mu Social m'a montré comment apporter une aide d’urgence complète aux
sans-abris
. J'ai assisté à plusieurs interventions et j ai p
entions et j ai pu admirer leur utilité et leur efficacité auprès des
sans-abris
tout ça toujours dans une bonne ambiance et un tr
ent utile, je me sentais bien. Les équipes connaissent la plupart des
sans-abris
et une véritable relation existe entre eux. Cette
ble relation existe entre eux. Cette nuit m'a donné envie d'aider les
sans-abris
, contrairement au mauvaises experiences que j'ai
te qu'une chose, qu'il n'y ait pas plus de foyers pour accueillir les
sans-abris
. Devoir expliquer à des personnes qu'elles vont d
A ma première nuit au SAMU SOCIAL, j'avais des à priori sur les
sans-abris
, je pensais qu'ils seraient moins coopérant. Et j
sympathiques, qui gardaient une lueur d'espoir. Par contre, certains
sans-abris
, certes rares, refusaient notre aide, et préférai
Experience importante humainement, on voit un côté différent des
sans-abris
de celui qu'on a l'habitude de voir, que ce soit
idienne ou à l'hôpital. Nos principales missions étaient d'amener les
sans-abris
à un lieu où ils seraient logés et nourris. Malhe
ns du SAMU social. Avec l'équipe, nous sommes allés discuter avec des
sans-abris
et c'était très enrichissant. Cela m'a permis de
a m'a permis de comprendre davantage les difficultés qu'éprouvent les
sans-abris
au quotidien. Je ne pensais pas qu'il y avait si
J'ai été surprise par l'indépendance des
sans-abris
rencontrés, leur volonté de ne pas dépendre des a
nfrastructures que la mairie de Paris a mis en place afin d'aider les
sans-abris
, et dont je n'avais aucune idée. Cela contrastait
. Je trouve que c'est un intéressant pour nous d'aborder le sujet des
sans-abris
. Beaucoup de cas compliqués, pour savoir à qui on
ur la nuit entière. Je pense que cela permet de voir différemment les
sans-abris
quand ils viennent aux urgences ou se font hospit
l facile et réjouissant. Et voir comme ils connaissent la plupart des
sans-abris
, leur lieux de vie et leur histoire, c'est inspir
avoir accueilli pour une nuit, et permis de retrouver l'humanité des
sans-abris
, souvent bafouée aux urgences (et ailleurs… )
La présence de la pluie n'a pas permis de beaucoup discuter avec les
sans-abris
, ce que j'ai trouvé dommage, mais ce n'est pas qu
rgements ponctuels, il nous manque l'abord plus prolongé de suivi des
sans-abris
. On a l'impression qu'il manque d'hébergements d'
e intéressante humainement. Contre toute attente, le contact avec les
sans-abris
était plutôt aisé, avec souvent beaucoup d'humour
ion nous semble désastreuse. J'ai aussi été surprise par le nombre de
sans-abris
croisés sur une courte durée et sur une étendue l
ux urgences de la pitié salpêtriere et recevant chaque nuit plusieurs
sans-abris
, j'ai appris à les regarder d'une nouvelle manièr
Je ne m'y attendait pas du tout. J'ai également pu comprendre que les
sans-abris
ne sont pas tous des marginaux ou des immigrés, m
ême que cette expérience m’a « ouvert les yeux » sur la situation des
sans-abris
. On pourrait facilement croire que certains sans-
situation des sans-abris. On pourrait facilement croire que certains
sans-abris
le sont par choix, par besoin de liberté, de non-
ent à les aider, mais ils sont souvent impuissants, tant le nombre de
sans-abris
est important, et tant les employeurs sont rétice
uation. J’ai été particulièrement choquée par la situation des femmes
sans-abris
; elles sont bien moins touchées par la précarité
e me rendre compte à quel point les structures permettant d’aider les
sans-abris
sont peu nombreuses et par la même impuissantes ;
e très enrichissante. Cela m'a permis d'avoir un autre regard sur les
sans-abris
. Ce qui m'a plu : le professionnalisme des interv
s enrichissante, cela permet de surmonter les préjugés concernant les
sans-abris
. Je ne connaissais pas le samu social avant de pa
l des rues. Quand les températures descendent, pour se réchauffer les
sans-abris
se pose sur ces grilles. La peau directement au c
ours devant ces grilles, marche tous les jours dessus et ignorais ces
sans-abris
qui se réchauffent tant bien que mal pour résiste
lé a été de découvrir qu'il n'existe vraiment pas de "profil type" de
sans-abris
. On rencontre des personnes de toutes origines, d
idien. Aussi cette garde m'a permis d'écouter et de discuter avec les
sans-abris
, quelque chose que je ne faisais pas avant.
point ce combat contre la pauvreté était parfois difficile et ingrat (
sans-abris
non coopérants, problèmes de communication avec l
ersonnes responsables des centres d'accueil) mais nécessaire tant les
sans-abris
sont dépendants de ce type d'aide, dans le sens o
aimé l'ambiance et l'acceuil qui m'a été reservé. Le contact avec les
sans-abris
a été très enrichissant en offrant une autre visi
iques, motivées et très humaines. J'ai pu discuter avec des personnes
sans-abris
, comprendre leur parcours, leurs difficultés alor
pour eux. Ensuite, sur le plan social, on se rend vite compte que les
sans-abris
sont nombreux et peuvent être partout, même dans
lier, on reçoit beaucoup dans l'échange et les conversations avec les
sans-abris
, qui sont souvent disponibles et contents de parl
arrière qui ne facilite pas l'échange entre ces professionnels et les
sans-abris
...
. J'ai appris à voir les choses autrement, à considérer autrement les
sans-abris
, car pendant une nuit, on ne pense qu'à eux. Les
y voit un aspect des soins très différent de l’exercice médical. Les
sans-abris
sont souvent des habitués qui parlent sans filtre
n, était très intéressant. Mais c'est surtout les rencontres avec les
sans-abris
qui ont été les moments les plus forts de la soir
ment, de nombreux civils en plus d'appeler le 115, restaient avec les
sans-abris
jusque notre arrivée. Cette expérience est utile
aussi bien passée. J avais de l appréhension avant de rencontrer les
sans-abris
, et hormis avec l un d eux qui était soul, les di
ueillante. Elle prend le temps de nous expliquer. Le contact avec les
sans-abris
est varié. Les personnalités rencontrées et les h
e faisais une maraude avec la possibilité de proposer un logement aux
sans-abris
. Cela change beaucoup dans l'approche des personn
L'expérience est certes un peu déconcertante au début (aller vers les
sans-abris
et leur parler spontanément est difficile pour no
rmise d'ouvrir un peu plus les yeux sur les conditions difficiles des
sans-abris
, surtout en période de froid. Malheureusement, le
s être séparés. L'équipe était vraiment adorable, très à l'écoute des
sans-abris
, attentive, disponible, m'apprenant plein de chos
ermis de me rendre compte plus concrètement de la vie quotidienne des
sans-abris
. Cette garde permet de comprendre le fonctionneme
ié cette garde au travers de laquelle les relations humaines avec les
sans-abris
ainsi que leur prise en charge pluridisciplinaire
nse qu'elle peut changer la perception qu'ont certaines personnes des
sans-abris
. Il est réconfortant de se rendre compte qu'il ex
ne expérience à vivre. Nous sommes souvent confrontés à des personnes
sans-abris
qui viennent demander de l'aide aux urgences, et
assé, j'étais assez touché de voir les conditions dans lesquelles les
sans-abris
vivent et admirable vis à vis des équipes du Samu
d'études médicales. En effet, en nous amenant à découvrir la vie des
sans-abris
cela nous force à sortir de notre zone de confort
Dans la vie de tous les jours, la plupart des gens passent à coté des
sans-abris
sans même leur accorder un regard. Le plus souven
es préjugés sont faux. Je fis la connaissance de nombreuses personnes
sans-abris
qui se sont toutes révélées être agréables, touch
idable expérience humaine. J’ai toujours trouvé que discuter avec les
sans-abris
apporte beaucoup, mais je prends rarement le temp
a m'a permis d'avoir pour la première fois un contact direct avec les
sans-abris
, de discuter avec eux, voir dans quelles conditio
e fait de discuter avec elle m'a permis de casser mes clichés sur les
sans-abris
. Le simple fait que nous discutions avec elle, il
Cela m'a permis de voir l'envers du décors pour les
sans-abris
. D'observer le travail de ceux qui les aident au
le nombre d'appels reçus et le nombre de places à la disposition des
sans-abris
. Les écoutants étaient obligés de refuser des pla
iennent y dormir et presque aucune sécurité. D'ailleurs, beaucoup des
sans-abris
qui avaient déjà été là-bas refusaient cet héberg
on sens. Par contre, j'ai bien aimé la maraude et le contact avec les
sans-abris
, cette garde permet justement de passer outre les
a nuit. Ce qui m'a marqué est le temps très limité pendant lequel les
sans-abris
sont hébergés (souvent une seule nuit) et cela pa
l, bien que dispensant une aide indispensable et remarquable pour les
sans-abris
reste une solution d’urgence et ne leur permet pa
une réelle relation de confiance instaurée entre l'équipe et certains
sans-abris
. J'ai cependant été étonné qu'on insiste pour me
très enrichissante. Cela permet d'avoir un autre point de vue sur les
sans-abris
, et encore plus de se rendre compte de la diversi
intéresssante d'un point de vue humain, en allant à la rencontre des
sans-abris
et avec la possibilité de discuter, à la fois dan
ial qui nouent une vraie relation de confiance et de respect avec les
sans-abris
et font leur travail avec beaucoup de motivation.
rioritaire sur l'hébergement, des différentes catégories de personnes
sans-abris
(familles avec enfants, personnes isolées, couple
ge actuellement aux urgences de la Pitié et je vois régulièrement des
sans-abris
, notamment pendant mes gardes de nuit. Etant une
tience cette garde au SAMU social. Je n'ai pas été déçue du tout! Les
sans-abris
sont des personnes délaissées par la société, et
usieurs SDF connus de l'équipe avec laquelle j'étais, accompagné deux
sans-abris
dans un centre d'hébergement d'urgence et rencont
tres associatifs qui circulent la nuit pour distribuer des vivres aux
sans-abris
, c'étaient de très belles rencontres. Cette garde
un stage aux urgences de Saint-Antoine où nous recevions beaucoup de
sans-abris
et j'ai bien aimé, grâce au SAMU social découvrir
peine s'arrêtait-on cinq minutes, qu'il y avait déjà une multitude de
sans-abris
que venaient pour avoir un endroit pour dormir ou
is humainement grâce à eux, leur patience et leur dévouement avec les
sans-abris
m'ont beaucoup touché. C'est une très bonne idée
p de mal à voir en quoi ce que nous faisions était vraiment utile aux
sans-abris
. Une prise en charge au jour le jour ne me semble
ur moi la première occasion de venir à la rencontre des exclus et des
sans-abris
. Par l'intermédiaire de l'association Sant Egidio
les centres d'hébergement qui furent l'occasion de discuter avec des
sans-abris
dans le camion. A côté de ça, j'ai effectué ma nu
dre compte de la détresse dans laquelle pouvaient se trouver certains
sans-abris
et ce que cela impliquait de leur venir en aide.
is j'ai la sensation que cela m'a permis de me sentir plus proche des
sans-abris
et de faciliter le dialogue avec eux. D'ailleurs,
porté) - la détresse et la pauvreté ne doivent pas dispenser certains
sans-abris
du civisme élémentaire : ne pas uriner dans sa te
s enrichissante Au début j'appréhendais le contact avec les personnes
sans-abris
car je trouve que c'est particulièrement difficil
harge de certains habitués (je ne pensais pas que les liens entre les
sans-abris
et le SAMU Social pouvaient être si importants).
Pendant cette garde, j'ai découvert le monde des
sans-abris
: le mode "d'attribution" des places pour la nuit
tion d'appoint est très souvent une action sur le long terme pour les
sans-abris
. En effet le staff de début de nuit commence par
gens vivant dans nos rues. Loin d'être des ivrognes ou des fous, les
sans-abris
que j'ai rencontré avait quasiment tous un courag
peu plus, et de comprendre plus de choses vis-à-vis des démunis, des
sans-abris
. Dans notre milieu, ou notre société, ces gens ex
fait preuve d'un humanisme qui m'a vraiment touché. De plus certains
sans-abris
font preuve d'une dignité plus que remarquable, d
la rue. Très instructif la maraude bien sûr et la discussion avec les
sans-abris
, mais aussi l'écoute du 115 en début de soirée et
précis. Celle-ci fut particulière : tout d'abord, c'est au milieu des
sans-abris
que j'ai fêté mes 22 ans et que je suis entrée da
sociaux connaissaient parfois bien, depuis plusieurs années, certains
sans-abris
, et j'ai surtout apprécié le regard différent sur
faculté) nous fait passer à côté de l'essentiel, le contact avec les
sans-abris
et les laissée pour comptes. J'ai même eu l'occas
expérience a également été une école de la vie... j'ai appris que les
sans-abris
pouvaient se brûler gravement sur des bouches de
us avons eu affaire à une famille avec trois enfants également... les
sans-abris
ne sont jamais ceux auxquels on s'attend. J'ai ég
our compte... Je finirai sur une anecdote qui m'a marqué : le dernier
sans-abris
que nous avons croisé était originaire de Pologne
Cette garde nous ouvre les yeux sur la réalité des
sans-abris
et de la vie (ou plutôt de la survie) au jour le
de prendre réellement conscience des difficultés que rencontrent les
sans-abris
dans leur quotidien, que ce soit la violence, les
ertains services d'urgence voyaient d'un mauvais oeil la présence des
sans-abris
parmi leurs patients. Etes-vous vraiment à l'abri
e me rendre vraiment compte de ce que cette association fait pour les
sans-abris
tous les jours. Une intervention qui m'a profondé
n demandaient pas plus. Le facilité du dialogue entre l'équipe et les
sans-abris
m'a étonnée ! C'est un bon exemple de communicati
que et il est maintenant dangereux de proposer aux nouveaux et ancien
sans-abris
de loger la bas (vols, violence physique, solitud
d'assister à l'appel des pompiers pour une urgence médicale d'un des
sans-abris
de Romain Rolland. Il s'agissait d'une dyspnée ch
a nuit d'autant plus agréable. Nous n'avons pas rencontré beaucoup de
sans-abris
dans l'arrondissement où nous avons maraudé, mais
pour pouvoir attribuer un hébergement, le principe de recensement des
sans-abris
,etc. ). La seconde partie de la nuit, offre la po
des enfants appellent), rend compte de la détresse psychologique des
sans-abris
; la maraude, de 21h a 3h du matin, avec un chauff
plan humain et social, car malgré le fait que l'on croise souvent ces
sans-abris
dans la vie de tous les jours, entrer en contact
nais que le 115 s'occupait uniquement de trouver un logement pour les
sans-abris
pour la nuit, je ne m'attendais pas à avoir autan
notre pratique future. Cela permet aussi d'avoir une autre vision des
sans-abris
et de la relation soignants-soignés, hors du cadr
oit pour dormir, car ils le cachent. Je connaissais plus ou moins les
sans-abris
de mon quartier et j'ai pris conscience qu'il y e
peu de capacité d'accueil dans le centre de porte d'orléans pour les
sans-abris
est honteux. Les familles sans abris ont encore m
genre, le projet étant de distribuer de la nourriture, vêtements aux
sans-abris
à noël. Avec le samu social ce qui était différen
a été particulièrement intéressant d'être en contact proche avec des
sans-abris
, de connaître leur histoire, de les écouter parle
ien celle qui existe entre les personnes socialement integrées et les
sans-abris
, et celle qui existe entre les jeunes étudiants e
a maraude m'a donc expliqué que c'était une nuit plutôt calme car les
sans-abris
s'était mis à l'abri dans les parkings par exempl
aimé la maraude. J'ai été surprise par la positivité et la force des
sans-abris
. La plupart ne demandaient que de l'écoute et ref
permet de se sentir beaucoup plus impliqué concernant le problème des
sans-abris
et plus tolérant. La relation est avec les SDF es
ue je ne connaissais absolument pas, avec une grande solidarité entre
sans-abris
(on a vu 2 hommes qui étaient ensembles dans la r
cette de Paris et cette nuit a vraiment transformé mon regard sur les
sans-abris
que je croise depuis et sur ma manière d'interagi
u social et la ville de Paris pour faire face au nombre exorbitant de
sans-abris
: 4 camions par nuit, 4 sacs de couchages par cam
hauffeur étaient aussi très impliqués, choqués par les conditions des
sans-abris
. J'ai trouvé ça touchant que ces personnes qui po
On peut voir des
sans-abris
tous les jours en allant travailler, dans le métr
▲