s aident au quotidien et le déploiement fait pour eux mais qui semble
rester
insuffisant. Ce qui m'a surtout marqué, c'est à q
part des personnes, mais ce qui m'a aussi beaucoup touché était qu'il
restait
quand même des personnes qui se dévouaient pour l
Bien mais long. Bonne equipe.
Rester
a l'arriere seul pendant que l'equipe est devant
ait quitté son lit infirmier plus tôt que prévu mais que sa place lui
restait
réservée pour 24h. Lors de la maraude dans le 15è
t agressif. Le chauffeur de l'équipe connait bien Pascal, nous sommes
resté
un moment à discuter avec lui. Il a des problèmes
ersonnel du centre. Il avait vu le médecin du centre mais n'était pas
resté
suffisamment longtemps pour avoir une prise de sa
it très intéressante, riche en émotion. Je pense que cette garde doit
rester
obligatoire. J'aimerai avoir l'occasion de pouvoi
Concept très intéressant. Cependant le nécessité de
rester
jusqu'a la fin de la maraude est a revoir. Les ét
eusement, trouver 7 places en hebergement est très compliqué. Il n'en
restait
que 3 et on a dû leur dire qu'il n'en restait plu
très compliqué. Il n'en restait que 3 et on a dû leur dire qu'il n'en
restait
plus. Il y a pleins d'autres histoires encore, to
é de me laisser rentrer chez moi. Donc je ne suis malheureusement pas
resté
..
vivants dans des conditions précaires. Néanmoins cette garde devrait
rester
facultative.
is pas envie de monter dans un camion dans le froid, j'aurais préféré
rester
avec mes potes, en cette période de fêtes après l
, parfois que des paroles, s'assurer que tout allait bien. L'ambiance
restait
à la bonne humeur, malgré toute la misère qu'on e
e. Surprise toutefois du voyeurisme des passants qui n'hésitent pas à
rester
"pour voir" et à jeter un œil dans le camion pour
il admirable et l'empathie incroyable de l'equipe du Samu, les moyens
restent
bien limités face à l'ampleur de la charge. Des s
n limités face à l'ampleur de la charge. Des sans abris qui préfèrent
rester
dehors que de goûter au confort d'une nuit qui ne
s les parents de cette dernière lui ont fait comprendre qu'elle était
restée
trop longtemps. Elle se retrouve donc à la rue, e
s d'accueil de nuit... Elle reprend alors l'appel et lui conseille de
rester
dans les Urgences de l'hôpital le plus proche, ce
pour cette raison qui choisissait de dormir dans la rue. Il préférait
rester
dehors pour s'occuper de son ami plutôt que de do
ur avons proposé d'un lit pour la nuit, ils ont refusé et ont préféré
rester
ensemble. J'ai été également surprise par le fait
re expérience sociale. Les personnes que nous avons aidées ce soir là
resteront
gravées en moi. C'est une très bonne chose que no
que pour passer une nuit sous un toit. Je pense que cette garde doit
rester
obligatoire, en tant que futur médecin, afin de g
e froid; d'autant plus que suite à un problème de camion, nous sommes
restés
coincés à l'extérieur du véhicule pendant un bon
s coincés à l'extérieur du véhicule pendant un bon petit moment. Cela
restera
néanmoins une belle expérience.
taines familles ou SDF d'accepter un logement pour la nuit, préférant
rester
dehors malgré le froid. La double écoute était au
impressionnant avec une bonne humeur générale. Par contre le fait de
rester
assise seule derrière dans le camion derrière tro
grandes forces qui régissaient mes années à venir. J’ai beaucoup aimé
rester
discuter avec lui, pour une personne souvent seul
m'a beaucoup interpellé, ce sont les familles avec leurs enfants, qui
restaient
faire la manche jusqu'à 23h sous 3°C alors qu'ell
t des chaussettes, un bonnet ou une écharpe ou encore un caleçon pour
rester
propre mais sans jamais accepter de dormir au cha
ont dû se l'approprier comme "habitat". Le souvenir le plus marquant
restera
, malheureusement, cette situation plus qu'aberran
-on oublier LA mission principale de notre profession? Et surtout, ne
restons
-nous pas humain?
idés, de ce point de vue, ça s'est amélioré au fil des heures mais ça
restait
dur.
richissante humainement, de nombreux civils en plus d'appeler le 115,
restaient
avec les sans-abris jusque notre arrivée. Cette e
ience très enrichissante même si finalement plutôt brève. L'image qui
restera
gravée pour longtemps est celle des deux foyers(g
omain Rolland. Tous les deux sont devenus amis dans la rue et le sont
restés
depuis 10ans et leur entraide m'a beaucoup touché
ions à long terme. Je pense que l'image la plus marquante de ma garde
restera
la vision d'un SDF dormant sur le perron d'une ag
notre modèle de société, conscient que certains SDF préfèrent parfois
rester
dans la rue et que d'autres, pour des raisons de
es, car même si la trêve hivernale est terminée, il est impossible de
rester
dehors dans le froid. Une autre chose qui m'a mar
e de ceux qui en auraient besoin, et de n'avoir un impact qui ne peut
rester
, au niveau du Samu Social, que la durée d'une nui
s ne sont pas malheureux. L'un d'entre eux nous a même rapporté qu'il
restait
dans la même rue car il se sentait chez lui. C'ét
romiscuité reignante et de comprendre pourquoi certains sdf préfèrent
rester
dehors plutot que d'y dormir. Cette garde doit êt
voulait simplement parler à quelqu'un. Il a clairement expliqué qu'il
restait
en vie uniquement parce que le samu social et les
Ma garde au samu social est
restée
très calme,les 3 signalements reçus en première p
refuse l'hôtel car il n'acceptait pas son compagnon... Elle préférait
rester
dans le froid mais avec lui.
ucoup trop de personne n'ont pas eu la chance d'être Hébergés et sont
rester
dans le froid et la neige avec comme seul réconfo
aiment avec quelle approche on peut faire face à une personne qui est
restée
longtemps à la rue. Et depuis que j'ai fait ce st
ue l'on remarque c'est que tout de même certaines personnes préfèrent
rester
dehors, alors même que l'on leur propose une plac
est confronté à ce genre de situations: à savoir des gens qui, elles,
restent
des heures, des jours puis parfois des années san
que les 2 heures suivantes ne servent qu'a récuser des personnes qui
restent
néanmoins en grande difficultés. La maraude reste
ux. Expérience très enrichissante, a ma grande surprise; même si nous
restons
observateurs cela permet de poser un regard diffé
mps pour aider au maximum les personnes. Lors de ma garde nous sommes
restés
4 heures avec la même personne. Cela demande beau
Ma garde au SAMU social, pour moi, ça
restera
cet homme. Seul, aucune affaire avec lui, juste s
er de lui trouver une place en lit infirmier. La maraude pour moi, ça
restera
Philippe qui nous raconte dans le camion, les att
c les chevaux devenant aveugles), et une immigrée allemande préférant
rester
dehors sous sa bâche pour "admirer les étoiles".
connaissance mais c'est important que des gens le fassent car les sdf
restent
malgré tout des humains à traiter comme tels. Equ
se de découvrir le milieu de la maraude, la preuve en est que je suis
restée
toute la nuit. J'ai été très bien intégrée dans l
i est le samu social. D'un point de vue pratique je pense que ça doit
rester
obligatoire car si ça avait été sur volontariat j
ils des SDF sont très précaires, et bon nombre de personnes préfèrent
rester
dehors plutôt que d'y aller.
personnes faisant la demande d'un hébergement. Une garde qui devrait
rester
obligatoire et qui change des gardes de l'hopital
On a accompagné 3 personnes au centre d'hébergement de montrouge, il
restait
encore 18 places, j'ai trouvé cela dommage de ref
.. En conclusion je trouve que cette garde OBLIGATOIRE (et devrait le
rester
) est une excellente initiative, et permet de pren
la porte de la chambre ou 3 personnes dormaient déjà et il a préféré
rester
dehors pour la nuit car je cite "Il ne souhaitera
es repas et hébergement depuis plusieurs mois, des gens qui préfèrent
rester
dehors avec toutes leur affaires, des gens qui on
tres ateliers, la double écoute de 2h était d'une durée parfaite pour
rester
attentif sans se lasser et sans que cela devienne
s préféré passer plus de temps à visiter les centres plutôt de que de
rester
dans le camion.
Ce qui me
restera
de cette garde provient surtout de la différence
égrantes, agréable, avec plein d'anecdotes à raconter. On nous dit de
rester
observateur mais, passer un certain temps de fami
er concrètement à des réalités dont on a conscience, mais qui peuvent
rester
assez abstraites dans la vie quotidienne. On est
quête d'un abri pour la nuit. Des gens dans la détresse, qui peuvent
rester
toutefois exigeants sur leur lieu d'hébergement,
ations : de la femme enceinte seule qui n'a plus de personne chez qui
rester
, de la femme battue, de la famille qui dort dans
e sont des gens vraiment adorables, qui ont fait que cette expérience
restera
un très bon souvenir pour moi, et qui m'ont vraim
domicile fixe mais la préoccupation sociale de leur orientation était
restée
pour moi assez floue. Je comprends mieux maintena
L'image de cette soirée qui
restera
ancrée dans ma mémoire est celle d'un homme passa
raies solutions: une place, une endroit pour manger. Pour la maraude,
rester
à l'arrière du camion pendant celle ci a été plus
situations téléphoniques difficiles où nous devions dire aux gens de
rester
dirmir dehors mar manque de place. J'ai fait un s
enant (parfois avec beaucoup de gardes), et le travail à fournir pour
rester
à jour au niveau des cours.
car il y avait trop de signalements. De 21h a 3h30 sans pause je suis
resté
assis derrière (donc sans communiquer avec le per
ne des plus froide de l'année. On était au coeur du plan grand froid.
Rester
hors du camion ne serait-ce que quelques minutes
beaucoup de personnes même si on leur a trouvé un logement préfèrent
rester
là où elles sont. Beaucoup d'histoires sont assez
rde est utile pour les étudiants en medecine mais que l'obligation de
rester
jusqu'à la fin de la maraude n'est vraiment pas n
était quasi impossible. L'un des hommes venait d'Italie et Armand qui
restait
en retrait assis par terre sur ses affaires c'est
eux hommes à trouver un foyer pour la nuit, alors que lui même allait
rester
dehors pour la nuit et qu'aux yeux de la société
e mon équipe en train de satisfaire les moindres besoins de cet homme
restera
gravée.
s fatiguante notamment avec le froid et la pluie, et aucun interet de
rester
aussi tard jusqu'a 00/1h cela suffit pour avoir u
e prison, tox, jeunes, SDF depuis plusieurs années). Cette expérience
restera
dans ma mémoire, puisque vraiment emotionellement
ontrer comment cela se passe à chaque étape plutôt que de nous faire "
rester
de telle à telle heure parce que c'est comme ça"
dans un centre d’hébergement. Certaines personnes préféraient même de
rester
à la rue que d’aller dans certains hébergements,
nes ont refusé de nous accompagner dans des foyers sociaux, préférant
rester
dehors mais acceptants quand même une boisson cha
importante à mon sens. Tant sur le plan humain que professionnel. Je
resterai
éternellement marqué par cette maraude. Les visag
aient un abri qu'il n'y avait pas de place et qu'elles devraient donc
rester
dehors. J'ai trouvé les équipes du samu social tr
es personnes ce qui à mon sens dévalorise l'hôpital. Cette expérience
restera
très enrichissante.
'information . J'y allai avec appréhension moi qui suis très timide :
rester
toute une nuit avec des gens que l'on ne connait
-au regret des auditrices qui pestent contre ce système mais doivent
rester
fermes, souvent- on compati au malheur de certain
monde que je ne connaissais que de très loin, celui des SDF. Je suis
restée
jusqu'au bout de la nuit alors qu'ils m'ont propo
s minutes de conversation autour d'un café. J'ai d'ailleurs décidé de
rester
toute la nuit, et je n'ai pas regretté un instant
'après mon expérience je n'ai pas vu d'intérêt à ce que les étudiants
restent
après la pause.
'étaient pas intéressées pour être loger pour une nuit et préféraient
rester
dormir dans le froid! cela peut se comprendre éta
SDF refusent d'aller passer la nuit dans un foyer au chaud et préfere
rester
dans leur sopts habituels avec leurs amis. J'ai t
ux les aider malgré la crise, et pourtant rien n'est fait. Je ne peux
rester
que dans l'incompréhension face à l'ignorance des
ience. Peut être serait-il préférable que les externes en observation
restent
sur des maraudes classiques ? En tout cas, ce fut
un logement plus permanent, mais surtout qu'il serait plus facile de
rester
chez son proche au vu de la duree d'attente pour
s vraiment dans le besoin, leur capacité à gérer toute situation et à
rester
professionnel et patient.
eux la psychologie des personnes sans-abri qui préfèrent bien souvent
rester
dans la rue, un environnement qui leur est famili
ergement à La Boulangerie, on comprend pourquoi tant de monde préfère
rester
dans le froid au lieu de s'entasser dans un local
e était calme, les deux SDF que nous étions censés voir n'étaient pas
restés
sur place, si bien que je n'ai pas vu grand chose
vec l'autre prime sur tout le reste. Le sourire de cette petite fille
restera
à jamais gravé en moi. Les enfants sont encore tr
s. Nous avons donné du café chaud à des SDF dont beaucoup préféraient
rester
dormir dehors plutôt que de devoir affronter les
onne dans le besoin par un autre biais que l'hôpital. Je pense que je
resterai
marqué par cette nuit et elle aura un impact dans
à la lutte contre l'isolement de ces personnes qui préfèrent souvent
rester
seules. Je pense tout de même qu'il n'est pas fac
chaleureusement et celui qui l'a accueilli lui a dit qu'elle pouvait
rester
la nuit suivante et qu'elle fêterait noël avec eu
ions d'hébergement sont des solutions très temporaires, les problèmes
restent
non résolus pour la plupart. Pour vraiment aider
as beaucoup d'activité, je me suis un peu ennuyé alors que je ne suis
restée
que 3h. Je n'ai pas eu de vrai contact avec les h
ette garde au LHSS nous permet de finir plus tôt ( vers minuit) et de
rester
au chaud ( non négligeable l'hiver). Au total, je
otidien avec les SDF m'a impressionné. Mais en dépit de cela, je suis
resté
sur ma faim quant à cette expérience, probablemen
la pitie ou SA cela aurait été un enfer Or la j'ai pris du plaisir à
rester
jusqu'à 3h30, on a un contact avec les gens que l
ce monsieur qu'on a rencontré 3 autres personnes et avec qui on a pu
rester
un petit peu, parler et leur donner des soupes. C
nalement on a trouvé une place pour 3 d'entre eux , le 4eme préférant
rester
dans sa voiture ce soir là . Nous avons ensuite é
s. Mais tout le monde ne connait pas ce service et certains préfèrent
rester
faire la manche plutôt que d'être héberger, certa
rester faire la manche plutôt que d'être héberger, certains préfèrent
rester
en couple plutôt que d'être séparé. Or le nombre
is en situation de difficulté je pouvais joindre un numéro et ne plus
rester
dans le silence derrière lequel la grande majorit
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