaffectée, appuyant bien les paradoxes de notre
société
. Je n'entends pas par là blâmer notre modèle de s
oxes de notre société. Je n'entends pas par là blâmer notre modèle de
société
, conscient que certains SDF préfèrent parfois res
e voir l'envers du décor et de voir ce que vivent les exclus de notre
société
...
l'objectif est de connecter avec les personnes les plus exclues de la
société
, n'ayant souvent même pas de moyen de communicati
ar la bienveillance des maraudeurs envers toutes ces personnes que la
société
ignore chaque jour. Ils ont tissé des liens, cons
al a "humanisé", des personnes considérées comme étant en marge de la
société
, des sans domicile fixe, des migrants. Les côtoye
". Il s'agit d'une très bonne occasion pour changer son regard sur la
société
, ces situations de précarité tendent à être de pl
On voit la misère de la rue, le samu social regarde là ou la
société
détourne les yeux. Crée en 1993 pour lutter contr
de pouvoir y redormir. On est quand même choqué pour l'échec de notre
société
, trop nombreux sont ces hommes et femmes abandonn
ue cotoyer la misère nous fait prendre conscience des "oubliés" de la
société
. En effet, pris dans le tourbillon de nos vies bi
et pourtant ils existent et sont de plus en plus nombreux dans notre
société
. Quand nous nous promenons dans la rue nous les v
eillons et hébergeons ne s'intégreront probablement jamais dans notre
société
.. En tous cas je remercie la faculté Paris 6 et l
pas été déçue! La découverte d'un monde à part, de "ce monde" dans la
société
et pourtant en dehors des règles de la société. U
de "ce monde" dans la société et pourtant en dehors des règles de la
société
. Un roumain diplômé d'un bac+6 dans son pays tent
, dans la rue, plus ou moins forts, que l'on croit seuls, mais que la
société
n'oublie pas: leur nom, leur adresse, leur age, l
t comme une structure indispensable à l'esprit de solidarité de notre
société
.
sources disponibles pour véritablement aider à la réinsertion dans la
société
.
olutions ou de donner des conseils aux SDF pour les réinsérer dans la
société
. Peut être parce que toutes les solutions pour ce
t là. Cette garde permet aussi de faire réfléchir sur l'état de notre
société
où coexiste, sur un même trottoir, des gens qui n
r le plan personnel, le contact avec une calsse particulière de notre
société
, m'a a appris beaucoup de leçon.
J'ai adoré cette garde car elle permet d'avoir un autre regard sur la
société
. Dans la vie de tous les jours, oui nous rencontr
les sont les difficultés quotidiennes de ces personnes en marge de ma
société
: trouver un logement pour la nuit, ne pas se fai
enfants qui depuis leur naissance ne connaissent que ce visage de la
société
. Cette garde à été très enrichissante et je pense
tenu et la découverte de cette partie de la population en marge de la
société
. J'ai été malheureusement étonné par le si grand
, il y en a partout... Bien sur j'avais conscience de l'état de notre
société
mais pas à ce point, c'est bien triste. Fort heur
hauds, ou tout simplement en les aidant à renouer le dialogue avec la
société
et écouter les histoires qu’ils ont à nous racont
tre perçu comme menaçant voire "absorbant" pour certains exclus de la
société
qui, très au fait du fonctionnement des maraudes,
problématiques et à changer de regard sur les personnes exclues de la
société
et ceux qui leur viennent en aide; encore merci.
s emmené en camion à Montrouge ce soir là des « grands exclus » de la
société
(sans domiciles depuis de nombreuses années, cert
uit pour discuter avec eux de leur travail auprès des personnes de la
société
en difficulté : les joies et les difficultés, le
ns, nous plus tard, auront un rôle à jouer auprès des personnes de la
société
en difficulté ; et cela commence dès maintenant p
dans lesquelles ils vivent, participent a cette mise a l'écart de la
société
. J'espère que cette expérience même si elle est d
de mieux comprendre et peut être aider les personnes à l'écart de la
société
. j'envisagerais différemment mes gardes aux Urgen
nnes pour, par la suite, les accompagner vers une réinsertion dans la
société
. Une chose m'a toutefois profondément marqué, le
es dans la rue. Je trouve que le SAMU SOCIAL a une vrai place dans la
société
afin d’aider les gens dans la détresse. Cette nui
d'aller au contact de personnes habituellement invisibilisées par la
société
. J'ai pu également prendre conscience de certaine
ambitions et motivations permet de se poser quelques questions sur la
société
. D'autres fûrent moins agréables notamment quand
humain. La rencontre et le dialogue avec ces personnes, exclues de la
société
, permet de découvrir leur quotidien et de lever d
de nous intéresser de près à ces personnes qui sont à la marge de la
société
.
vidente les acteurs du samu social essayent de les réintégrer dans la
société
en leur parlant, leur posant des questions sur le
ssion mitigée. Beaucoup de questionnements soulevés sur le rôle de la
société
, parfois même l'utilité de ces interventions (bea
la misère, de la pauvreté, des personnes sans abris, seulement notre
société
ferme les yeux. Le samu social me les a ouvert, e
es moyens qu'il possède) à entretenir la relation entre les sdf et la
société
. Sa dimension humaine, et la bienveillance que j'
endance quotidienne de ces services montrent bien un gros problème de
société
, qui m a été décrit comme clairement croissant su
point ça devait être dur à vivre, en plus du mépris et du rejet de la
société
, la solitude dans laquelle ils se trouvent. Depui
sonnes ont des difficultés multiples pour s'insérer à nouveau dans la
société
.
, c'est une expérience enrichissante, qui éclaire sur un aspect de la
société
, masqué le plus souvent.
vivant dans la rue me brisent le coeur et il est indispensable que la
société
intervienne. Cependant, ce que j'ai trouvé assez
maladie, froid, les vols...), de leurs tentatives de s'intégrer à une
société
qui les accepte difficilement... Autant de problé
nt ces personnes sont agressives car ils se sentent abandonnés par la
société
. Je ne pourrais pas faire ce travail, mais j’admi
irait que l'existence du samu social est paradoxale. Il existe car la
société
n'est pas parfaite puisqu'elle permet que des per
met que des personnes en soient exclues mais cela montre aussi que la
société
se rende compte de la nécessité de son existence.
é se rende compte de la nécessité de son existence. C'est comme si la
société
avouait sa propre imperfection. S'il y a trop de
it sa propre imperfection. S'il y a trop de Samu social, c'est que la
société
dysfonctionne beaucoup mais fonctionne néanmoins
glace et d'instaurer un dialogue avec ses personnes exclues de notre
société
, pour des raisons très différentes et avec des pr
es bars du quartier latin. "Les clochards sont les conséquences de la
société
. Nous en sommes tous responsables.", rapportait u
'loin peut porter sur les personnes sans domicile fixe et que que la
société
peut nous faire voir de manière péjorative mais é
e garde est indispensable pour se rappeler ou se rendre compte que la
société
génère des exclus et que ces personnes sont fragi
des gens qui on peur/se méfient, qui sont en perte de contact avec la
société
... parfois, en prenant le temps, on peut arriver
s et dont je me souviendrai . Constat de l'indifférence globale de la
société
envers les SDFs. Ceci étant, je ne comprends abso
tré un autre point de vue sur des personnes rejetées, à l'écart de la
société
.
ui nous rappelle que nous sommes tous humains et que, vivant dans une
société
, nous devons nous entraider.
llante. Ce qui restera flou pour moi est l'aide à l'insertion dans la
société
que reçoive les usagers de la part de l'assistant
ver un nouveau logement, elle se sentait totalement abandonnée par le
société
, elle avait peur de se faire dépouiller par les a
eu social d'origine, d'état d'esprit, de culture, de perception de la
société
. Certains étaient abattus, d'autres perdus, d'aut
social. Pouvoir établir le contact avec des personnes en marge de la
société
, que l'on croise tout les jours dans la rue/metro
oyable humanité et empathie face aux SDF, trop souvent ignorés par la
société
. Je ne n'imaginais pas à quel point leur mission
i me parait la plus importante reste ce lien social maintenu entre la
société
, représentée par l'équipe mobile, et ces personne
ôpital le patient n'a ni logement, ni entourage et est en marge de la
société
? Merci pour nous avoir donné l'opportunité de cet
ces personnes en détresse seraient tout simplement oubliées par notre
société
. Merci à tout l'équipe qui m'a accueillie pendant
ver au plus près des personnes démunies et souvent très exclues de la
société
. Je pense que cette nuit m'a permis d'acquérir un
l'argent, mais en réalité ils ont surtout besoin d'un "lien" avec la
société
, de se sentir intégré, de ne pas être laissé à l'
ent sur le plan humain. C'est l'occasion d'entrevoir une partie de la
société
dont j'ignore le fonctionnement et la réalité. Le
s intéressante permettant de nous ouvrir les yeux sur un phénomène de
société
qu'on a tendance à ignorer. C'est un réel choc de
une équipe incroyable qui m'a permis de voir une autre facette de la
société
. Vers 2h du matin un homme dormait sur un carton
ai observé donner de leur personne pour aider des gens rejeter par la
société
dans un contexte hivernal de grand froid. Je beau
tre les usagers et moi. Ces personnes, parmi les plus exclus de notre
société
, qui n'ont pas de toit, pas d'argent ou si peu, p
re aussi irrespectueux sous prétexte qu'un homme est un "reclus de la
société
". Et "Vous lui dites qu'il reste tranquille", ave
sur le Parvis de Notre-Dame, qui vivait depuis 20 ans en marge de la
société
("la vie de bohème", "je ne suis pas matérialiste
le Samu social est vraiment utile car il permet aux plus exclus de la
société
de se confier quant à leurs problèmes, et de leur
t des hommes et de femmes dévoués et sincères dont le rôle dans notre
société
est tout à fait essentiel. Ils apportent du récon
ls impressionnant que recevait le Samu. Que ce soit du marginal de la
société
à la famille de réfugiés, il a fallut trier ces a
et isolés, pour qui le SAMU social est un des seuls contacts avec la
société
; et des personnes ou des familles sans domicile d
our certains, ça représente le seul lien qu'ils entretiennent avec la
société
, un peu comme un dernier recours. Pour terminer,
oulève néanmoins des questions par rapport à la réintégration dans la
société
de gens marginalisés et à l'organisation actuelle
que le samu social agissait pour le bien de personnes rejetées de la
société
, déjà car ils ont perdu leur travail ou autre mai
ciaux) les seules structures capables de réinsérer l'individu dans la
société
, sont elles aussi "sacrifiées" pour augmenter le
tures sociale adaptées comme le samu social couterait moins cher à la
société
qu'une absence de prise en charge faute de moyen
par un dialogue mettant en relation la personne marginalisée avec la
société
. Il me parait important en effet qu'outre l'aide
existerait pas, il s'agit parfois du seul lien qui leur reste avec la
société
.
té déçue du tout! Les sans-abris sont des personnes délaissées par la
société
, et le fait d'être dans une démarche de créer un
uer un contact avec les usagers et de tenter de les maintenir dans la
société
. Ils connaissent beaucoup des usagers, savent ceu
morale pour travailler en prise direct avec les plus démunis de notre
société
. L'impuissance et l'impossibilité d'action face à
pour un être humain, mais traduit là encore, la dure réalité de notre
société
. Concernant la double-écoute, ce qui m'a profondé
s que lui même allait rester dehors pour la nuit et qu'aux yeux de la
société
il n'est utile pour personne. La preuve que non!
squ'elle approche toute la misère sociale qui peut exister dans notre
société
aujourd'hui, et donc on ne tient pas forcément co
ormes quant au service civique pour interpellez les 15-20ans de notre
société
, futurs leaders de demain.
Elle nous permet de découvrir une population laissée à la marge de la
société
, que l'on a l'habitude de côtoyer aux urgences pa
sant de prendre un emploi afin de s'intégrer véritablement dans notre
société
. On a aussi fait la rencontre d'une femme sans do
gements d'urgences sont déjà pleins . Entendre leur rancœur contre la
société
dans ces cas la, aussi . Et contre le Samu social
mis de porter un autre regard sur ces personnes vivant en marge de la
société
: ce sont des personnes qui nous entourent au quo
tact avec le monde. Tant de choses si difficiles quand une part de la
société
vous rappelle chaque jour, par son ignorance ou p
le fait que les travailleurs sociaux ont une place majeure dans notre
société
actuelle, je trouve que c’est difficile car parfo
rt, tout en lui proposant une première étape vers le retour à "notre"
société
. Est-ce impossible de par un problème de faisabil
oyais les sdf comme des personnes alcoolisées,agressives,exclus de la
société
et n'ayant plus grand chose d'humain et je me gar
arviennent plus à se sentir à l'aise dans les endroits courants de la
société
. C'est vraiment cet aspect de la garde qui m'a ch
is fatiguée...) Je me suis rendue compte aussi de deux facettes de la
société
: - une terrible : nous tous qui ne daignons pas
us, elle permet d’ouvrir les yeux sur la misère qui existe dans notre
société
, réputée pourtant pour sa puissance économique. C
s qui permettent de retrouver un lien social et une existence dans la
société
aux travers d’assistantes sociales (même si on pe
pas vraiment ; juste des inconnus qui n'ont plus de fonctions dans la
société
sinon celui de la figuration mendiante, tel ce mo
avec l'alcool en plus. Des personnes seules, isolées, écartées de la
société
. Pourtant ce qui m'a marqué c'est leur sourire, l
j'ai été très surprise. Les agressions sexuelles, sujet tabou dans la
société
, le sont encore plus lorsqu'elles touchent les ho
n de l'oeil et détournent le regard quand ils se sentent observés, la
société
de la curiosité avide et du spectacle, et certain
court terme. Ils sont la représentation de la bonne conscience de la
société
, histoire de dire "on n'est pas des animaux, si u
qui se retrouvent pourtant (et parfois depuis longtemps) au ban de la
société
. Cela n'a pas de prix. Pour ce qui est de ma mara
aiment Audrey, qui me parlait longuement de ce qu'elle pensait sur la
société
, l'être humain, ses expériences dans le monde hos
e "nous", comme si une frontière nous séparait, ceux "en marge" de la
société
? Mais si l'on prend bien le temps d'y repenser, d
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