s actions... L'équipe est très accueillante et conviviale, je me suis
senti
réellement intégré dans l'équipe.
J'ai été surprise par la facilité de contact des SDF avec le Samu. On
sent
que le Samu a acquis une vraie renommée et le res
n de voir un entretien de premier Samu, c'était très enrichissant. On
sent
qu'ils n'essayent pas de tout faire en un soir, m
ence assez difficile pour moi. Me confronter à autant de misère et me
sentir
totalement impuissante face à celle-ci était pert
une telle euphorie chez quelqu’un pour un cadeau. Ça fait du bien de
sentir
qu’on peut faire plaisir et les aider. Nous avons
er. Nous avons également aider une maman avec un bébé de 1 mois, elle
sentait
que son bébé mangeait moins et commençait peut-êt
uelques points à soulever : ils sont très sympathiques, mais on ne se
sent
pas à notre place pendant la maraude. Si l'équipe
couvrir les bruits du camion alors qu'un SDF est juste à côté). On se
sent
donc vite mis de côté, et la nuit est vraiment lo
r la relation que l’équipe nouait avec la personne dans le besoin. On
sentait
que rien que notre visite et notre sourire leur a
tait bon, les membres de l'EMA nous prennent bien en charge, on ne se
sent
pas exclu, c'est agréable.
'équipe était très motivée pour m'expliquer leur rôle , et je me suis
senti
plutôt à l'aise en maraude avec mon expérience du
l suffisait presque d’avoir enfiler le manteau gravé samu social pour
sentir
le contact naître facilement avec les sans abri e
munies à Paris. L'équipe a été très acceuillante. Je me suis vraiment
senti
intégré à l'équipe durant la nuit. Mention spécia
première expérience de ce type, et ça m'a beaucoup marqué. Je me suis
senti
à la fois utile et impuissant notamment face à ce
ense que cette garde devrait être facultative pour les gens qui ne se
sentent
pas capable de la faire ou qui ont peut être un p
ense que le stage aux urgences m'a plus aider que cette garde pour me
sentir
plus a l'aise dans la prise en charge d'une perso
hone. En revanche je n'ai pas du tout apprécié la maraude, je me suis
sentie
assez inutile et c'était très répétitif.
s et du degré de détresse de certaines personnes/familles. Je me suis
sentie
à l'aise sur le terrain et j'ai pris plaisir à éc
tre eux nous a même rapporté qu'il restait dans la même rue car il se
sentait
chez lui. C'était sa rue, son quartier, comme le
n est tres bien accueilli et il suffit de poser des questions pour se
sentir
intégré. L'équipe est géniale et on à l'impressio
ées reçues . L'équipe était accueillante et si l'on est motivé ils le
sentent
et nous intègre plus . Globalement, je préfère la
touche directement notre esprit d'ide à l'autre et de nécessité de se
sentir
concerné et impliqué dans cette cause.
'ai pu vraiment profiter de leur expérience . Parfois cependant on se
sent
un peu seul à l'arrière du camion avec certaines
Quelques règles de bon sens pour que ces gens à la rue se
sentent
à l'aise, d'égal à égal. J'ai trouvé le Samu soci
le dans la survie de ces personnes. Ce qui a été le plus dur c’est de
sentir
que malgré la douleur et le froid on a pu essuyer
montés sans le camion, l'ambiance de cohésion de l'équipe s'est fait
sentir
immédiatement à travers leur humour et les chanso
mon camion (infirmier, assistante sociale + chauffeur) que je me suis
sentie
exclue toute la soirée , aucun n'a cherché à m'en
e pénible de demander "où on va maintenant?" tout le temps , et on se
sent
"boulet". Le GROS PROBLEME est qu'il y a 3 places
en". Serrer leurs mains gelées, voir leurs pieds nus sur le trottoir,
sentir
leur odeur pendant 6h, les aider à porter leurs b
social a géré la situation d'une main de maître, je ne me suis jamais
sentie
en danger. Il paraît que c'est tres rare, mais ca
'imaginais qu'ils le seraient plus même si une fois je ne me suis pas
sentie
totalement en sécurité avec un groupe de 6 sdf qu
nt en sécurité avec un groupe de 6 sdf qui étaient tous ivres mais on
sent
que les équipes ont l'habitude et font tout pour
vait prévu de repasser la voir. Au moment de lui dire au revoir, j'ai
senti
dans son regard un appel a l'aide qui m'a touché.
ne voulaient pas forcément d'hébergement. Je ne me suis pas vraiment
senti
utile lorsqu'il s'agissait d'apporter seulement u
top, ils étaient dynamiques et sympathiques, ce qui m'a permit de me
sentir
tout de suit à l'aise et de pouvoir, malgré la fa
ntage. Ils m'ont raccompagné chez moi vers 2h du matin des qu'ils ont
sentit
que je fatiguais. Je pense que cette nuit de mara
faisait grelotter à peine sortie du camion, parce qu'au fond, ils s'y
sentaient
chez eux ! Enfin, j'ai trouvé l'accueil des centr
j'ai trouvé l'accueil des centres d'hébergement trés touchant, on s'y
sent
bien, on s'y sent protégé et on prend soin d'eux,
eil des centres d'hébergement trés touchant, on s'y sent bien, on s'y
sent
protégé et on prend soin d'eux, sans mettre de pi
s pour les places (lors de la double écoute) et encore une fois on se
sent
impuissant face à la détresse des personnes à aid
entation à toute l'équipe pendant le briefing de 20h m'a permis de me
sentir
intégrer au groupe pour la garde. La maraude a ma
on seulement pour le contact humain mais également pour le fait de se
sentir
un peu plus utile, ne serait ce que pour quelques
ssante. Le fait de revêtir le manteau du Samu Social m'a permis de me
sentir
plus à l'aise face aux SDF; ma culpabilité et mon
ne situation de la vie courante. Malgré la fatigue vers la fin, on se
sent
utile et même assez heureux d'avoir passé la nuit
ours le sourire, quand nous l'avons déposé dans le centre, je me suis
sentie
particulièrement privilégiée car les conditions d
encadrée, et contrairement à ce que je craignais je ne me suis jamais
sentie
en danger pendant la maraude. Deux choses m'ont m
très attendus, mais il faut aussi se rendre compte que souvent on se
sent
très impuissant face à la détresse extrème de cer
onse est trop souvent négative et malgré la distance du téléphone, on
sent
la déception de la personne au bout du fil et c'e
la déception de la personne au bout du fil et c'est déchirant. On se
sent
tellement favorisé à côté ! J'ai un profond respe
s arrivaient quand même à me communiquer ( anglais, ou autres ) et on
sentait
qu’ils s’occupaient les uns des autres notamment
ertains car ils ont de jeunes enfants.... C'est très difficile. On se
sent
assez impuissant. Et ce malgré les bonnes actions
e des médecins participent aux maraudes, ou alors des externes ? J'ai
senti
que l'externe en médecine avait vraiment un rôle
s des plus clémentes mais j'ai la sensation que cela m'a permis de me
sentir
plus proche des sans-abris et de faciliter le dia
qui s'apprend souvent sur le terrain. Il est parfois difficiles de se
sentir
à l'aise et de ne pas reculer devant les SDF, Mai
Le moment du repas m'a étonné par sa grande convivialité. Je me suis
sentie
très intégrée et la bienvenue dés le début. Au to
as facile : il fait très froid, on voit beaucoup de misère mais on se
sent
heureux d échanger quelques paroles avec ceux qui
étais, ils ont montré un grand intérêt à mon égard, je ne me suis pas
senti
délaissé. J'ai été particulièrement touché par un
encore avoir des papiers. Pendant l'écoute ou la maraude, je me suis
sentie
(comme beaucoup d'entre nous j'imagine), frustrée
U social est intéressante, l'accueil par l'équipe est bon, même si on
sent
qu'ils reçoivent beaucoup d'observateurs régulièr
t de se rendre compte que même un contact bref pouvait les aider à se
sentir
mieux. Ce soir la, j'ai rencontré pleins de gens
eillante qui répondait à toutes les questions. Malheureusement, on se
sent
parfois completement désarmé. Par exemple, nous s
u social et des préjugés que l'on peut avoir vis à vis des SDF. On se
sent
plein et satisfait après avoir aidé une personne
rès curieux de voir arriver "une nouvelle". De plus, j'ai apprécié me
sentir
utile en aidant des familles ne serait-ce qu'une
des maraudes en tant que bénévole notamment en soirée et la nuit : se
sentir
utile lorsqu'une grande partie de la population d
du soin médical. Soigner des patients sans domicile fixe m'a fait me
sentir
utile envers cette catégorie de personnes défavor
L'ambiance dans le camion du SAMU SOCIAL était énorme, et je me suis
senti
très à l'aise. Le travail et le discours avec les
leur sympathie et leur implication dans l'accueil des externes. On se
sent
très vite complètement intégré et on ne voit pas
ndre compte que bien souvent ces personnes sont agressives car ils se
sentent
abandonnés par la société. Je ne pourrais pas fai
est très agréable. J'ai eu l'impression d'être vraiment utile, je me
sentais
bien. Les équipes connaissent la plupart des sans
fait aucune démarche pour m'accorder un minimum d'interet. Je me suis
sentie
inutile et en trop tout au long de la maraude alo
que j'ai pu croiser durant cette nuit , et qui ont réussi à me faire
sentir
partie intégrante de l'équipe, pour le peu de tem
de la coordination) sont tous hyper sympa et à l'écoute... même si on
sent
parfois qu'ils en ont un peu marre d'avoir tous l
" ? Je n'ai pas de vie. ". Une équipe accueillante, je ne me suis pas
sentie
de trop, pas mise sur le côté, pas mal à l'aise.
une fois car il n'y avait plus de place dans les centres, je me suis
sentie
impuissante. Je pense que l'histoire qui m'a le p
(le 18éme) donc j'ai vu un certain nombre d'interventions. Je me suis
sentie
concernée durant cette nuit, j'ai même servi de t
u fait que les sans abris devaient survivre et trouver un moyen de se
sentir
exister, de communiquer avec les gens qui apparte
ué, nous n'avons malheureusement pas pu lui procurer de place et j'ai
senti
la déception et une accumulation de fatigue en lu
uverture voire un hébergement lorsque c'est possible m'a permis de me
sentir
utile et de ne plus détourner les yeux devant des
amion. J'ai été très bien accueilli par l'équipe malgré le fait qu'on
sent
que "l'externe" est un peu le boulet au premier a
laquelle je suis partie en maraude était très sympathique, je me suis
sentie
bien intégrée et ils m'ont expliqué tout le fonct
nde auquel je ne m'attendais pas mais dans lequel je me suis vraiment
senti
à l'aise. Dommage qu'on en fasse qu'une seule ! U
onter les barrières ( odeurs, salleté...) et au fil des heures, je me
sentais
utile, j'examinais certains patients à la demande
re la maraude était très accueillante et ont tous fait pour que je me
sente
à l'aise. Une intervention m'a touché , quand on
par l'équipe sur place, ils sont très prévenants à notre égard et on
sent
un réel interet de leur part de nous montrer leur
ait super et a pu m'expliquer beaucoup de choses, je me suis moi-même
senti
utile lors de cette nuit. Ils m'ont fait visiter
serai de garde aux urgences et où je regarderai un SDF alcoolisé, qui
sent
mauvais, qui vient de partir,.. avec mépris : j'e
èrement le milieu et l'équipe m'ont tout de suite mis à l'aise, je me
sentais
un peu plus que simple observateur. Ensuite on vo
face desquelles on peut finalement assez vite perdre ses moyens et se
sentir
démuni. Le seul regret que j'ai est que cette gar
isi la Gare de Lyon. L'endroit semble sur, il y a du passage, elle se
sent
moins seule. L'assistante sociale qui a pris l'ap
ment transparentes aux yeux de tous qu'elles ne parviennent plus à se
sentir
à l'aise dans les endroits courants de la société
les personnes peuvent être changées par la rue, qu'elles puissent se
sentir
en insécurité dans des lieux que nous considérons
ue j'étais dans une équipe vraiment super sympa et j'ai tout de suite
senti
que c'étaient des gens qui avaient vraiment un bo
ligation ni une contrainte mais un plaisir, de pouvoir aider et de se
sentir
utile. Je ne l'ai vraiment pas vécu comme une gar
bien passé avec tous les étudiants. Mais avec moi ca a été même si on
sent
que les bénévoles ne sont pas toujours ravis de n
arge essentiel. Par contre la diminution des moyens attribués se fait
sentir
(moins de camions...) et le nombre d'appel est tr
rce de se battre pour essayer de trouver un nouveau logement, elle se
sentait
totalement abandonnée par le société, elle avait
, ils sont tous tres avenants et passionnes par leur travail. Cela se
sent
lorsque l'on prend la peine de leur poser des que
Face à la détresse des personnes que l'on rencontre, on se
sent
surtout impuissants. Cela commence lorsque les pe
été impressionnée par l'implication des équipes dans leur travail, on
sent
vraiment qu'ils aiment ce qu'ils font même si les
nctionnement complexe de l'attribution des places par le 115, et j'ai
senti
l'équipe se heurter à la frustration des personne
te sim? Ceci dit, même si je ne savais pas bien quoi dire, je me suis
sentie
bridée, et donc réduite au silence complet, par l
se réveille pas avec une crise d'angoisse et qu'elle s'enfuit. On se
sent
tellement impuissant quelque part.
bergement, qui est vraiment dérisoire par rapport à la demande. On se
sent
impuissant face à la situation car le but est d'a
l'équipe du soir. Cette expérience fut enrichissante mais je me suis
sentie
parfois pas très intégrée au sein de l'équipe qui