araude, le contact spontané parfois rejeté, parfois bienvenu. Pour le
reste
de la nuit dans le camion, nous avons surtout emm
ns surtout emmené des usagers au logement : l'appel pour savoir si il
reste
des places est un moment angoissant pour tout le
expérience très enrichissante, à recommander. malgré tout elle
reste
une garde de plus à effectuer, mais selon mon opi
plus avec lui que la vérité, tellement jeté aux ténèbres qu'il ne lui
reste
plus que le soleil..." Sauf qu'en ce moment, il n
l ne lui reste plus que le soleil..." Sauf qu'en ce moment, il ne lui
reste
que le froid, l'homme à la rue. Le SAMU social c'
calme mais très enrichissante malgré tout. Je trouve ça bien qu'elle
reste
proposée aux etudiants. Elle permet de changer de
endroit où dormir au chaud, seulement voilà il est déjà tard et il ne
reste
de place que dans un seul centre et elle a très p
e semble avoir froid et encore plus découragée d'autant qu'il ne nous
reste
plus d'eau chaude pour un café, une soupe... Heur
rs notre attitude envers elles est plutôt l'indifférence. Cette garde
reste
avant tout une expérience humaine.
es après avoir eu un minimum de conversation avec eux. Le SAMU social
reste
un très beau métier, dont l'importance ne doit, s
est utile ne serait-ce que pour "garder les pieds sur terre" dans le
reste
de nos études puis dans notre pratique future. Un
ir établir une relation de confiance avec le patient et son entourage
reste
une des compétences nécessaires pour être un bon
n a distribuer pas mal de soupe et de café sur une grande place et le
reste
de la nuit on a eu des appels. Une nuit très enri
pensable quant à notre apprentissage de notre future profession. Cela
reste
tout de même une certaine expérience de vie... La
ans la rue ce soir là, l'équipe est à l'écoute et aide au maximum. On
reste
malgré tout parfois démuni face aux SDF ne voulan
u'apporte le samu social. Ma plus grande surprise suite à cette garde
reste
la décision de l'État de réduire les moyens allou
s mais surtout de soutien auprès des personnes souvent ignorés par le
reste
de la population .
ersonnes défavorisées socialement et financièrement. La double écoute
reste
assez frustrante : les 15 premières minutes perme
des personnes qui restent néanmoins en grande difficultés. La maraude
reste
le temps fort de cette garde : les équipes (la mi
issance des écoutants devant ces situations notamment lorsqu'il il ne
reste
plus de places dans les centres d' hébergement. J
ne des chambres d'un foyer d' hébergement pour mesurer le confort qui
reste
précaire faute de moyens. Ce fut pour moi une exp
ener a leur lieu attribué pour la nuit. J'ai été très touché comme le
reste
de l'equipe du camion par une jeune fille n'ayant
ns un centre pour que je puisse voir à quoi ça ressemble. Cette garde
reste
un bon souvenir et une bonne expérience.
uoi que les efforts déployés soient admirables, l'impression générale
reste
amère : il me semble que ces secours supposés d'u
ignorer des patients. Malgré ça je pense que l'action du SAMU sociale
reste
une goutte d'eau face au problème et qu'il faudra
urgence et de soin. Cependant on constate que l'action du Samu social
reste
quand même limité, notamment dans la prise en cha
yages vers les centres d'hébergement et le tout avant 2h du matin. Le
reste
de la nuit nous avons "maraudé": c'est à dire déa
les. Aussi se retrouve-t-on très rapidement sans place à proposer. Le
reste
de la nuit fut très calme, nous avons aidé une pe
e et la cruauté du manque de place dans celle-ci et des efforts qu'il
reste
à faire...
La nuit au Samu social
reste
pour moi une formidable expérience humaine. J’ai
urs qu'il peut entreprendre et les droits qu'il peut avoir, tout cela
reste
toujours un peu flou, à la fin de cette garde. Le
hique jusque la gardé dans l'inconscient. Le mauvais coté de la garde
reste
de loin le trajet a faire de Paris et évidemment,
possible de leur proposer des chaussettes, un café, une soupe, ce qui
reste
une aide très appréciable. Il est cependant domma
ent et d'institutions mis en place dans ce but, et malheureusement il
reste
difficile d'aider ces personnes qui sombrent très
ent l'envie d'être confronté à ce genre de milieu non plus bien qu'il
reste
capital de saisir l'importance de ce type d'aide
dispensant une aide indispensable et remarquable pour les sans-abris
reste
une solution d’urgence et ne leur permet pas une
algré tout très chaleureuse une fois le premier contact établi ! Cela
reste
un très bon souvenir. Ces gardes sont une excelle
rend vraiment mieux compte du travail réalisé par le SAMU social qui
reste
assez abstrait vu de l'extérieur. J'ai été assez
ient transférés vers des travailleurs sociaux et je ne Suivais pas le
reste
de la conversation. En résumé, je n'ai pas vraime
et motivées, et que je serai partante pour le refaire ; même s’il me
reste
une impression un peu amère, le sentiment qu'il e
alogue avec les appelants. La partie la plus intéressante de la garde
reste
la maraude. On rencontre des gens de tous les âge
uxquels je n'avais jamais été confrontée réellement : un gros travail
reste
à faire pour l'hebergement et j'espere que nous a
est finalement retrouvé à la rue sans contact avec la famille qui lui
reste
comme sa fille. Tout ce qu'il sait c'est qu'il a
éphonique au centre du Samu Social à Ivry pendant deux heures puis le
reste
de la nuit dans les rues de Paris pour aller à la
mes émotions, des rencontres sont quelque peu effacés. Néanmoins, il
reste
une interrogation qui m'est redondante = pourquoi
réconfort dans la douce nuit de ce 25 Avril, peut être! Cependant je
reste
persuadée qu'une froide nuit d'hiver, ou une nuit
nt que ça ne serait aucune médecine, mais l'expérience que j'en garde
reste
incroyable. L'ambiance dans l'équipe était au ren
des appels pour avoir une place en foyer/hotel pour la nuit. Pour le
reste
, j'ai eu la chance d'avoir une équipe de 3 person
diant en médecine, était là particulièrement bien accueillit. Pour le
reste
, une garde très intéressante, des employés très g
avait ses limites en matière de gestion des situations critiques. Le
reste
de la nuit a été calme, nous avons offert de la n
'on ne connaît pas et l'on est pas encore familier avec le milieu, ça
reste
un peu dur de rester concentré et d'écouter même
ans-abris, leur donner à boire, à manger, leur parler et parfois s'il
reste
de la place dans des centres, leur proposer un to
ue l'on m'a fait visiter. C'est une expérience assez sympa même si je
reste
un peu sur ma faim. J'avais plusieurs amis qui av
marauder, on a rapidement eu des signalements qui nous ont occupés le
reste
de la nuit. Equipe très agréable et qui m'a expli
s médical et qui refusait d'y retourner. Sur le plan humain, la garde
reste
une expérience marquante avec le souvenir d'homme
ttendre une maraude, dans l’espoir d’avoir une des minimes places qui
reste
dans un centre d’hébergement. Certaines personnes
t un soutient au quotidien pour ces personnes, même si leur situation
reste
au final inchangée..
peut quasiment pas être apportée (limite des places de logements) et
reste
à l'appréciation de l'écoutant. Assez décontenanç
que j'ai pu voir (les différentes personnes sollicitant de l'aide) je
reste
assez attristée par la misère sociale et en même
iste au vu de tous les moyens mis en place pour les aider (même si ça
reste
insuffisant...). J'ai pu aborder notamment le suj
. Néanmoins me concernant l'équipe a tout fait pour m'intégrer ++. Je
reste
agreablement surpris par cette maraude.
tre ce que je trouve difficile du côté des équipes du 115 c'est qu'on
reste
impuissant pour les sortir véritablement de leur
rcie l'équipe qui a rendu cette nuit particulièrement intéressante et
reste
un peu choquée de toute cette misère à laquelle o
r elles. La double écoute était en revanche moins intéressante que le
reste
de la nuit. Les échanges que j'ai pu entendre éta
fant) sont montés dans le camion afin d'être amenés dans un foyer. Le
reste
du temps, grand silence dans le camion entre-coup
r conséquent que l'écoute et la découverte du concept dans les locaux
reste
indispensable mais que partir dans le camion devr
moment où la simplicité et le partage avec l'autre prime sur tout le
reste
. Le sourire de cette petite fille restera à jamai
qu'on côtoie sans la faire réellement exister dans nos vie. Le bilan
reste
mitigé, malgré le travail admirable et l'empathie
s foyers d’accueil. J'ai également pris la mesure des problèmes qu'il
reste
à régler pour ces équipes : le problème évident d
situation m'a permis de m'imaginer un peu ce qui m'attendait pour le
reste
de la soirée. Départ 20h, le briefing ou l'on me
s personnes les plus démunies dans la ville de Paris, et même si cela
reste
insuffisant, je ne pensais pas qu'il en existait
récié cette garde. Malheureusement, un sentiment de "non finalité" me
reste
: on ne propose à ces personnes lors des maraudes
tre bien surpris et vraiment satisfait de la nuit. Beaucoup de choses
reste
a faire dans le social c'est sur, et faire cette
dapté au moment du stage infirmier ou en début d'externat bien que ca
reste
intéressant de connaître ce genre d'endroit pour
problèmes en restant dans cette gare. Mais il est deja tard et il ne
reste
plus de place dans les centres d'accueil de nuit.
ar les régulateurs que lors de la double écoute que par l'EMA pour le
reste
de la nuit. L'infirmière est même montée avec moi
plus mouvementés. Même si ce n'est pas évident et assez fatiguant, ça
reste
une très bonne expérience de partir à la rencontr
inalement, la mission du SAMU Social qui me parait la plus importante
reste
ce lien social maintenu entre la société, représe
a garde (18-20h) ne m'a pas franchement emballé pour être honnête. Ca
reste
personnel, mais je n'ai rien appris en double éco
pratiques), et je trouve leurs missions honorables. Ce qui m'a déplu
reste
l’accueil pendant cette garde (peut être en ont-i
f la plupart du temps. En ce qui concerne la maraude, je trouve et ça
reste
mon avis que devant les moyens importants mis en
édical, aucun intérêt pour des étudiants en médecine mais cette garde
reste
intéressante d'un point de vue humain .
férentes situations, que ce soit les insultes après 20h30 quand il ne
reste
plus de lit, ou créer un nouveau dossier pour des
nuit du 03/11/2017 était calme, nous n'avons eu qu'un signalement, le
reste
de la garde s'est faite à marauder dans les rues
nse hangar avec des lits de camps envahis par les parasites mais cela
reste
un choix. D'autres (personnes âgées, malades...)
chauffantes, ou proches de restaurants leur permettant d obtenir les
restes
par la même occasion. La double écoute est aussi
ivons et à laquelle la plupart des étudiants ne font pas attention le
reste
du temps.
r son morceau de rue et propose la place en foyer au suivant. L'homme
reste
digne.
rgent ou si peu, pas d'autre temps que le ici et maintenant, mais qui
reste
dignes et humaines. J'ai apprécié la discussion e
presque.... banal. Mais tant que nous ne sommes pas face à cela, cela
reste
abstrait. Là j'ai pu entendre et voir la détresse
e qu'un homme est un "reclus de la société". Et "Vous lui dites qu'il
reste
tranquille", avec ce mépris évident dans le regar
autre niveau, celui de la rue. On y passe tous les jours mais on n'y
reste
pas. On a passé pas mal de temps avec un sdf qu'o
sé et la double écoute aussi. J'ai ensuite été prise en charge par le
reste
de l'équipe pour la réunion puis la maraude. L'am
e passer mon chemin. Malgré toutes les bonnes intentions du monde, on
reste
bien souvent pétris de préjugés envers ce qu'on n
des questions quant à l'intérêt réel de leurs efforts. Mais l'humain
reste
au coeur de l'action du samu social : le dévoueme
tait d'aucun recours pour ces personnes, ainsi le rôle du samu social
reste
véritablement limité à ceux qui sont en demande.
e sociale... j'aurais aimé assister à un tel entretien pour suivre le
reste
de "la prise en charge" et voir jusqu'où elle va.
. En plein Paris. J'ai été assez choquée de tout cela. Cependant cela
reste
une expérience très enrichissante, je remercie la
ps des "activités" de la garde est bien : 2h de double écoute puis le
reste
du temps avec l'équipe mobile car je pense que c'
es, et dans son cas a une chance limitée d'avoir des papiers. Pour le
reste
, mon ressenti : Une très bonne opportunité et exp
les usagers n'existerait pas, il s'agit parfois du seul lien qui leur
reste
avec la société.
en maraude de signalement, ce qui correspond à faire la navette. Cela
reste
une expérience que je recommande, il faut le vivr
partir, on fume une clope après chaque personne déposée en centre, on
reste
discuter une demi h après la pause repas), après
irée présente un réel intérêt pour saisir l'ampleur des efforts qu'il
reste
à faire. La plupart des usagers qui appellent pou
illir un étudiant .. Un chauffeur présenté comme animateur social qui
reste
dans son camion lorsque l'on rencontre un sans ab
Et m'a aussi fait encore un peu plus comprendre le long chemin qu'il
reste
à parcourir pour que chacun ait le droit à une vi
iment un travail remarquable et s'intéressent aux gens oubliés par le
reste
du monde. J'ai eu beau aller à cette garde à recu
n charge sera correctement faite cette fois-ci. Ceci montre donc qu'i
reste
des progrès à faire au niveau de la prise en char
où nous rencontrons entre autre l'équipe avec qui nous marauderons le
reste
de la nuit. Un chauffeur, un travailleur social e
l'attribution des lits pour la nuit. Le plus difficile c'est quand il
reste
une seule place dans tous les foyers. Il s'agit d
nts de personnes en difficulté a été fait, et où j'ai été présenté au
reste
de l'équipe. Enfin, j’ai été assigné à une équipe
t, visite de certaines personnes parfois très expéditive..) mais elle
reste
utile et doit être préservée car les qualités hum
s admirative du travail fourni par l'ensemble de l'équipe de nuit (ça
reste
un métier fatiguant), et je trouve ça génial qu'i
? Il paraît difficile d'instaurer une 'sélection', mais la situation
reste
encore délicate quand celui qui a appelé à 20h45
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